avec Jan Bijvoet, Hadewych Minis, Jeroen Perceval...
Sélection Officielle - Compétition
De quoi ça parle ?
Camiel Borgman surgit dans les rues tranquilles d’une banlieue cossue, pour sonner à la porte d’une famille bourgeoise. Qui est-il ? Un rêve, un démon, une allégorie, ou l’incarnation bien réelle de nos peurs ?
Ce qu'il faut savoir
Borgman marque le retour sur la Croisette du réalisateur Alex Van Warmerdam, 15 ans après Le P'tit Tony sélectionné dans la section Un Certain regard. Pour son premier long métrage présenté en compétition officielle, le metteur en scène néérlandais nous gratifie d'un film - comme à son habitude - décalé et très drôle. A la fois derrière et devant la caméra (pour un rôle secondaire), le réalisateur nous livre une histoire complètement loufoque, laissant néanmoins le spectateur sur sa faim.
Ce qu'en pense la presse
Télérama (Pierre Murat)
Question humour noir, Alex van Warmerdam n'a rien perdu de sa force, ni de son inventivité (...) Sauf que l'habileté formelle du réalisateur repose, cette fois, sur un scénario convenu.
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The Hollywood Reporter (David Rooney)
Une étude originale du mal inhérent à nos sociétés, le film est admirablement construit, quoique plus intéressant dans la mise en place de l'intrigue que dans la résolution confuse. Cependant on reste captivé.
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Ecran Large (Sandy Gillet)
De l'or en barre azimuté et un vent de fraîcheur tendance humour noir bienvenu dans une sélection officielle de qualité mais ultra sérieuse.
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Metro (Jennifer Lesieur)
Le spectateur doit faire le boulot lui-même, ce qui est un peu facile, et les intentions du réalisateur paraissent démesurées par rapport au produit fini.
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Le Figaro (François Aubel)
Malgré son esthétique à la Lars Von Trier ("Dogville"), ses bribes d'humour et le beau tempérament des interprètes (...), cette curiosité n'est pas au niveau du Festival.
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Borgman
Laetitia Forhan
