Même si de tous les Spielberg, celui-ci n'est pas mon préféré et de loin, on ne peut que reconnaître la richesse de Close encounters, telle une étude qui a, depuis, permis de développer une étendue de théories qui en découlent. Les effets ne sont plus saisissants mais la structure reste indémodable.
Visuellement, il n'y a rien à reprocher au film de Steven Spielberg: l'image est nette et très bien travaillée aussi bien lors des séquences de nuit ou que des séquences de jour. La première demie heure est simplement somptueuse avec cette atmosphère pesante, tous ces phénomènes paranormaux, ces lumières rouges filant à tout allure à travers la nuit. C'est vraiment du travail d'artiste. Et il y a aussi quelques belles trouvailles: attirer ces OVNI à l'aide de la musique. Seulement voila, "Rencontres du troisième type" a beau être un film très créatif, tout en finesse et maîtrisé d'une main de maître par Steven Spielberg, personnellement je ne l'ai pas apprécié. Suite à cette splendide première demie heure, le rythme tombe sérieusement. Puis on assiste à la paranoïa d'un Richard Dreyfuss pas forcément convaincant dans son rôle. Malgré de nombreuses qualités et un message de paix adroitement véhiculé, "Rencontres du troisième types" est un film inspiré mais mineur dans la carrière de Spielberg.
Film emblématique de Spielberg, à la fois par le style et le sujet, celle de l'histoire d'un homme ordinaire dans des circonstances extraordinaires. Le thème musical en 5 tons de John Williams et certaines scènes comme l'émerveillement face aux extra terrestres sont devenus cultes.
Un des meilleurs Spielberg, et un des meilleurs films d'extraterrestres. Bon style de la part de Spielberg, intrigue excellente. Bon casting également. L'étrangeté et le mystère qui entourent les manifestations mystérieuses dans la campagne américaine sont très bien mis en scène par des plans à la fois simples mais aussi pertinents. Un peu le même style de caméra que l'on retrouvera dans Indiana Jones. Quelques scènes superbement filmées, comme les boîtes aux lettres qui s'agitent toutes seules dans un silence assourdissant. Dantesque. La scène d'introduction, mystérieuse, est géniale. Elle aura probablement inspiré la série "Les 4400". Magnifique film, qui se termine sur les célèbres cinq notes.
Une oeuvre "lumineuse" qui prend une direction différente dans son genre. Car ici, Spielberg surprend par le message délivré, un message de paix. Comme pour nous dire d'arrêtez d'angoisser. La dernière demi heure est très explicite; surtout, elle est sublime, porté par la grâce de cette "rencontre du troisième type"...
Le rythme du film est bon même si au début on s'ennuie un peu ! De suite, le rythme s'accélère avec des révélations frappantes. Nous sommes embarqués dans une histoire très bien conçu avec pour une fois des extra-terrestres pacifiques. Il est bon de saluer l'excellente qualité des effets spéciaux qui m'ont bluffés (pour l'époque !), avec de magnifiques jeux de lumières et une belles représentations des soucoupes. Spielberg signe ici un film culte qui mérite d'être vu, mais qui n'est pas des plus extraordinaire.
Un véritable chef-d’œuvre du maître Spielberg ! Histoire passionnante, acteurs géniaux, touche d'humour agréable et une belle mise en scène. Présence surprenante du réalisateur français, François Truffaut. Les effets spéciaux n'ont pas tellement vieillis, un peu tout de même mais cela reste vraiment correct, et le film devient de plus en plus intéressant au fur et à mesure que les minutes défilent jusqu'à une scène finale d'une beauté et d'une poésie parfaite. Notons aussi les partitions du fabuleux John Williams et ces quelques notes électroniques tellement célèbres qui caractérisent le film.
Le bon souvenir d’un visionnage lors de la sortie en salle est largement atténué (presque 40 ans plus tard). La première partie qui multiplie les évènements bizarres à travers le monde est plutôt réussie, sur un rythme soutenu et bien réalisée. Mais dans la deuxième partie (en route vers la rencontre, à l’assaut de la montagne), le rythme devient mou et ultra lent. C’est long, laborieux, souvent pas crédible, parfois risible jusqu'au dénouement final totalement « cliché ». Et pourquoi François Truffaut dans le rôle du scientifique français à qui il faut tout traduire, et dont le jeu d'acteur est digne d'un figurant ?
Visuellement le film n'a pas trop vieilli avec ses ovnis dignes de guirlandes de Noël. Mais l'histoire laisse une impression mitigée. Très convaincante lors des moments angoissants, elle l'est beaucoup moins dans la deuxième partie où d'êtres dangereux les extraterrestres deviennent de sympathiques créatures.
"Rencontre du 3e type" est un film majeur dans la carrière du grand Steven Spielberg. Et pas pour rien ! Ce film est tout simplement magique par moment. La réalisation est parfaite, Spielberg manie parfaitement l'image. Les effets spéciaux de Douglas Trumbull sont assez incroyable pour l'époque. Il faut dire que ce dernier était un des meilleurs dans ce domaine à cette époque... Richard Dreyfuss et Melinda Dillon sont très bon dans leur jeu. À noter aussi un François Truffaut pas trop mauvais ! La BO de John Williams est (comme d'habitude) de grande qualité. Mais là où le film gagne vraiment, c'est dans la thématique (et on le voit surtout dans les dernières minutes) : et si les extra terrestre n'étaient pas mauvais ? Actuellement, cela nous change des e.t. voulant détruire la Terre ! Le message de paix que le film transmet est très beau. Et malgré cela, quelques moments sont assez angoissant !
Bref, un grand classique de S-F, qui transmet un très beau message. A voir !
C'est LE film sur les ovnis avec un excellent Richard Dreyfuss, dans son meilleur rôle, obsédé par le point de rencontre. Les effets spéciaux lors des apparitions des engins extraterrestres produisent toujours leur effet, même de nos jours. On n'a pas vu mieux depuis sur le sujet.
On sent dèja le génie créatif de Spielberg dans ce film au scénario soigné et inventif, le tout avec de belles représentations. La scène finale est grandiose, l'une des plus belles de la filmographie de Spielberg.