1 septembre 1993|
2h 24min
|Drame,
Fantastique,
Romance
DeWim Wenders
AvecPeter Falk,
Nastassja Kinski,
Bruno Ganz
Titre original
In weiter Ferne, so nah!
Le mur de Berlin est tombe. Cassiel est un ange, comme Damiel autrefois, qui a prefere devenir humain par amour pour Marion, la trapeziste. Cassiel decide de devenir humain lui aussi, mais tout se passe mal.
Pelepan se voit dans l'obligation d'« emprunter » une somme importante à l'immobilière Bertin dont il est l'un des plus sérieux collaborateurs. Avec le Marseillais Migue et l'Alsacien Schmidt, deux collègues de bureau de Toulouse, le roublard Pelepan décide d'apporter cet argent à Paris où ils doivent le remettre aux frères Robinhoude. Mais le hasard malicieux voudra qu'à partir de Limoges, les uns et les autres se trompent de train, créant ainsi de nombreuses situations autant cocasses que dramatiques. Après de nombreux chassé-croisés ferroviaires, le trio se retrouvera à Paris mais pas encore au bout de ses peines.
Si loin, si proche ! (1992) de Wim Wenders
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Synopsis : Cassiel, l'ange qui veille au-dessus de Berlin, rêve de devenir humain, comme son compère Damiel, qui vit avec Marion, la trapéziste, et tient une pizzeria. Cassiel sauve une fillette qui tombe d'un balcon et, par cette intervention, perd son statut d'ange...
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Critique : "Les Ailes du désir" est magnifique, profond, envoûtant, bref c'est une réussite magistrale. Mais on ne pourrait pas en dire autant de sa suite. OK, là encore c'est beau, aussi bien pour les images en noir et blanc que pour celles en couleurs. Et il y a bien une ou deux séquences qui retiennent l'attention. Côté casting, ça donne encore plus envie. On retrouve les mêmes sauf Curt Bois décédé à qui le film est dédié. On ajoute Horst Buchholz, Nastassja Kinski, Heinz Rühmann, Willem Dafoe et même Mikhail Gorbachev himself le temps d'une scène. Le regretté Peter Falk ne manque pas bien sûr de se trouver comme par hasard à Berlin. Et Otto Sander a une gueule qui provoque tout de suite l'attachement. Mais faute d'un scénario un peu minimum écrit, beaucoup trop fantaisiste, beaucoup trop répétitif et qui manque sérieusement d'épaisseur (à l'image du personnage de Nastassja Kinski!!!) ponctué en plus de séquences soient simplistes, soient paradoxalement prétentieuses (comme celle du musée!!!), on s'ennuie parfois franchement. Résultat, une oeuvre très inégale qui se fait poser la question de l'utilité d'une telle suite.
Note : 8/20 (**)
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