Avis sur Dix hommes à abattre

Vague remake du mythique 7 Hommes à abattre, même si Randolph Scott est de la partie, ce n'est pas cette série B mollassonne avec sa mise en scène de téléfilm et tournant autour de thèmes déjà cent mille fois exploités et mille fois mieux qui va convaincre, et qui peinera même à faire passer un bon moment aux spectateurs les moins exigeant. Oubliable à souhait.

C'est le scénario classique du film western au centre du Far West. Au centre de l'Arizona dans un village paisible deux hommes s'affrontent, l'un le gentil et l'autre la méchant. Dix hommes arrivent dans le village et la pagaille commence. Des coups de feu, des couples et de la vengeance, du classique du cinéma.

Western de série B par excellence. Un bon et beau casting avec en tête Randolph Scott et surtout Richard Boone (moins de charisme mais meilleur acteur que Scott). Le scénario est banal mais avec une réflexion sur la justice subtil (par le biais du frère avocat). Le film est un peu court ce qui rend la césure du film plus grossière entre début (mise en place, ville calme) et la fin (action et désordre). L'histoire d'amour entre Scott et sa belle est aussi bâclée. Avec une durée de 1h17 15mn en plus n'aurait pas été une sinécure. Malgré une mise en scène sans éclat ça reste un western de bonne facture.

une réalisation une histoire un scénario et des dialogue plutôt bon , par contre le reste du film n'est pas terrible pour cause i des scènes de bagarre très mauvaise même pour l'époque j'ai déjà vu des Western ou des acteurs jouer largement mieux quand il prenait une balle ou bien lorsqu'il y avait des scène de combat c'était largement mieux ici on voit les coups de poing passé largement à côté de la personne concernée quand les personnages se font tirer dessus quand il tombe c'est vraiment très mal interpréter j'ai jamais vu ça même dans d'autres films plus vieux je ne comprend donc pas pourquoi c'est le cas la ! Un homme jaloux de voir une fille de qui il est amoureux ce rapprocher d'un autre garçon il décide de se venger et de tuer ce garçon , en hésitant pas une seule seconde a tuer sa famille ou ses proches si il ne se rende pas à lui . Il montent alors une armée de 10 hommes pour sa vengeance. Mais le jeune garçon entourer de sont oncle bons essayer d'abattre c'est dix hommes .

Quand les pionniers sont arrivès dans cette vallèe d'Arizona, il n'existait alors qu'un misèrable village de pisè que les mexicains et les Indiens avaient commencès à construire! Randolph Scott s'est attelè à la tâche et la ville d'Ocatilla est nèe! Western de sèrie B dans la lignèe d'un Ray Enright ou d'un Joseph H. Lewis qui s'adresse avant tout à un public d'aficionados! Classique par le thème (histoire sur fond de rivalitè et d'aventures amoureuses), "Ten Wanted Men" n'est pas moins traitè avec efficacitè et conviction par un H. Bruce Humberstone qui connaît son mètier sur le bout des doigts! Bâtir son ranch, èlever du bètail, travailler a la prospèritè de la ville ne lui a guère laissè le temps de s'occuper des femmes! C'est mal connaître Randolph Scott qui mènera les choses à sa façon en faisant règner l'ordre et la loi...tout en charmant Jocelyn Brando qui nous rappelle dans le film qu'elle est sa petite amie! Fusillades, dynamite, bagarre dans une maison rèduite à l’ètat de ruine, beaux paysages de canyon et mèchants qui ont la gueule de l'emploi (Richard Boone, Lee Van Cleef). C’est le menu qui vous attend...

Nul doute que ces "Dix hommes à abattre" connaissent leur statut de série B et l'assume comme tel. Et en définitive, un western sans surprise ni brio, mais qui, grâce à une mise en scène relativement efficace, une petite nervosité et des interprètes de bonne facture (Richard Boone en tête) remplit sans trop de souci sa mission : divertir et faire passer une bonne soirée. C'est déja cela.

