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    Manderlay
    Bande-annonce Manderlay
    9 novembre 2005 en salle | 2h 19min | Drame
    Date de reprise 12 juillet 2023
    De Lars von Trier
    |
    Par Lars von Trier
    Avec Bryce Dallas Howard, Isaach de Bankolé, Danny Glover
    Presse
    3,5 32 critiques
    Spectateurs
    3,3 548 notes, 60 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    C'est l'étrange histoire de Manderlay, un domaine isolé dans le sud profond des États Unis. En 1933, Grace et son père avaient laissé derrière eux la petite communauté de Dogville et s'en éloignaient pour retourner chez eux.

    Malheureusement, dans le métier de gangster, l'absence est souvent une source de gros désagrément. Grace et son père ainsi que son armée de malfrats obligés de battre en retraite et chassés de leur ancien territoire vont passer, sans succès, tout leur hiver à chercher de nouveaux terrains de chasse. Et, dans ces premiers mois de printemps, ils font route vers le sud pour trouver une résidence où ils pourraient enfin s'établir...

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    Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture

    Interview, making-of et extrait

    Mr In et Mr Off pour Orange World - Lundi 16 Mai 1:33
    Mr In et Mr Off pour Orange World - Lundi 16 Mai
    34 171 vues

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    vendredi 30 avril 2004

    Acteurs et actrices

    Bryce Dallas Howard
    Rôle : Grace Margaret Mulligan
    Isaach de Bankolé
    Rôle : Timothy
    Danny Glover
    Rôle : Wilhelm
    Willem Dafoe
    Rôle : le père de Grace

    Critiques Presse

    • L'Express
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Elle
    • Fluctuat.net
    • Le Figaroscope
    • Le Point
    • Libération
    • Libération
    • Paris Match
    • Score
    • TéléCinéObs
    • Zurban
    • Africultures.com
    • Ciné Live
    • Fluctuat.net
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Positif
    • Studio Magazine
    • Télérama
    • Variety
    • aVoir-aLire.com
    • Chronic'art.com
    • Ouest France
    • Première
    • The Hollywood Reporter
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    MC4815162342
    MC4815162342

    366 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2013
    Après le fantastique et très original "Dogville" le barge mais non moins talentueux Lars Von Trier revient pour nous présenter la suite des aventures de la jeune Grace, cette fois ci non plus incarné par Nicole Kidman mais par la splendide Bryce Dallas Howard, la différence n'est pas choquante car elle sont aussi bonne actrice l'une que l'autre et arrive à rester dans le même personnage. Après avoir quitté Dogville, Grace se retrouve à ...
    Lire plus
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    57 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2011
    Disons-le d'emblée : je n'ai pas vu "Dogville", premier film de la trilogie américaine de Lars Von Trier, dont "Manderlay" constitue le deuxième volet. Cependant, d'après ce que j'ai pu lire, ce n'est pas spécialement nuisible à la compréhension et et à l'appréciation du film ... et effectivement, je dois admettre que le cinéaste danois réalise une fois de plus quelque chose de brillant. Le film s'ouvre sur une carte des Etats-Unis : ...
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    Anaxagore
    Anaxagore

    114 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Manderlay, tout comme Dogville, est et restera à mon sens un chef-d'oeuvre. Il est hallucinant de voir les critiques professionnels reprocher à Von Trier son manque d'originalité sous le seul prétexte qu'il reprend le dispositif scénique de Dogville, anémiant forcément par le fait même tout effet de surprise. Les thuriféraires du septième art institué montrent là combien ils ont définitivement succombé à la logique consumériste ...
    Lire plus
    PJ_10@hotmail.fr
    PJ_10@hotmail.fr

    5 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2010
    Un film dédié à tous ces bons chrestiens qui veulent aider les autres; à tous ces occidents qui croient encore à la colonisation; à tous ces biens pensants qui feraient bien de s'occuper de leurs propres culs plutôt que de celui des autres.

    Photos

    Secrets de tournage

    Deuxième volet d'une trilogie

    Manderlay est le deuxième volet de la saga que consacre le Danois Lars von Trier à l'Amérique, et baptisée U.S.A. Land of opportunity. A la fin du premier volet, Dogville (sorti en 2003), l'héroïne Grace et son père quittaient Dogville pour retourner chez eux à Denver. Au début de Manderlay, on retrouve ces deux personnages, en route vers le sud, et décidant de faire une halte en Alabama. Ce deuxième volet se situe donc dans la continuité du prem Lire plus

    Présenté à Cannes

    Ce film a été présenté au Festival de Cannes 2005 en Sélection officielle, en compétition.

    Le racisme vu du Danemark

    Lars von Trier précise ses intentions : "(...) ce qui m'a paru drôle -ou étrange- avec Manderlay, c'est que le film implique d'autres races. Au Danemark, on s'imagine qu'on n'a jamais eu de problèmes de racisme, mais il n'y avait aucun Noir au Danemark quand j'étais enfant. En gros, ils étaient quasi-inexistants, mis à part quelques musiciens de jazz. Depuis, le racisme a fait son apparition, donc d'une certaine manière, Manderlay parle aussi de Lire plus

    Infos techniques

    Nationalités Danemark, France, Grande-Bretagne, Italie, Suède, Allemagne, Pays-Bas
    Distributeur Les Films du Losange
    Récompense 1 nomination
    Année de production 2004
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 01/02/2016
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 13 anecdotes
    Budget 67 000 000 EUR
    Date de reprise 12/07/2023
    Langues Anglais
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 110572

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    Pour découvrir d'autres films : Meilleurs films de l'année 2004, Meilleurs films Drame, Meilleurs films Drame en 2004.

