Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Plus belle la vie, encore plus belle diffusé vendredi après-midi sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Vendredi 17 janvier dans Plus belle la vie, encore plus belle...
Babeth est sur le départ
Au Mistral, Kilian propose à Aya de le suivre pour une journée riche en surprises. Aya commence à paniquer, car elle n'a pas pris de jour de repos, et Kilian la rassure en lui disant qu'il est temps qu'elle fasse un break dans son travail. Puis, il l'embarque de force sur son dos.
Quelques heures plus tard, Kilian se met à rejouer la fameuse scène de la panne de voiture. Aya est à la fois surprise et enjouée par cette idée : "J'ai capté la ref. C'est très chou". Mais contre toute attente, il semblerait que la panne soit réelle...
Kilian prend conscience qu'il a mis de l'essence au lieu du diesel dans la camionnette. Aya ne lui en veut pas et répond : "C'est marrant de se retrouver au même endroit". Malgré tout, elle refuse de passer la nuit ici et préfère faire du stop en compagnie de son petit ami.
Léa prend conscience de sa maladie
Au petit matin, Jean-Paul (Stéphane Henon) s'occupe de sa fille, Aurore, avant de l'emmener à l'école. Léa, qui revient de sa prise de sang, se joint à eux. Soudain, elle découvre que sa petite fille a écrit IRM avec ses cubes.
Léa lui explique, avec des mots simples, ce qu'est cet examen : "Il y a des bobos que, parfois, on ne peut pas voir, c'est pour cela qu'on utilise une grande machine". Jean-Paul précise : "Ce sont des bobos de grands", et Aurore s'exclame : "C'est quoi des bobos de grand ?", ce qui laisse Léa sans voix.
À midi, Léa et Jean-Paul déjeunent au Mistral. Le policier reste choqué par la conversation qu'il a eue ce matin avec sa fille et s'en veut d'avoir laissé traîner son livre sur le cancer. Léa répond : "Il n'y a pas d'âge pour être confrontée à la maladie".
Elle ajoute : "Ça va aller, on va s'adapter. On lui expliquera que sa maman est malade et qu'elle doit être soignée". Les larmes aux yeux, Jean-Paul demande à son épouse comment elle fait pour être aussi forte, et sur le ton de l'humour, elle répond : "Parce que je suis parfaite, tu le sais bien".
Au cabinet médical, Jennifer (Diane Dassigny) transmet à Léa son bilan sanguin et lui demande comment elle se sent. Léa répond à sa collègue : "J'ai réalisé que jusqu'à présent, j'étais focalisée sur moi-même, alors que je ne suis pas seule dans cette histoire. Avec la chimio, il va falloir en parler".
De plus, Léa confie à Jennifer : "Je vois bien que Jean-Paul fait tout pour ne pas flancher, mais son angoisse déborde". Elle culpabilise de voir son mari aussi inquiet et peine à garder le moral. Elle finit par fondre en larmes, pour la première fois depuis l'annonce de sa maladie.

Patrick est-il un policier corrompu ?
Morgane poursuit sa planque pour surveiller tous les faits et gestes d'Idriss Zéroual. Elle aperçoit ce dernier sortir d'un immeuble avec un sac à la main, puis elle décide de le prendre en filature. Morgane remonte sur son deux-roues et suit à la trace celui qu'elle considère comme le principal suspect du meurtre de Wesley Dixon.
Au même moment, au commissariat, Ariane informe Patrick qu'elle est sans nouvelle de Morgane et que ça l'inquiète. Ce dernier répond que la jeune brigadière a posé quelques jours de repos. Et il lui annonce la mauvaise nouvelle : l'enquête leur est retirée.
De retour à la résidence Massalia, Morgane reçoit la visite de Jules. Elle lui révèle qu'elle est en pleine filature : "J'enquête sur mon temps libre". Jules la met en garde sur les conséquences de ses actes : "Je te rappelle que tu as l'IGPN sur le dos. Tu es hors des clous. A quoi tu penses ? Ça ne te ressemble pas".
En sortant de la résidence étudiante, Morgane croise sa collègue, Ariane, qui se montre un peu trop compatissante : "J'aurais dû te montrer comment on interpelle un suspect. J'ai l'impression que je suis de mauvaise influence pour toi". Morgane la rassure, puis s'en va.
Plus tard, Morgane aperçoit Idriss en train de parler à un autre homme. L'échange est tendu. La brigadière voit le type donner une enveloppe à Idriss. Elle sort son téléphone et capture la scène.
Quelques minutes plus tard, elle suit Idriss jusqu'à un nouvel entrepôt. Elle le voit discuter avec un individu. Contre toute attente, elle réalise qu'il s'agit de Patrick, le commissaire de police du Mistral. Ce dernier dit à Idriss : "On fait comme on a dit".