Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode d’Un Si Grand Soleil diffusé demain soir sur France 2 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Mardi 22 novembre dans Un si grand soleil…
ÉLISABETH FAIT UN FAUX TEMOIGNAGE
Guilhem supplie Élisabeth d’être son alibi pour le soir de la mort de Sylvie. En effet, l’avocat était en rendez-vous avec une autre personne au moment du décès de sa femme et celle-ci ne confirmera jamais son alibi puisqu’ils réalisaient un montage financier complètement illégal. Malheureusement, Élisabeth refuse de faire un faux témoignage et lui conseille de dire la vérité à la police. Des propos qui ne plaisent pas du tout à Guilhem qui lui rappelle qu’elle n’a eu aucuns scrupules à lui demander d’acheter un catamaran pour permettre à Julien de s’évader à l’autre bout du monde et d’échapper à la justice. Bien qu’il aurait préféré ne jamais en arriver là, Guilhem ne lui laisse donc pas vraiment le choix. Si elle ne confirme pas son alibi, il racontera la vérité à la police concernant le montage financier qu’il a réalisé pour acheter le bateau qui a permis à son fils de prendre la fuite.
Le lendemain matin, Élisabeth a la tête ailleurs, ce qui n’a pas échappé à Alain. Certain que l’état de sa compagne est lié à son ami, ce dernier propose d’inviter l’avocat à dîner dans le week-end afin qu’il puisse se changer les idées. Cependant, Élisabeth lui fait croire qu’il a besoin d’être seul pour le moment.
De son côté, Marion est convoquée au commissariat. Stressée à l’idée que la police la soupçonne d’avoir tué sa tante, elle appelle Berthier qui tente de la rassurer. Seulement, Marion reste persuadée que Guilhem est lié à la mort de Sylvie.
Hugo a quant à lui terminé l’autopsie de Sylvie. D’après ses constatations, l’épouse de Guilhem est morte d’une hémorragie massive à la suite de sa chute dans les escaliers. Bien qu’il ne puisse pas affirmer que la chute ait été accidentelle, le médecin légiste a néanmoins relevé des blessures sur les avant-bras de la défunte. Il y a donc deux options possibles : soit c’est une dispute qui a mal tourné soit quelqu’un l’a poussée volontairement. Le commissaire demande donc au procureur d’ouvrir une instruction judiciaire.
A quelques pas, Marion raconte à la police qu’elle est passée voir sa tante le jour de sa mort pour lui dire au revoir avant son voyage de noces au Japon. Marion est de fait la dernière personne à avoir vu Sylvie vivante. Au moment où Nora, la policière, cherche à savoir si elle n’a rien remarqué de suspect quand elle était sur place, Marion, qui est mal à l’aise, répond qu’elle n’a rien vu. Comme Marion demande pourquoi on lui pose toutes ces questions, Nora explique qu’il s’agit d’un interrogatoire de routine et qu’ils étudient toutes les possibilités.
Dans l’après-midi, Guilhem appelle sa nièce pour la prévenir que les scellés ont été levés et qu’il va pouvoir rentrer chez lui. Même si Johanna estime que c’est beaucoup trop tôt, Guilhem rétorque qu’il éprouve le besoin de se sentir proche de Sylvie. En retournant chez eux, il aura l’impression qu’elle est encore là. Sur place, Guilhem fait le tour des pièces. Après qu’il est entré dans leur chambre, il imagine sa femme à la fenêtre et s’effondre en larmes.
De son côté, Élisabeth reçoit un appel du lieutenant Cross qui la convoque au commissariat. Cette dernière confirme alors que Guilhem est passé chez elle à 18h le soir de la mort de Sylvie. Et autant dire qu’elle est particulièrement nerveuse en signant le procès-verbal de son audition.
ALIX EST LIBÉRÉE
Dans la matinée, Hélène se rend au commissariat car elle a retrouvé dans les affaires de sa grand-mère Monique les correspondances amoureuses qu’elle échangeait avec Brenas. Puisque ces lettres ne prouvent pas l’authenticité des toiles, Hélène montre au lieutenant Lévy des photos de Monique datant des années 1960 sur lesquelles elle pose devant les tableaux de l’artiste. Le policier prend alors le temps de les étudier.
En parallèle, les œuvres de Brenas ont été analysées par des experts scientifiques et le rapport d’expertise confirme que les œuvres sont authentiques à 95%. Alix est donc libérée. La juge Alphand prononcera ensuite un non-lieu qui permettra à Alix de récupérer ses toiles. Soulagée, Alix invite Claudine et Hélène à dîner pour les remercier.
