Top Courts-métrages - Page 519

Laura a 14 ans, vit seule avec son père dans un petit village d’Auvergne. Dans une maison figée par le deuil et l’absence d’une mère, elle s’abandonne comme elle peut, entre le dessin et ses souvenirs. Jeune fille mystérieuse, introvertie, et malheureusement souffre d’un souffle au coeur, Laura se rend à pied tous les matins à son ...

Un jeune aux antécédents psychiatriques pense être suivi par un étrange personnage à chaque fois qu'il traverse le long corridor de sa résidence.

Suite à la découverte d'un mystérieux message, quatre jeunes inconnus sont invités a se rencontrer par hasard dans les galeries souterraines d'une fortification abandonnée. Ils partent tous ensemble en exploration dans les profondeurs à la découverte des lieux les plus hostiles. Tous ont un même but, retrouver l'étrange individu qui les a amené jusque la …. Vont ils trouver la lumière à leur énigme ? c'est a vous de le découvrir…

Un capitaine garde-côte d'une petite île grecque est soudainement chargée de sauver les vies de milliers de réfugiés se noyant.

Pendant les années 90 le terrorisme algérien atteint la France. Deux hommes. Deux identités. Une bataille.

Dans une voiture à hayon qui leur sert de maison, Pearl suit une fille et son père alors qu'ils traversent le pays.

Une improvisation artistique menée au jour le jour entre le 15 septembre et le 15 novembre 2015 inspirée par l'actualité internationale des pages du quotidien français Libération, où se sont brutalement invités les tragiques événements survenus à Paris le 13 novembre.

Damien, étudiant de 22 ans, ne s'entendd plus avec son père. Un soir après une dispute, il quitte l'appartement pour la nuit. Dans la rue, il tombe sur un règlement de compte qui tourne mal. Il y rencontre Alistair, un mystérieux individu, qui l'invite à le rejoindre dans sa sanglante épopée.

La Sécurité routière a confié à Jean-Xavier de Lestrade la réalisation d'un court-métrage sur les gendarmes chargés d'annoncer aux familles le décès d'un de leur proche dans un accident de la route.

Chômeur longue durée, quitté par sa femme, Pierre est au plus bas, accumulant les refus d'embauche à ses nombreuses candidatures. Un jour, c'en est est trop, il est à bout. Mais Pierre n'est pas seulement malheureux : il est maladroit.

Dans les années 50, suite à l'infidélité de son mari, une femme au foyer mijote une vengeance peu ragoûtante...

NOVEMBRE 2052: Victoria demande les services d'une agence pour remonter le temps en 2015 et rencontrer son père avant sa mort. C'est une double rencontre, celle d'une fille avec son père alors qu'elle ne l'a pas vu depuis plus de 40 ans et celle d'une Victoria adulte et d'une Victoria enfant...

Lucie, trente ans, est comme sortie de sa propre vie depuis que son compagnon l'a quittée jusqu'au jour où… Jusqu'au jour de lucidité.

Un humble homme d'entretien de la salle de concert devient le héros inattendu, dans une violente attaque terroriste. (Paris – le Bataclan, le 13 Novembre 2015).

Cette adaptation d’une nouvelle de Guy de Maupassant évoque le procès de Rosalie, une femme de chambre accusée d’infanticide. A la manière d’un témoignage filmé face caméra, Borowczyk théâtralise la détresse de Rosalie soumise au jugement du public

Influencée par le surréalisme et le dadaïsme, cette œuvre hybride constituée de collages, de découpages et d’images d’archives suit la promenade d’un personnage polymorphe

Les deux cinéastes Walerian Borowczyk et Jan Lenica explorent à nouveau la technique du découpage et du collage pour cet effeuillage animé.

Dans un documentaire consacré à l’art des affiches, Borowczyk qui a coécrit le scénario, dessine une fresque sociale, culturelle et politique de la Pologne.

Empruntant aux codes du théâtre burlesque, Borowczyk tourne en dérision les scènes de la vie quotidienne à travers deux personnages qui deviendront les héros du Théâtre de Monsieur et Madame Kabal dans son premier long métrage d’animation en 1967.

Borowczyk détourne le conte du Petit Poucet dans une publicité humoristique pour des pâtes dont l’esthétique rappelle ses premiers courts métrages.

Influencé par Max Ernst dont il s’inspire du roman graphique Une semaine de bonté, Borowczyk utilise les techniques du découpage et du collage afin de donner vie aux pages d’une encyclopédie du 19è siècle.

A partir d’une série d’aquarelles et de gouaches signées Borowczyk mais qui évoquent le style de De Chirico, ce court métrage d’animation surréaliste évoque l’horreur de l’univers concentrationnaire en jouant sur les  formes et les sons.