A plus d'un titre, ce western méconnu interessera les amateurs du genre. Deux éléments retiennent l'attention. D'abord, la qualité de l'interprétation. Outre Randolph Scott, toujours à l'aise dans cet univers de barbelés, des acteurs tels que Richard Boone, Leo Gordon, Lee Van Cleef, et Jocelyne Brando (oui, la seur de Marlon), relèvent constamment l'intérêt de l'intrigue, au demeurant pas si banale. En effet, ce western décrit une ville sans loi, telle qu'elle l'était sans doute dans l'Homme qui tua Liberty Valence avant l'arrivée de James Stewart. Ici aussi, un homme de loi arrive au début du film, pour rejoindre son frère puissant mais honnête qui règne sur la région (le film laisse entendre que ce dernier n'a cependant pas toujours utilisé des moyens orthodoxes pour arriver où il en est). Mais c'est beaucoup trop tôt, le shériff est un jeune homme qui n'en peut mais, et l'homme de loi sera éliminé à la première occasion. Le règne des hors la loi ne sera mis à mal que par l'action du surhomme, c'est à dire celui qui emploie les mêmes moyens qu'eux mais dans le bon sens et avec plus de force. Ainsi, seule la force règne, quel que soit le côté de la loi, car celle ci n'a pas encore les fondements qui pourraient lui permettre de réguler les écarts de la force. Belle démonstration.

Un bon western de série B. Les codes du genre sont respectés (on pense parfois à "Rio Bravo" ou à "Règlements de comptes à OK Corral"), Randolph Scott fait moins papy que d'habitude (même si ses coups de poing manquent un peu de vigueur - n'est pas John Wayne qui veut) et quand les méchants sont incarnés par Richard Boone et Lee Van Cleef, on ne s'offusque pas que les personnages féminins soient aussi cucul la praline.

Voici un western édifiant,il montre que sans talent le genre ne vaut pas tripette,sans talent du metteur en scène je m'entends.Car, les vedettes sont présentes et pas n'importe lesquelles mais bien empruntées faute d'être dirigées.j'ai rarement vu Boone aussi mauvais et pourtant quel talent il déploie dans "The tall T"ou dans Hombre.Il est vrai que ce sont Boetticher et Ritt qui tiennent les commandes.Scott ne s'en sort pas trop mal grâce à son allure impériale et les nombreuses cavalcades sont bien réussies d'où l'étoile.

Un western de série B comme on en a beaucoup tourné dans les années 1970, avec le spécialiste du genre, Randolph Scott, dans le rôle du héros sans peur et sans reproche. Une intrigue convenue et les bons triomphent à la fin. Sympathique...

Randolph Scott était un habitué des westerns de série B. Celui-ci en fait partie. Cela ressemble en nettement moins bien à "Réglement de comptes à OK Corral". Autant Randolph Scott est égal à lui-même, l'homme fort du film, autant Richard Boone est mauvais, voire méconnaissable, par rapport à ses rôles de méchant où il est habituellement à l'aise. Une mention cependant pour Leo Gordon (Frank Scavo) qui est à peu près le seul acteur avec Scott, à tirer son épingle du jeu. Le scénario manque de consistance et l'histoire reste banale. Distrayant et correct, mais pas génial.

Je ne sais pas, entre Audie Murphy et Randolph Scott, lequel des deux (ou un autre) a joué dans le plus de série B (question de jeu-concours). « Dix hommes à abattre » (le titre nous renseigne sur l’épilogue du film) est un western de série B qui repose sur une histoire de vengeance. Randolph Scott est égal à lui-même, monolithique mais charismatique. Richard Boone, fidèle à son image est un bon méchant (sans moustache et pas encore enrobé). Parmi les méchants, on note la présence de Lee Van Cleef sans sa moustache (dans combien de westerns ne porte-t-il pas la moustache ?). Skip Homeier, le gentil neveu tête-à-claque, fera par la suite une carrière de bon gros méchant. Et Jocelyn Brando n’est autre que la sœur de Marlon. Malgré son manque de rigueur et pas mal de petites scories, « Dix hommes à abattre » est un bon divertissement.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).

Un film que j'ai eu du mal à regarder jusqu'au bout. Scoot Randolph est vraiment constipé et joue mal (il ne fait même pas l'effort d'orienter son pistolet vers sa cible). Une étoile pour Lee Van Cleef qu'on découvre tout jeunot.