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Synopsis
Le "Vengeur" sème la terreur à Londres en assassinant des jeunes filles blondes. Les rares témoins qui ont pu l’apercevoir décrivent un individu qui se cache le bas du visage. La nouvelle d’un nouveau meurtre est répandue via les journaux. Non loin de là, Mrs. Bunting loue une chambre d’hôte à un mystérieux étranger qui attire immédiatement la suspicion...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
1000 !!!! Cette millième critique sur allociné sera pour le dernier film du maitre qu'il me reste à visionner... :
« This is the end ...» Dernier film du maitre du suspense qu’il me restait à visionner et c’est avec une certaine pointe de mélancolie que je me dis qu’excepté quelques épisodes de la série TV je ne découvrirais plus rien d’un cinéaste qui m’a énormément marqué.
C’est ici son second film existant ...
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norman06
298 abonnés
1 598 critiques
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4,0
Publiée le 11 décembre 2014
Un coup d'essai et un coup de maître pour ce premier Hitchcock. Très bon récit criminel et sentimental, avec une ambiance expressionniste prenante. Méconnu et splendide.
CeeSnipes
250 abonnés
1 708 critiques
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4,0
Publiée le 13 septembre 2012
Après un premier long métrage romantique et un deuxième film, tout aussi mélodramatique mais perdu, renié et introuvable, Alfred Hitchcock put se mettre au travail sur son troisième film, The Lodger, son premier thriller.
Le film, basé sur une pièce (adaptée 4 fois) de Marie Belloc Lowndes est un thriller sur un tueur sanguinaire, très inspiré de Jack l’Eventreur, un suspect, une famille avec sa fille courtisée par un policier sur ...
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chrischambers86
11 968 abonnés
12 157 critiques
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4,0
Publiée le 22 octobre 2009
Visuellement marquè par l'expressionnisme, "The Lodger" confirme le goût d'Alfred Hitchcock pour les analyses psychologiques! Très èloignè du drame policier, le film est entièrement construit sur la psychologie des personnages! Hitchcock n'hèsita pas à faire appel à la complicitè du public pour qu'il participe mieux au film! Le thème de l'homme injustement accusè procure aux spectateurs un grand sentiment de danger personnel, car ils ...
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Adapté d'après le roman éponyme, (le premier à apporter une réponse aux meurtres de Jack l'éventreur) The Lodger témoigne à l'écran des débuts sanglants de ce tueur en série. Pour les cinéphiles épris d'Alfred Hitchcock, ce film amorce déjà une idée qui deviendra récurrente dans la carrière du réalisateur, à savoir que la sensualité féminine entraîne bien souvent le meurtre.
La première apparition éclair d'Hitchcock
Il semblerait que la présence fugace d'Alfred Hitchcock soit (au départ) due à un manque d'effectif. Les acteurs se révélant trop peu nombreux pour ce premier film, le réalisateur aurait décidé d'apparaître lui-même en tant que figurant. Sa toute première apparition date donc de 1927 dans The Lodger: on peut d'abord l'apercevoir dans les bureaux du journal puis parmi la foule lors de l'arrestation du meurtrier.
Déjà la "Hitchcock touch"
Ce premier film (en réalité le troisième mais le seul à avoir été diffusé des premiers films du maître du suspense) annonce les grands thèmes qui obsèderont le cinéaste durant toute sa carrière. On y retrouve tous les ingrédients propres à son esthétique soit, le thème du faux coupable et son pendant, la culpabilité, les éclairages expressionnistes (qui fascineront dans Rebecca), l'humour, le traitement du temps (contraction et dilatation formant
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Considéré comme premier film véritablement Hitchcockien, The Lodger en prend effectivement tous les traits. Si le jardin du plaisir commençait déjà à montrer ses intentions, ici elles prennent tout leur sens, le fond la forme et l'expressionnisme qui l'a tant marqué commence à faire surface.The Lodger n'est clairement pas son meilleur film, mais il est sa porte d'entrée vers ce qui fera sa renommé plus tard.. A voir donc pour les passionnés. 3.5/5
Nelly M.
Projeté à Nantes au "Cycle britannique Univerciné de décembre 2010", ce troisième film d'Hitchcock connu aussi sous les titres "L'éventreur" ou "Les cheveux d'or". Inspiré d'un roman et de la légende de Jack L'Eventreur, cela se passe à Londres en 1926 : sept assassinats de jeunes femmes, le plus récent étant la soeur de Daisy Buntings, fille d'un vieux couple hébergeant un locataire, ce dernier d'office suspect de par son allure insolite par rapport à monsieur tout le monde, et pour avoir demandé qu'on enlève les portraits de jeunes femmes se trouvant dans sa chambre. En plus qu'il a une manière bien à lui de saisir un tisonnier... On reconnaît déjà l'espièglerie du Maître en plus de sa fixation sur la blondeur féminine. Figure aussi une vérité de toutes les époques, notamment 2010 : l'empressement collectif à désigner un bouc émissaire, quitte à se tromper lourdement, plutôt que de creuser d'autres pistes à l'intérieur d'une communauté. A voir l'expression de terreur sur les visages, nous autres spectateurs ne savons sur quel pied danser : partagés entre l'attirance de Daisy pour ce locataire mystérieux mais séduisant, encore plus puisqu'il est "l'homme interdit par papa et maman", et le peu d'emballement que la demoiselle manifeste pour Joe, policier qu'on lui destine, la finesse incarnée... Le scénario de ce film muet (où clignotement de la lumière et emballement musical avant silence de mort) annonce déjà le suspense de ses productions parlantes. Raffinement des raffinements : ce présumé coupable suspendu par ses menottes à une grille !