Top Courts-métrages - Page 104

Une gare abandonnée... Un vieil homme songe à son passé...

Minhyeok est photographe et retourne dans sa ville natale, au chevet de son père malade, avec qui il n’a plus de contact depuis des années...

Qu’arrive t-il quand la routine, scrupuleusement planifiée d’un vieil homme, est perturbée par une petite fille ?

Lundi matin... De mornes employés de bureau attendent sur un quai de gare, cachant leur véritable personnalité derrière leurs costumes sombres.

Lors d’un entretien d’embauche, un homme assez solitaire remarque une belle femme qui, sans s’en rendre compte, le conduit dans un voyage où il prendra conscience que le sens de sa vie ne dépend que de lui.

Une jeune fille déambule sur une voie ferrée, avec bagage et appareil photo... le voyage de sa vie.

Un soir Manuel, la quarantaine, qui pense avoir raté sa vie, décide d’en finir. Malheureusement pour lui Alex, une adolescente, a choisi la même heure et le même endroit pour se suicider. Qui a la priorité ?

Marie est une ado empêtrée dans son monde imaginaire qui a du mal à grandir. Quand sa jeune mère lui présente son nouveau copain, la communication entre les deux semble impossible. Frénétique, Marie essaie de regagner sa mère.

Poilu ou pas ? Une question de goût.

À Brighton, Jacob et Ramona nouent jour après jour les liens de leur amour. A l’occasion d’une fête religieuse, Jacob se retrouve en famille et doit revivre le terrible souvenir du jour où il se brisa le cou en plongeant du mauvais côté d’une piscine.

Naples, fin des années 1950. Un carabinier, colosse taciturne que son chef surnomme "O’Moro" - le Maure - a pour mission d’arrêter la racaille de la ville. Un matin, sur le port, la rencontre d’une gitane va changer le cours de sa vie.

En vacances dans le village de son enfance, un père se promène avec son fils, quand ils font une rencontre locale inopportune, avec des cornes !

Géolocalisation de ma rue, dans un quartier neuf du Nord de Madrid.

L’histoire d’un militaire soviétique et d’un danceur géorgien. Un film anti violence sur leréveil de l’instinct humain face à l’envahisseur.

Khorosho est l'histoire des retrouvailles d'Andro et de Beka, deux anciens camaradesde l'armée qui partagent un tas de mauvais souvenirs, une très mauvaise conscience etdes montagnes de cigarettes.

Il arrive dans une discothèque, confus et sans conviction. Tout à coup, il voit Irène. Il se met à éprouver des sentiments uniques et inexprimables en la regardant. Le jeune typeprédirait une série d’événements qui deviendront peu à peu vrai, chaque fois il devientprogressivement plus attirant à Irène.

Cette histoire fait suite à une série d'événements dans lesquels j'ai été impliqué à la fin des années 80. Pendant que je sillonnais les routes d'Australie, je me remémorais des conversations et des déclarations, cherchant désespérément des réponses alors qu'il n'y en avait pas. Il n'y a pas plus de réponses aujourd'hui. Pourquoi ...

Un panel hétéroclite de balayeurs qui travaillent dans un quartier délabré est équipé d'instruments étonnants pour nettoyer le marché. Une vraie fête du rythme envahit alors les rues à coups de balais, de pelles à poussières et de poubelles.

Deux familles passent une journée à la plage. Un incident révélateur renforce l'amitié entre les femmes.

Un boucher, un gendarme, un fossoyeur, une strip-teaseuse, un éleveur de porcs et une femme au chômage nous parlent d’eux et de leur place dans le monde du travail.

41,2 degrés de latitude nord. 1,8 degrés de longitude est. C’est seulement un petit point dans la carte. Juste dans ce point et pendant les quatre saisons de l’année, une caméra scrute le transit quotidien de personnes et la transformation du paysage.

Un père est accusé d'avoir volé son bébé.

Paulo Ribeiro doit vendre la maison où autrefois il fut heureux. C’est le coeur serré qu’il fait visiter la maison à un jeune couple d’acheteurs et leur petite fille. Paulo se revoit trente ans plus tôt…

La journée commence à Lisbonne, et les gens sortent dans les rues : Martins, le barbier venu de Luanda, Simões et ses flèches, Manuel et ses films et le silence de Francisco. Qu’est-ce qui nous définit, après tout ?

L’adieu nostalgique au monde enchanté des maranes (fossés), lieux magiques pour les jeunes habitants des périphéries romaines.

Ce moyen métrage, réalisé sur commande du Parti Communiste italien, analyse la difficile condition des femmes, prises entre travail et patriarcat, tant au Nord qu’au Sud de l’Italie. En 1965, le film remporte le Prix spécial du Jury du Festival de Leipzig. En Italie, il ne se voit pas attribuer le visa de qualité, ce qui équivaut à en ...