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    Top of the Lake
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    101 critiques spectateurs

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    Zoé B.
    Zoé B.

    441 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 14 novembre 2013
    De plus en plus rare au cinéma (3 films en 15 ans), Jane Campion investit à son tour la série télé. Voici "Top of the Lake" dont Arte vient de diffuser les 3 premiers épisodes. Et pour être honnête, je ne suis pas sure d’y repiquer ce soir. Je suis pourtant une grande fan de la réalisatrice : "Sweetie", "Un Ange à ma Table" ou "La leçon de Piano" figurent aux meilleures places dans ma petite cinémathèque perso. Et le dernier film en date, "Bright Star" m’avait énormément émue. Mais là, désolée, je m’ennuie. Je trouve ça lent, l’intrigue est comme délayée (avec de temps en temps, curieusement, de surprenantes ellipses). Arte vante dans sa promo "le sens du lyrisme et de l’étrangeté" de la cinéaste. Pour le lyrisme, rien à dire : Campion sait filmer comme personne les paysages magnifiques de Nouvelle-Zélande. Sur le sens de l’étrangeté, par contre, je suis très réservée. Je sens surtout la main lourde des scénaristes. Faut voir la galerie de personnages qu’ils nous ont inventés, tous improbables ou caricaturaux. Les acteurs se régalent de ces rôles poussés à l’extrême : Holly Hunter en fait des tonnes en gourou new age, Peter Mullan à peine moins en chef de clan. Et Elisabeth Moss joue le contraste, héroïne fragile devant enquêter en milieu hostile… "Top of the Lake" est évidemment supérieur à la plupart des séries qu’on nous propose. Pour autant, n’en déplaise au service de presse d’Arte, ce n’est pas la merveille annoncée.
    Myene
    Myene

    17 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 novembre 2013
    EXCELLENT ! Jane Campion renouvelle notre relation à la série qui devient un mode d'expression au service de son talent si personnel et envoûtant...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 16 août 2019
    Quand elle ne pleure pas ( la moitié du temps ) , elle picole tous les alcools qui lui passent sous la main ou bien elle se déshabille pour s’envoyer en l’air avec son cheri .... après deux épisodes , on en rigole et passe à autre chose 😂
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 3 avril 2013
    Quelle surprise que cette mini-série en 7 épisodes, Jane Campion prend le temps de sculpter ses personnages dans cet environnement remarquable de la Nouvelle Zélande (probablement au vu des paysages sur l'Île du Sud). On entre dans cette œuvre sans exactement savoir immédiatement mettre une étiquette sur le genre cinématographique que Jane nous sert ici. Et c'est rafraichissant. Au bout de 3 épisodes, je trouve cette série déjà passionnante, et remarquablement construite et originale. A suivre.
    Chris Art
    Chris Art

