Si vous êtes abonnés à Netflix, alors vous n’êtes sûrement pas passés à côté de AKA, la dernière production française de la plateforme. Alban Lenoir se glisse cette fois dans la peau d’Adam Franco, un agent infiltré qui fait le sale boulot partout où il est nécessaire.
Sa nouvelle mission ? Intégrer une organisation mafieuse pour déjouer un attentat terroriste imminent à Paris.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que AKA est un véritable succès, et pas seulement en France. Avec 32 millions d’heures de visionnage en trois jours dans le monde, il se hisse à la première place des films en langue étrangère les plus vus à l’international.
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Ces chiffres lui permettent de battre Loin du Périph et de s’offrir le meilleur démarrage pour un film français . Les chiffres parlent d’eux même : AKA est un carton dans 93 pays (dont les Etats-Unis !) en se plaçant dans les top 10.
Ce n’est évidemment pas la première fois que nos productions françaises traversent nos frontières mais cela confirme l’appétence des abonnés Netflix pour nos films d’action, réalisés dans la tradition la plus pure, et sans trop de CGI.
Après Balle Perdue 1 et 2, Alban Lenoir confirme quant à lui son statut de coqueluche. On le retrouvera d’ailleurs prochainement dans une autre production de la plateforme - le remake du Salaire de la peur - où il donnera la réplique à Franck Gastambide, Ana Girardot et Sofiane Zermani. Toujours dans le genre de l’action, bien évidemment.
Le succès d’AKA pourrait conforter Netflix dans l’idée d’en faire une franchise. Il faut dire que la fin du film de Morgan S. Dalibert laisse la porte ouverte à une suite. Interrogé sur la question, Alban Lenoir n’est pas du tout fermé à l’idée. Affaire à suivre donc.