    Commentaires

    • L'irrationnel
      Une suite loin du niveau que Dogville avait atteint. Un film lent, long et ennuyeux, dont la thématique principale (l’esclavage) est nettement moins intéressante que dans le précédent volet, néanmoins les décors sont presque aussi super. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    • ?ric O.
      L'art a pour mission d'élever, faire grandir, mais aussi de bousculer, déranger, voire choquer, bref enclencher un mouvement dialectique. Sinon c'est de l'artisanat. A n'en pas douter, Lars von Trier est un artiste. Mais être un artiste ne veut pas dire grand chose finalement.Certains cinéastes ou certains films avaient ou ont le don de nous laisser des traces fortes, positives ou négatives. Quand on regarde Chantons sous la pluie, par exemple, on ressort avec de la joie et de l'entrain (la pêche). Franck Capra nous rendait positifs, aujourd'hui Terrence Malick élève notre humanisme.Or quand je vois un film comme Manderlay, je constate que Lars von Trier radicalise sa pensée et qu'il sort du champ de l'humanisme, qu'il n'empruntait guère jusqu'à présent il est vrai. Breaking the Wave méritait la palme d'or, il ne l'a pas eue. Dancer in the Dark l'a eue, on se demande pourquoi. Manderlay mériterait la palme de cendre. Trop souvent Lars von Trier nous envoie des pluies noires. C'est ce que j'ai ressenti à la lecture de Manderlay : le nuage de cendre d'un volcan.Il y a chez Lars von trier une sérieuse dichotomie entre la forme -- très belle -- et le fond -- souvent assez laid. Manderlay est quelque peu nauséabond quant au fond. On a beau dire que l'auteur resitue le contexte de l'Amérique des années trente, resituer n'est pas restituer puisque le propos est bien celui du Lars von Trier du 21ème siècle avec tout ce qu'il y a de polémique dans sa façon de dire, alors qu'il est si aisé aujourd'hui, grâce aux évolutions de mentalités et au recul, d'avoir un regard d'anthropologue compréhensif (pléonasme). Sincèrement, j'ai trouvé ce film limite raciste, maljonglant avec les préjugés. Et il y a plus : Lars von Trier n'aime pas l'être humain.
    • Blaste
      Assez déçu par ce film, le lien avec Dogville est en effet un peu poussif, même si j'ai été assez intéressé par la manière avec laquelle le réalisateur construit son discours sur ce qu'est, selon lui, le concept de démocratie appliquée à nos systèmes, avec le rapport difficile à l'autorité et à la morale. Mais j'ai trouvé le film un peu trop bavard et le montage un peu quelconque, malgré des acteurs pas mal du tout.
    • Ash-D
      @Vie Russe Six : Les fous voient ce qu'ils ont envie de voir. Ceux qui ont commis le massacre de Colombine écoutaient du Marylin Manson, l'assassin de John Lennon était fan de L'Attrape-cœurs, tout comme celui qui tenta d’assassiner Reagan. On peut pas faire des parallèle pour autant...De plus, si Trier utilise de concept de race, c'est par rapport au contexte de l'époque mais j'ai pas du tout eu l'impression qu'il la soutenait. Pour moi, le film pose la question de savoir si la démocratie est toujours légitime si elle est forcée? Mais j'aime beaucoup la conclusion de "DonEricDeLaMancha" sur cette question de la servitude et de la dépendance à un système, vachement pertinent !
    • DonEricDeLaMancha
      Ca a un côté provoc c'est sur... Le réalisateur est provoc et y'a toujours des fachos pour récupérer une description pour leur discour... Moi je vois le côté métaphore plutôt: celle de l'éducation de nos propre enfants... déjà encluns à une certaine servitude à une société de consomation qui les formate en parallèle. La protagoniste se rend dépendante elle aussi en voulant mettre en place ses convictions humanistes... c'est le fossé entre notre volonté d'action sur les autres, avec tous ses préjugés, et la réalité de ce dont nous sommes responsables en amont et qui nous échappe pourtant.
    • Silic?ne
      Il ne valide aucunement le concept de race, il est présent dans ce film c'est certain, ça se passe dans les années 30 donc forcément... Quant à la référence de Behring Breivik... Euh comment dire c'est complètement inutile, il a probablement d'autres réalisateurs en référence. Peut-être pourriez-vous lire la réaction de LVT. (ah et aussi attention à votre orthographe aussi.)
    • Vie Russe Six
      Pour faire un film sur esclavagisme, le racisme, la servitude volontaire (parfois) ou subi (le plus souvent); il faut avoir des idées limpides sur la question du racisme. Manifestement dans l'esprit de Lars von Trier, c'est encore le brouillard puisque tout en dénonçant le racisme, il valide le "concept" de "race" si chère aux idéologues d'extrême droite.Pas étonnant que le fanatique "Behring Breivik" (l'auteur en 2011 d'un massacre de plus de 80 personnes en Norvège) ai Lars von Trier parmi ses cinéastes préférés (article sur libé).
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