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    Simone Barbès ou la Vertu
    Simone Barbès ou la Vertu
    13 juin 2018 en salle | 1h 17min | Comédie dramatique
    Date de reprise 13 juin 2018
    De Marie-Claude Treilhou
    |
    Par Marie-Claude Treilhou, Michel Delahaye
    Avec Ingrid Bourgoin, Martine Simonet, Noël Simsolo
    Spectateurs
    2,8 26 notes, 4 critiques
    noter :
    0.5
    1
    1.5
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    Envie de voir

    Synopsis

    Les errances et les rencontres d'une ouvreuse d'un cinéma porno qui rencontre un homme désespéré dans une boîte de nuit lesbienne.

    Regarder ce film

    En DVD BLU-RAY
    Simone Barbès ou la vertu DVD
    neuf à partir de 25,00 €
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    Acteurs et actrices

    Ingrid Bourgoin
    Rôle : Simone Barbès
    Martine Simonet
    Rôle : Martine
    Noël Simsolo
    Rôle : Le réalisateur de films pornos
    Raymond Lefevre
    Rôle : Le cinéphile

    Critiques Spectateurs

    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 079 abonnés 4 211 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2016
    Un film où l’on sent fortement l’influence vecchialienne, en sachant que Vecchiali a contribué au métrage. Franchement, même si ce n’est pas si indigeste que cela, ce n’est pas terrible du tout ! En fait la première partie du film a des aspects encourageants. Ingrid Bourgoin impose un jeu convaincant, on sent qu’elle va porter le film sur ses épaules, et ce n’est pas forcément désagréable, d’autant qu’elle crève ...
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    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2022
    Sans atteindre la grâce de certains films contemporains dont on peut le rapprocher ("Corps à coeur", "Extérieur nuit" ou "Le pont du nord"), ce premier opus de Marie-Claude Treilhou séduit par son atmosphère et sa sincérité. Porté par une jeune comédienne formidable, que l'on ne reverra presque pas, "Simone Barbès" est surtout une plongée dans le Paris des noctambules besogneux, les sans-grade et sans le sou, ceux qui n'avaient aucune ...
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 octobre 2009
    Ce premier film se décompose en trois parties : la première demi-heure se passe à regarder deux femmes échanger des propos futiles dans le foyer d'un cinoche porno où passent divers clients, ça doit être l'intro ; la deuxième demi-heure se passe à attendre la copine de la fille dans un bar de lesbiennes où passent divers clients échangeant des propos superficiels tandis la barmaid essaie de lui refiler une cuisinière qu'elle a depuis ...
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    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    69 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    Divisé en trois actes distincts qui sont autant de huis-clos – le hall d’un cinéma porno, une boîte lesbienne et une voiture roulant de nuit dans les rues de Paris – ce film relativement creux peut se vivre comme l’intéressant témoignage d’une époque révolue, d’autant que la réalisatrice nous embarque dans des lieux peu montrés sur les écrans. Tourné dans le climat féministe de la fin des années 70, il est centré sur la ...
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    Photos

    Infos techniques

    Nationalité France
    Distributeur La Traverse
    Année de production 1980
    Date de sortie DVD 05/07/2019
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD -
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget -
    Date de reprise 13/06/2018
    Langues Français
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 50643

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    Commentaires

    • riqueuniee
      Non pas Pigalle, mais Montparnasse (c'est même dans le nom du cinéma où travaille Simone). Tourné en 1979, le film témoigne d'une époque où le cinéma pornographique ne se cantonnait pas à des salles , sans pubs ni affichage extérieurs (comme on en voit en effet entre les métros Pigalle et Blanche)dans des quartiers dédiés (plus ou moins) à l'érotisme, mais était diffusé dans des salles de type classique , avec la pub habituelle (les affiches des films diffusés figurant en fronton du cinéma, comme dans n'importe quel UGC ou MK2), dans des endroits pas forcément voués à l'érotisme .PS Il faudra qu'on m'explique le choix des films sélectionnés pour la rubrique vous pourriez aimer. Bien sûr, on peut aimer à la fois le film de MC Treilhou et ces films, mais en général il s'agit de films ayant un lien, même ténu, par le thème, l'ambiance , un interprète, le lieu de tournage, etc...avec le film dont il est question sur la page. Là, j'ai beau chercher, je ne vois pas...
    • Frankie Machine
      Elie Medeiros y'a dedans.
    • arnaud1972
      un film à l'étrange beauté , qui nous plonge dans le Paris Pigalle de la fin des années 70 avec ce grain de pellicule typique de cette époque. On reste touché par le rôle tenu par Ingrid bourgoin en ouvreuse de cinéma porno lesbienne et humaniste, à voir vivement donc (pour tous fans de vecchiali, bral extérieur nuit,etc...)
    • allosux
      Ce premier film se décompose en trois parties : la première demi-heure se passe à regarder deux femmes échanger des propos futiles dans le foyer d'un cinoche porno où passent divers clients, ça doit être l'intro ; la deuxième demi-heure se passe à attendre la copine de la fille dans un bar de lesbiennes où passent divers clients échangeant des propos futiles tandis la barmaid essaie de lui refiler une cuisinière qu'elle a depuis dix ans sur son palier parce qu'elle tient pas dans son part, enfin bref, comme la copine n'est jamais libre, alors la fille finit par se barrer, c'est la deuxième demi-heure. La dernière demi-heure se passe à échanger dans une Volvo des propos futiles avec un type qu'elle a pris pour un baron parce qu'il a des belles moustaches (elle arrête pas de lui dire) mais qui se révèle être un croupier. On en est à se demander quelle peut être l'histoire de ce film quand arrive le générique de fin. Il aurait mieux fallu le nommer "Simone Barbès ou en attendant Godot dans un ciné porno, puis un bar de lesbiennes et enfin une Volvo", ça donnerait une meilleure idée du film.
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