Three bewildered people in the night

De par son genre hystérique populaire sinon démagogique et homosexuel un film qui peut plaire, mais qui ne séduit pas réellement vu son manque de consistance.

Le film pourrait et en rebutera plus d'un de part sa qualité visuelle et sonore affreuse. Gregg Araki tourne, en 1987, son premier long-métrage, sans autorisation, à l'aide d'une caméra Bolex, et d'aucune équipe technique. Le manque de moyen du tournage se fait énormément ressentir, mais selon moi, c'est ce qui lui donne tout son charme. Doté d'une ambiance planante au possible, notamment grâce à l'enregistrement des voix en post-prod ...
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Avant de regarder Three bewildered people in the night, le tout premier film de Gregg Araki, je ne m'attendais pas vraiment à voir quelque chose de formidable. C'est mon engouement pour le réalisateur controversé qui m'a poussé à regarder le film, et suite à ce que j'en ai entendu je m'attendais simplement à voir un film en noir et blanc, de qualité visuelle et sonore très médiocre et sans vrai scénario consistant... ce qui, ...
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