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SIMULEES
Ce film culte montre la passion torride de Betty et Zorg. Dès les premières minutes, le spectateur est témoin de cet amour charnel avec une scène d’amour très sensuelle.Jean-Hugues Anglade se souvient de cette scène comme « un choc très fort » mais reconnaît qu'elle est simulée, comme toutes les autres : « On n’a pas fait l’amour devant la caméra de Jean-Jacques Beineix, mais il a profité de la très grande complicité qu’il pouvait y avoir entre Béatrice Dalle et moi. Chacun est allé aux frontières de la vie et de la fiction. », poursuit-il. « C’était une scène difficile à tourner. Elle est vraiment à l’image de ce que nous étions ».
