Avis sur Born to Defense

film tres passable combat tres moyen jet lee on dirait une fille lol

Un film d'arts martiaux très divertissant et très sympathique.

Le petit chinois, contre le grand américain. Voila comment je résumerais le premier réalisé par Jet Li que j'ai eu l'occasion de voir. Mince dans le scénario, tout réside dans les scènes de combats, et voila pas grand chose de plus. Ca n'arrivera pas a me réconcilier avec le cinéma asiatique. 2.5/5

Jet Li on le connait surtout pour ses prestations exceptionnelles devant la caméra mais beaucoup moins en tant que réalisateur. A ce jour, Born to defense constitue sa première et seule véritable expérience en la matière qui ne restera pas dans les mémoires. Principal défaut à mettre en avant ; un scénario qui se laisse aller à trop de facilités avec des soldats américains considérés comme des héros et qui outrepassent leurs droits. Et puis on sait que Jet Li est un formidable athlète et les combats qui s’enchainent ici sont loin de mettre en valeur son talent mais il faut préciser que l’acteur âgé là de 23 ans n’est encore qu’au début de sa carrière qui s’enrichira les décennies suivantes.

Le scénario est plutôt mince et l'intérêt du film réside surtout dans les combats, mais pour une fois Jet Li s'en prend plein la gueule, c'est le cas de le dire... Heureusement que sa filmographie comporte des films nettement moins insipides que cette lavasse.

Je suis personnelement un grand amateur des films de Jet Li mais là, amateur ou pas, c'est franchement un sacré navet... Des scenes de combats mollassonnes, des dialogue vraiment pas terrible et une histoire fade et sans interet...
A eviter!

Jet Li passe pour la première fois derrière la caméra pour réaliser un petit film d'action distrayant, sans plus.

Quand Jet Li se prend pour Rocky Balboa... Film de et avec Jet Li, seconde guerre mondiale, l'armée chinoise tente de repousser l'armée japonaise. Jet, de retour au pays après s'être bien battu en tant que soldat, rend visite à son lieutenant toucher à l'époque par une explosion. Il est à présent conducteur de pousse-pousse, Jet lui est subjugué de voir que les américains règne dans la ville. Il y à un bar ou au milieu se trouve un ring, les américains macho traite les gens de la ville de jaune, se tape des gonzesse bref. Vient ensuite ou un marine américain lance un défi à Jet, de se battre contre lui, et c'est là que ça devient intéressent. J'avais hâte de voir comment Jet comptait si prendre en utilisant pas les pieds, mais que les gants. Jet qui boxe, le scoop ! seulement il nous fait bien comprendre que c'est pas du tout mais pas tout son style, il ne peut s'empêcher de donner des coups de coudes, pieds et j'en passe. Il tombe aussi contre le chef des marines, un gars de deux mètres à la Yvan Drago souvenez vous dans Rocky IV, c'est effarant de voir les quasi même similitude, nous sommes face à Rocky mais en mode Wushu. A souligner aussi le passage comme ou au fur et à mesure du combat tout part en vrille et ça devient du Rocky III (Rocky vs Hulk Hogan), Jet ne cesse de se relever des coups de l'amerloque et tout part en catch, s'ensuit une baston générale, c'est plus un bar, c'est un cirque vivant, je rajoute dans tout ça, une poursuite en pousse-pousse avec une femme enceinte dessus et Jet court pour fuir une jeep, ou Jet est obsédé de se venger après que les marines est casser le pousse-pousse. Il se permet de faire un petit arrêt dans son film et de nous parler un peu d'un sujet sensible, la prostitution. Reste enfin la revanche final tant attendu dans un entrepôt, c'est vif, énergique, de bon combat, une musique sympa. Du bon Jet Li.

A tout juste 23 ans, Jet Li se mettait en scène avec ce Born To Defense, imposant indirectement une suite à sa carrière. Plus que se mettre en scène, Jet Li s'est présenté à son public, comme beaucoup, entre action et politisation face à l'impérialisme étranger et la monté du militantisme national. Sous son apparence de légèreté, Born To Defense s'achève par un déferlement de violence, qui le classe parmi les revendications les plus catégoriques et extrêmes, définitivement sans issu face au libéralisme.

le premier film de Jet Li en tant que scénariste et réalisateur il signe ici un film de guerre et c'est rapidement lancé dans la réalisation et dans l'écriture malgré que c'était seulement sur 3e ou 4e film de sa carrière ce qui est assez rapide, le film a beaucoup de lacunes en terme d'écriture et même de réalisation et de dialogue mais cela est normal car c'est la première fois qu'il écrivait un film donc ça ne peut pas être parfait et excellente du premier coup c'est normal. le film a beaucoup de similitudes avec le marin des mers de Chine que Jackie Chan a fait dans ses jeunes années peut-être que Jet Li voulait faire à peu près la même chose en terme de film vu que les deux ont souvent été en concurrence en Chine même si ils ont 10 ans d'écart. sinon le film est assez bon il est divertissant les scènes de combat et d'action sont excellentes sont géniales même on voit un Jet Li en pleine forme prêt à tout donner pour en découdre avec des adversaires coriace qui lui donne du fil à retordre le film ne se contente pas d'être un film de guerre c'est là le point fort de ce film car c'est aussi divertissant est un film d'aventure c'est plutôt un film d'action ou de arts martiaux avant d'être un vrai film de guerre car au final il n'y a pas tant de scène de guerre que cela pour un premier film disons que c'est plutôt pas mal c'est bien joué en tout cas