    71 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 13 septembre 2014
    (...) Surprenante série que ce Top Of The Lake par Jane Campion, émérite cinéaste des passions contrariées. Si cet univers mystérieux d'un huit clos étouffant, dans le grandiose paysage d'une Nouvelle-Zélande peu habituée à nos rétines de téléspectateurs interloqués, semble à priori correspondre aux antécédents de la palmée d'or cannoise, le traitement qu'elle en fait peut au premier abord intriguer. L’enlèvement de cette insondable gamine qui s'en suit pique la curiosité de ses fans, qui peuvent légitimement se demander quelle est donc sa motivation d'aborder un genre qui ne lui est pas familier
    (...) Artiste féministe engagée et reconnue, la néo-zélandaise creuse différents portraits d'hommes et de femmes abîmés par la vie, reclus au sein de leurs communautés tels des ermites errants. Si son empathie envers cette détresse se ressent fortement, elle n'en fait pas pour autant des anges déchus. Spécialiste de la cruauté des individus, elle n'a pas son pareil pour décrire l’ambiguïté d’êtres tiraillés par leurs démons intérieurs
    (...) Habile à décrire cette assemblée particulière, Campion en oublie parfois une certaine neutralité et force le caractère frondeur par son militantisme castrateur
    (...) En équilibre instable, le scénario navigue perpétuellement entre drame spirituel profond et sentimentalisme peu inspiré. Et si les superbes envolées lyriques donnent une ampleur assez monumentale à l'ensemble, le fil narratif n'épouse malheureusement pas la courbe.
    (...) La fin retorse de l'aventure manque aussi sa cible. Sa noirceur courageuse captive mais pâtit affreusement d'un dénouement incompréhensible
    (...) Mais on saura gré à la directrice d'acteurs de ne pas avoir cédé à la si grande tentation des studios d'édulcorer. A rebours des productions du tout venant, cette fiction imparfaite mais ô combien nécessaire prouve que la qualité d'auteur à encore de l'avenir devant lui.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    La série m'a intrigué jusqu'à l'épisode N°3 à cause de son ambiance. Hier soir (fin de la série) j'ai trouvé que les épisodes étaient décousus, sans lien les uns avec les autres. Je me suis dit, 7 épisodes pour en arriver à une telle conclusion ? j'ai été très déçue car cette série paraissait atypique (la nouvelle-zélande, des acteurs inconnus,l'ambiance) mais le manque de rythme, le manque d'expression des personnages, ont fini par avoir raison de moi, je me suis endormie devant tellement c'était lent, long et sans intérêt. Un peu comme la série " les revenants" sur canal plus l'an dernier, même constat.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 11 juillet 2013
    Que dire... Si vous lisez les autres critiques, vous pensez (à tort) qu'il s'agit d'une série sublime avec en toile de fond un esprit polar. Rien de tout ça bien au contraire, on nous offre des plans interminables (mais magnifiques tout de meme) d'une Nouvelle Zélande belle et sauvage, alors oui on découvre des montagnes, des plaines, une nature préservée, un lac, des vieilles cabanes, des forets mysterieuses....( 7 épisodes ça fait un peu long le National Geographic!)
    De plus l'actrice Holly Hunter est ridicule en vieille sorcière-gourou-chamane qui dirige une espèce de secte pseudo féministe de femmes à la dérive.
    Une petite fille de 12 ans est enceinte (ça a pas l'air de choquer grand monde) et disparait. spoiler: [spoiler]La détective (qui est insupportable et qui a le charisme d'une huitre) vient interroger le principal suspect (le père) et celui ci tue un chien devant elle sans que celle ci ne bronche...Le père justement qui noie un promoteur immobilier mais qui n'est absolument pas inquiété par la police. On assiste à une succession
    d'incohérences toutes plus débiles les unes que les autres (le labo de drogue dans la cave??? [/spoiler]WTF), en fait au fil des épisodes on suit une "non-intrigue", pretexte à de longs dialogues d'une vacuité incommensurable (la palme revenant au petit ami de la detective que l'on a envie de baffer à chaque apparition). Il ne faut pas confondre "onirisme" et "mievrerie", "poesie" et "niaiserie". Une série contemplative ne signifie pas chiante à en crever (La sublime série Rectfy est le meilleur contre exemple!)
    Pour finir on est dans l'esprit "Campionesque" typique ou la forme ne laisse aucune place au fond, les hippies féministes vont adorer, les autres passez votre chemin car cette série c'est l'esbrouffe en plus d'etre prétentieuse!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 4 janvier 2014
    Féministe (coucou et bisous Guillaumeq971) et grande fan de séries j'aurais du aimer, j'aurais aimé aimer, j'en attendais beaucoup et malheureusement c'est un ratage complet.
    La lenteur n'est pas le problème et les paysages sont superbes mais il n'y aucun soin porté à l'histoire, aucune tension, aucun jeu d'acteurs qui sont tous inconsistants, les révélations tombent à plats, à aucun moment on ne vibre pour et avec les personnages (qu'on fini vraiment par haïr)
    ça se veut décalé, c'est juste ridicule, j'ai même réussi à être gênée pour les acteurs, (qui passent leur temps à enlever et remettre leur pull, les yeux dans le vague, la bouche entre ouverte ou à s'auto-mutiler dans la forêt, nus et défoncés)
    le problème quand la réalisation est faible c'est qu'on ne voit plus que les trucages, les raccourcis faciles, les incohérences.
