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    Dans les coulisses d'Annihilation : ce que cache la zone X [SPOILERS]

    Du miroitement arc-en-ciel aux créatures mutantes, Alex Garland offre dans Annihilation un univers à la fois poétique et inquiétant. Sous le prisme du contrôle de la nature, le film joue avec nos peurs profondes de la destruction de l’humanité. 

    LA PATTE ALEX GARLAND

    Netflix

    Pour la première fois seul scénariste et réalisateur, Alex Garland continue son parcours cinématographique avec un nouveau film de science-fiction, Annihilation, adapté du roman éponyme de Jeff VanderMeer. Toujours obnubilé par la question de la fin du monde, le Britannique de 47 ans, à l’origine de La Plage28 jours plus tard et Sunshine, retrouve son thème de prédilection : les conditions de l’existence humaine à l’aune d’un bouleversement de l’ordre établi.

    Ses talents d’écrivain et son imagination débordante rendent ses scénarios en apparence alambiqués bien plus savoureux que d’autres films du genre. Après les zombies, l’espace, l’île paradisiaque, l’intelligence artificielle et le futur dystopique, Alex Garland s’intéresse cette fois-ci à l’invasion alien venue menacer l’espèce humaine. Fait inédit : celle-ci passe par une dégradation et une évolution des espèces via des traumatismes physiques, biologiques et mentaux.

    Pour ce nouveau projet tourné en Angleterre, le cinéaste britannique a fait appel à une équipe de confiance avec laquelle il a déjà travaillé, du directeur de la photographie Rob Hardy (Ex Machina) au monteur Barney Pilling (Never Let Me Go) en passant par le superviseur des effets visuels Andrew Whitehurst (Ex Machina).

     

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