Un petit film d'art martiaux, nerveux et efficace , avec deux ou trois moments originaux . Les cascadeurs n'ont pas été ménagé.

un bon film de jet li saı la seul foıs quil a realiser un film et je trouve quil sen sort plus to bien

Jet Li devant et derrière la caméra pour ce Born to defense, un film d’action simple mais efficace qui derrière un aspect assez caricatural séduit par son efficacité coup de poing.
En effet le gros atout du film c’est ses scènes de combats. Un peu longue certes, et un peu grandiloquentes, comme souvent dans le style asiatique, néanmoins on ne peut nier que Born to Defense nous assène des affrontements de qualité, avec des athlètes qui ne le sont non moins. La confrontation Jet Li-Petersson a indéniablement de l’allure, et on profite en plus d’un style « boxe », qui n’est finalement pas très fréquent en dehors des films de sport.
Le film profite aussi d’un scénario qui se veut sérieux et surprenant. Born to Defense n’est pas un film de mariole, et il est volontiers déconcertant et violent, tant sur le ring que dans les émotions et les rebondissements en dehors du ring. Très alerte, certes largement dominé par les combats, Born to Defense sait aussi toucher la corde sensible du spectateur. Après on regrettera malgré tout un côté très caricatural et manichéen, et un certain simplisme général qui discrédite un peu le film.
Au casting on se coltine donc Jet Li, qui offre une prestation comme souvent chez lui un peu monolithique, mais compensée par un personnage bien trouvé, et par des prouesses athlétiques certaines. Il assure donc dans son rôle, et face à lui on trouve un percutant Kurt Roland Petersson, qui n’a pas par la suite fait beaucoup de cinéma. Lui aussi, pas très expressif, il est pour autant un combattant solide, et il assure niveau charisme. Les autres acteurs ne sont pas vraiment mauvais, mais ils marquent moins, en dépit de personnages pas inintéressants, principalement du côté asiatique, car pour le reste c’est très caricatural, sauf pour Petersson.
Visuellement Born to Defense dispose d’une belle photographie, d’une reconstitution légère mais suffisante pour y croire, et Jet Li, malgré une mise en scène parfois un peu saccadée (le début notamment), trop découpée, ne démérite pas, et permet au moins de profiter des combats avec sérénité. C’est quand même là qu’il est le plus à l’aise, car sinon il y a des maladresses. Enfin de bons choix musicaux, notamment pour un des combats, ce qui est bienvenu.
Ainsi Born to Defense est un bon film asiatique d’arts martiaux. Pas très historique mais assurant dans l’action, ce métrage saura faire plaisir aux amateurs du genre, et Jet Li trouve ici un bon rôle, c’est indéniable. A voir avant tout pour le spectacle, qui aurait toutefois gagné à offrir peut-être davantage de confrontation, plutôt que quelques combats longs et donc forcément un peu redondants. 3.5

Un classique du cinéma asiatique
Du grand Jet li
Le film a l'instar de fist of fury, avec les japonais, de il Man également dénonce une époque où l'armée américaine profitait de l'occupation après guerre pour commettre des injustices
Le film représente le gentil petit chinois contre le grand méchant américain grossièrement mais reflète tout de meme une certaine réalité
Une merveille

Ce film peut fasciner à plus d'un titre. Derrière un scénario des plus basiques viennent se cacher les ingrédients d'un film de propagande assez extraordinaire en ce qu'il est le pendant, l'alter ego des innombrables films dont les studios hollywoodiens abreuvent l'occident depuis 80 ans. A chaud, je viens de le visionner, je comprends très naturellement pourquoi ce film n'a jamais été diffusé en France avant les années 2000. De façon parallèle, il fallut attendre la toute fin des années 90 pour entendre parler des exactions commises par les GIs sur les femmes françaises en Normandie. S'il est certes caricatural dans son approche, ce "petit" film nous donne les clefs pour appréhender une autre culture de la morale, une approche différente et qui nous laissera perplexes tant nous sommes nous-mêmes américanisés dans nos réflexes : spoiler: le psychodrame à rallonge concernant la relation du père lieutenant et de sa fille prostituée... impensable dans un film occidental ; ou encore cette façon très clinique, nette et précise mais crue d'administrer la vengeance à la fin... là ou un film hollywoodien aurait fait un carnage sans distinction, ici celui qui ferait office de "Big Boss" est épargné et le véritable assassin, mais second couteau, périt de façon atroce.
Décidément, ce "petit" film, mine de rien nous en apprend un bout sur ce qu'a pu être la Guerre Froide et la façon dont nous en avons été les marionnettes.