Avis sur 20th Century Boys

je ne connais pas le manga donc je ne peux juger par rapport à ce dernier !c'est un bon divertissement sympa mais vraiment rien d'exceptionnel, il est clair que la mise en scène et le scénario est cool parfois prenant mais aussi long par moment, on se perd entre les adultes et les gosses, globalement mon avis est mitigé !

Une histoire a qui il aurait fallu attribué un autre réalisateur.Car l'histoire aurait mérité d'être traité autrement qu'une série z.Ce film demande des effets spéciaux de qualité et le budget manque cruellement de moyen,il n'y a aucun doute.La vapeur qui sort des nouilles chaud est tellement sur dosé et mal intégré que l'on ne voit même plus les acteurs.Et c'est tout le temps comme ça,les effets spéciaux ne sont médiocres,ainsi que le réalisateur qui ne sait pas faire un cadrage et a un qualité d'image hideuse.Il ne pas non plus de rythme au récit.Les acteurs en fond des caisses il joue façon manga,avec des gestes décuplé.Difficile avec tout ça d'avoir un bon film et la suite a l'air d'être dans la même ligné.

Très bon film très réaliste, le casting est bien, les musiques aussi et les effets visuels réussis ! Le film nous laisse (quasiment) en plein suspense. Cependant je trouve l'explosion finale un peut exagéré...

Même au vingtième degrès c'est MAUVISIME !!!!!!

Kenji, vendeur dans une supérette familiale, constate d’étranges phénomènes autour de lui. Une secte dirigée par un mystérieux gourou prend de plus en plus d’importance, un virus tue des gens en les vidant de leur sang… Il va se rappeler que ses amis et lui avaient écrits ces prédictions quand ils étaient enfants dans le cadre de leurs jeux.
20th Century Boys est l’adaptation en film du manga de Naoki Urasawa, dont il suit plutôt fidèlement le scénario. Ayant trouvé le manga exceptionnel, j’ai apprécié ce long-métrage tout autant. Il est impressionnant de constater à quel point les acteurs ressemblent à leurs homologues de la version papier. L’histoire est simplifiée, ce qui est nécessaire à ce genre d’adaptation, mais cela permet de rendre le film plus accessible pour ceux qui découvrent le récit de cette manière. De plus, les scènes les plus importantes ont été conservées et ça a été un vrai plaisir de les retrouver.

Oua! quelle claque que je me suis pris en visionnant ce film! Je ne connaissais pas le mangas, mais en tous cas ce film est formidable dans tout les points, l'histoire biensur, la mise en scénes, les effets, les acteurs (qui sont toujours comme ca dans les films japonais donc pas la peine de critiquer) Bref, une tuerie que ce film et une histoire qui fait réfléchir , non pas sur les trucs de gamins ou les cahier de prédiction, mais sur le fait qu'un homme qui arrive avec des arguments bidon, mais dans une certaine ambiance arrive au sommet alors qu'il est a la base de tout...Et ce truc fait peur a notre époque et a des similitude avec l'allemagne nazi...Bref un grand film y a rien a redire vivement la suite....

J'ai trouvé ça très moyen, et j'étais pas du tout intéressé par le film. Les acteurs en font des tonnes et ont des têtes à claque, l'histoire met longtemps à se mettre en place et c'est assez dur à suivre.

Un film bien connu au Japon. Je m'attendais à mieux. Ça se regarde sans plus. L'histoire est intéressante sur le papier. La mise en scène est correcte mais n'a rien de transcendante non plus.

Il y a comme ça des films qui ,au bout d'une demi-heure vous saoulent, vous font bailler et d'autres qui vous accrochent dès les premières minutes. Ici, je n'ai qu'une envie, voir la suite de l'histoire et aussi me plonger dans le manga que je ne connaissais que de nom! Allez hop...

On sent à chaque instant la longueur de ces 2h20 interminables, c'est len à l'encéphalogramme plat de bout en bout. L'acteur principal en fait des tonnes dans le mec naïf sans envergure. Les décors est ausi kitsh que le scénario est sans aucun sens de l'action ; action d'ailleurs quasi inexistante. On s'ennuie ferme pour une adaptation manga qui est beaucoup trop fidèle à la BD... 1 étoile justement pour cette adaptation qui ne plaira qu'aux fans inconditionnnels du manga originel. Pour les autres c'est un cinéma emmerdant aux effets spéciaux dépassés et sans suspense. La mise en scène est télévisuel, on croirait la première partie d'une saga kitsh nippone produite pour la télé.