    Un fond de vallée remplis de ploucs consanguins, allons-y gaiement! mais il faut laisser un poil de place à la finesse et prendre soin de construire des personnages ambigus sinon on prend le spectateur pour un crétin et il n'y a aucun plaisir.
    Déception j'écris ton nom.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Les personnages sont super, la photographie parfaite (le paysage exploité au maximum), des themes puissants, un scenario enivrant. Bref une realisation presque parfaite. Une serie (tres realiste) a revoir car tres divertissante.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 011 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 6 mai 2013
    (...) Malgré quelques lourdeurs scénaristiques, un rythme lent qui peut agacer et un scénario bizarre : Top of the Lake est intéressante. Un casting parfait, une réalisation cinématographique et les paysages intrigants de la Nouvelle-Zélande viennent apporter un peu de beauté à une histoire pas très originale. Encore quelques mois à attendre et la série sera diffusée sur Arte cet automne.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 24 avril 2016
    Comme la plupart des séries, celle-ci souffre de répétitions et de délayage. Le scénario manque de rigueur et part parfois dans tous les sens. Quant à la chute, elle est bien vite expédiée. Sans compter diverses incohérences. Côté féminisme, Campion en fait beaucoup, à la limite de la caricature, et rares sont les mâles qui trouvent grâce à ses yeux. La principale qualité de Top the lake, c'est son cadre de paysages magnifiques et l'atmosphère un peu étrange qui règne dans cette région de la Nouvelle Zélande qui semble constituer une mini civilisation à elle seule. Les comédiens sont excellents, à commencer par Elisabeth Moss dont le personnage est très attachant. Cette série se laisse donc voir agréablement même si elle traîne parfois un peu en longueur.
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 17 novembre 2013
    De Jane Campion, je n'ai pas vu grand-chose excepté trois films que je n'ai pas aimés dont un que j'ai vraiment détesté, et "La Leçon de piano" que j'ai adoré ; ce dernier contrebalançant les trois autres j'ai décidé de donner une chance à cette mini-série d'autant plus qu'elle possède un argument de départ accrocheur...
    Au final, je trouve que la série est un peu au-dessus de la moyenne mais que sa réputation d'excellence auprès de la critique est pour moi exagérée.
    Dans le négatif, certains rebondissements que l'on voit venir avec beaucoup d'avance, une tension pas toujours bien exploitée en particulier dans les deux derniers épisodes trop décousus dans l'accumulation des rebondissements pour parvenir à cela, et puis une Holly Hunter... ben... qui ne sert à rien.
    Dans le positif, le cadre de la Nouvelle-Zélande avec des paysages superbes, quelques personnages réussis, une belle interprétation pour Elisabeth Moss qui rappelle un peu Jodie Foster dans "Le Silence des agneaux" et puis un Peter Mullan au sommet, qui n'a aucun mal à créer le malaise à chacune de ses apparitions en patriarche sociopathe narcissique et violent.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    Je mets 2,5 pour la performance des acteurs et les paysages magnifiques de la Nouvelle Zélande. Pour le reste, j'ai bien accroché pour les trois premiers épisodes, et j'étais impatiente de regarder la suite hier sur Arte. Pourtant j'ai été très déçue. Ca devient too much, vaseux et hyper glauque. Toutes les pires atrocités que peuvent faire les hommes sont là : viols, inceste, pédophilie, meurtre, drogues... Bref tout y est, je trouve que ça part un peu trop loin ! Top of the lake = to of the dark !!
    En tout cas après avoir vu cette série : la Nouvelle Zélande ok pour du tourisme, moins pour s'y installer définitivement ...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 8 novembre 2013
    C'est inintéressant.
    Les acteurs jouent moyennement bien, l'intrigue est totalement inutile, les personnages ne sont pas intéressants. En fait ça n'a aucun intérêt.
    Il y a toutefois de beaux paysages.
    Passez votre chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 8 novembre 2013
    Les réalisateurs de longs métrages qui passent au petit écran sont légion, mais ceux qui s’investissent de A à Z dans la production et la réalisation de leur série sont plus rares. Jane Campion propose en ce moment sur Arte Top of the Lake, une mini série de six épisodes coproduite par BBC Two, Sundance Channel et UKTV, ou plutôt un « roman en plusieurs parties », comme elle l’a qualifiée elle-même. Les trois premiers épisodes ont été diffusés ce jeudi 7 novembre 2013 et nous avons été très curieux de découvrir la réalisatrice sur ce nouveau format.

    /..../

    La série est ainsi un jeu de pistes sur les thématiques de la cinéaste. Tous les thèmes chers à la néo-zélandaise sont présents — l’enfance, la femme, le secret, le sexe, le viol, le sang, la couleur blanche et la couleur rouge, la pureté entachée, la résilience, la nature sauvage, l’eau — autant de petits cailloux disséminés sur le chemin de notre enquêtrice. D’aucuns ont comparé la série à un Twin Peaks féministe ; la comparaison pourrait tenir en cela qu’il s’agit d’une introspection de Jane Campion sur ses obsessions et ses fantasmes. Le format de la série télévisée permet peut-être effectivement aujourd’hui aux réalisateurs d’approfondir leur œuvre, avec plus de liberté que sur un long métrage, et c’est tout le mal qu’on leur souhaite.
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