Bien rare sont les péplums modernes, encore plus en série. Ces 8 épisodes fascinants contant la Grèce antique et sa mythologie aura été une surprise visuelle pour son approche très manga, une violence inattendue mais réellement changeante des registres connus et même bienvenue, un design des divinités plus que moderne avec une pointe sensuelle pour la grande Hera mais à savoir pourquoi, les autres déesses ont été oublier alors que les dieux eux, ne le sont guères.
Un récit global trop court ne permettant qu'un aperçu minime de ce que pouvait concrètement offrir ce programme original mais qui, malgré tous, aura réussi son concentrer dynamique, dramatique et évidement historique.
Une v.f. convaincante et une fluidité des combats effectivement digne de l'animation japonaise qui aura quand même offert de sacrées scènes épiques contant donc une partie relativement méconnue ou qui sais je, inventer des récits.
Le personnage principal Héron incarna parfaitement la rage, la vengeance d'une enfance impossiblement vécu et volée par des tyrans, un fils n'ayant pas connu sa mère sous son vrai jour et est l'énième incarnation de ces enfants né de l'union mortel / dieux dont l'éternel refrain des découvertes passées entraîne inévitablement les colères envers celui qui n'à jamais eu la force honnête de se montrer face à sa chaire. Un père, un dieu, qui se voit encore devenir la cible des siens, de sa femme qui plus ai, dans un tourbillon de jalousie et de faux semblent toujours si mordant à suivre. Tel est la voix. Le démon, frère jumeau, est lui la version diabolique encore et toujours, passée du côté obscur préférant la vengeance facile mais néanmoins logique d'une profonde haine humaine.
Une unique saison captivante qui aurait dû bénéficiée d'une seconde mais, encore une fois, les récits antiques ne parviennent pas à passionner les foules.