On ne comprend vraiment pas tout à cette histoire bien trop compliqué et mené par des acteurs assez médiocre... Bref, il ne donne même pas envie de regarder les 3 suites !!!

J'ai vu un film... Enfin un manga au cinéma, plus exactement, et je trouve que l'exercice d'un support à l'autre n'est pas particulièrement réussi... Certains plans, certaines séquences ne survivent pas au passage entre le papier et la pellicule... Ce film est trop long, les intermèdes musicaux sont assez moyens... Les comédiens manifestent la surprise avec intensité, et toutes les parties de leur corps... Essayez de faire pareil, et très vite, les gens vous regardent avec circonspection... Certains dialogues sont indigents... Mais malgré tout, on peut quand même reconnaître un certain charme, ou plus exactement un charme exotique...mais ce n'est pas vraiment suffisant pour l'apprécier...

Ce 20th Century boys est la transposition au 7ème art d'un manga connu et reconnu que je n'ai jamais lu. C'est donc avec un oeil complètement vierge sur l'histoire en 24 volumes de Naoki Urasawa que j'entame ce film qui dès les premières minutes arbore des airs de grosse production. Un générique tape à l'oeil sur la chanson éponyme de T.Rex suffit à nous faire entrer de pieds fermes dans cet univers visuellement très réussi. Car au delà de l'histoire qui finalement est bien plus intéressante en résumée que sur l'ensemble des deux heures et demi de film, c'est bien l'univers graphique de ce que doit être le manga qui prime. Le symbole très réussi de cette soi-disant secte et son leader anonyme, les dessins du cahier des prédiction, la machine de l'affiche, ce sont nos yeux qui sont ravis. Et si le scénario nous lasse dans le déroulement de l'action, c'est avant tout car de la densité de celui-ci nait une espèce de trop plein loin d'être indispensable. Même si il se passe énormément de choses, le film ressemble à une immense introduction qui ne veut jamais vraiment démarrer. Dommage car les personnages eux aussi sont un point fort de cette adaptation bancale et mal maîtrisée. Un film moyen donc qui donne malgré tout assez pour avoir envie de découvrir une suite qui s'annonce comme un prolongement différent. Espérons juste qu'elle soit un peu moins brouillon.

L’abus de loufoquerie et d’absurderie tue le film ! Cet avertissement aurait du être pris en compte lors de la préparation de ce film qui dure près de deux heures trente. A défaut de captiver, le film ennuie au plus haut point.
20th Century Boys est adapté d’un manga fleuve populaire au Japon (donc pour y adhérer, il est recommandé de s’y connaître un minimum ou d’apprécier ce genre de cinéma !).
Le script nous racontant la fin du monde prophétisée peine à convaincre, le scénario tournant en boucle, la seule chose que l’on attend, c’est le générique de fin !

Trop aimer un livre vous rend totalement incapable d'apprécier son adaptation cinématographique, a fortiori si celle-ci se contente de respecter prudemment "l'histoire" dont elle s'inspire, et si elle n'est pas alimentée par une vision originale "d'auteur". Avec ce 1er chapitre de la déclinaison en film du génial manga de Naoki Urasawa, on est d'autant plus consternés qu'à la fidélité littérale à l'histoire foisonnante de "20th Century Boys" s'ajoute un contre-sens absolu dans l'ambiance du film : là où Urasawa nous enchante avec un mélange irrésistible de mélancolie (l'enfance et son imaginaire survolté) et d'abstraction conceptuelle (toutes les strates de mémoire et de temporalité enchevêtrées), Tsutsumi ridiculise ses personnages en injectant une bouffonnerie déplacée, et bâcle de nombreuses scènes à 100 à l'heure, histoire de clairement remplir son "contrat", soit l'adaptation - le doigt sur la couture, aux ordres du studio - millimétrée d'une œuvre qui ne se réduit pourtant pas à son scénario.