Mon compte
    Elizabeth I
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,6
    51 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Elizabeth I ?

    5 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    1 critique
    3
    1 critique
    2
    1 critique
    1
    0 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 juillet 2014
    Téléfilm de la télévision britannique à la réputation très flatteuse et couvert de récompenses internationales. Celle-ci n’est pas usurpée et nous permet de voir ce que nos voisins anglais peuvent nous offrir de mieux dans le domaine du film historique. Il faut dire que la toujours très belle et captivante Helen Mirren offre une composition en tout point remarquable. Tour à tour fragile et femme de pouvoir elle parvient à nous faire croire à l’exactitude du portrait forcément romancé de la plus célèbre des reines d’Angleterre. Au bout de 3h30 il n’y a pas de doute, Elizabeth 1ère c’est bien elle. Les décors extérieurs sont magnifiques notamment les vues des ports qui nous font immédiatement penser aux tableaux de l’époque, mélange des peintres flamands et italiens. Les décors intérieurs n’ont rien à leur envier grâce à un déploiement de luxe dans les étoffes qui nous montre que les élites de cette époque savaient vivre et penser à leur confort. La Reine Mirren semble sans cesse hésiter entre sa vie amoureuse et son devoir de Reine. C’est sans doute pour ne jamais perdre le contrôle de son pouvoir qu’elle paraît ne jamais avoir vraiment consommé l’acte sexuel malgré des relations tumultueuses et passionnées avec le comte d’Essex dont elle avait auparavant été amoureuse du père. Cette relation la mènera jusqu’au bord de la faute mais bien entourée au sein de son conseil elle saura réagir avant qu’il ne soit trop tard. C’est seule qu’elle mourra sans avoir réglé le problème de sa succession. Magnifique.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    217 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2017
    Magnifique série historique !! The best of the best de ce qu'on peut trouver chez nos confrères anglais en la matière !! Tout y est parfait : les décors, les costumes, les dialogues, les intrigues, les acteurs...Helen Mirren est encore une fois époustouflante et prouve à nouveau qu'elle est une actrice de très haut vol !! 3h40 peuvent passer bien vite parfois et franchement j'aurais aisément re-signé pour 4 heures supplémentaires !! Bref une soirée enrichissante, émouvante et pleine de rebondissements et de complots en tout genre !! God save the Queen Elizabeth !!
    Xyrons
    Xyrons

    600 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 juillet 2008
    Une série magnifique avec un Jeremy Irons au sommet de sa forme. Un casting excellent, une histoire et des intrigues bien menées, de bons dialogues, bref une série qui vaut le coup d’œil.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    11 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 1 décembre 2008
    Elisabeth 1re (1533 – 1603), série en deux parties, produite par la BBC, de Tom Hooper, avec Helen Mirren (se souvenir du magistral The Queen, 2007, de Stephen Frears) et Jeremy Irons. Bio parcellaire et romancée de « Bess » (se reporter au vieux film La Reine Vierge, 1953, de Georges Sidney), sur le trône depuis presque vingt années. Face à la menace de l'Espagne qui complote avec Marie Stuart, reine d'Écosse (catholique, enfermée par les soins d'Elizabeth 1ère), les membres du Conseil d'État suggèrent à la reine de prendre pour époux le duc d'Anjou, un Français catholique. Cette union future n'est pas du goût du comte de Leicester, favori de la reine, ni du peuple, qui rechigne à voir sa souveraine protestante anglicane convoler avec un catholique...Intrigues de cours, trahisons, décapitation de la reine d’Ecosse, rivalités religieuses…la reine finira par soutenir les Pays-Bas contre l’Espagne.
    La 2ème partie est nettement moins bonne, moins riche que la première partie et surtout plus éloignée des vérités historiques. L’ensemble tourne uniquement autour des liens amoureux entre la reine vieillissante (toujours extraordinaire Helen Mirren) et son jeune et ambitieux favori le comte d’Essex, beau fils de Leicester. Frondeur, Essex se joignit sans permission à l’expédition de Sir Francis Drake au Portugal, ce que la reine finit par lui pardonner après que les Anglais aient volé avec succès au secours du roi de France Henri IV. Envoyé en Irlande pour lutter contre la rébellion catholique, défait, il signa sans y être autorisé une trêve avec le chef rebelle irlandais. De retour à Londres, il chercha en vain le pardon de la reine mais fût jugé, sous les accusations d'outrage et de désobéissance. Dépouillé de ses terres, démis de ses fonctions et assigné à résidence, il ne recouvra la liberté que sur l'intervention du philosophe et homme d’état Francis Bacon. Ayant incité Londres à l'insurrection , Essex fut finalement condamné à mort et décapité en 1601.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 20 mai 2012
    "Elizabeth I" est une superbe reconstitution historique qui s'autorise parfois quelques plans-séquences remarquables (ce qui est assez curieux quand on sait que le réalisateur de ce projet est aussi celui du très académique "Discours du roi") mais qui souffre à mes yeux d'un défaut majeur : la trop grande importance accordée à la vie sentimentale de la reine Elizabeth et le fait que les événements politiques émaillant les deux épisodes sont montrés à travers le prisme de son coeur, ce qui aboutit souvent à des scènes assez guimauve (en gros, la thèse de cette mini série est la suivante : quand on est reine d'un royaume, il est très difficile d'aimer normalement, que ce soit un homme (cf. les comtes de Leicester et d'Essex) ou un membre de sa famille (cf. Marie Stuart) ; ça manque un peu d'ambition, tout ça, non ?).
    Back to Top