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    Inland
    Note moyenne
    3,0
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    10 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    Je crois que je n'avais vu pire film, c'est tout simplement une horreur, ça se voudrait avant gardiste et ce n'est qu'une encyclopédie des caractéristiques des grandes avants garde du passé un peu de Godard (les scéne d'intérieur se déroulant dans l'obscurité ce qui entraine l'impossibilité de voir les visages), beaucoup de Antonioni (toute la premiere partie présente de troublante ressemblance avec Zabriskie Point) et même du Bela Tarr (bon là c'est peut être moi qui délire mais enfin certains plans ressemble pas mal a Satantango), donc strictement aucune inovation réel.
    Cela ne serait pas trés grâve si encore il y avait un fond interessant, mais non, il n'y a strictement rien, du vent, le vide total, c'est une suite de plan inutile (pourquoi donc s'apesentir ainsi sur une foreuse ou sur le trajet d'un train), prétentieux, ce qui rend le film totalement chiant et même incompréhensible, mais y a-t'il seulement quelque chose a comprendre? c'est la question qui nous tarraude et même nous torture durant tout le film, un semblant d'histoire semble apparaitre au bout d'1h30 de film avec l'arrivé de cette émigrante que le héros va aider mais c'est tellement mal traité qu'a aucun moment on ne parvient a s'y interesser.
    En résumé c'est un film long, lent, chiant et sans intéret de la masturbation intellectuel dans sa plus pur expression, a fuir!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2009
    La mise en images magnifique d'une fuite, d'un refus d'une violence politique et humaine. Entre humanisme et pessimisme, douceur et âpreté, liberté et répression. Une oeuvre puissante.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Eblouissant... Surtout si l'on sait que le désert est un décor de plus en plus à la mode dans le paysage du cinéma contemporain. Alors que Gus Van Sant le filme comme un espace mortifère, que Vincent Gallo le représente comme le lieu de sa propre solitude et que Bruno Dumont l'associe aux désordres intérieurs de ses personnages, Tariq Teguia se contente humblement de le topographier, avec la rigueur d'un sismographe. Sa manière de composer chaque plan est exceptionnelle : rupture des perspectives, science du cadrage miraculeuse, images granuleuses d'une obsédante beauté... Inland, c'est le film d'un passage, d'une rencontre, d'une bouffée d'air sec. Et n'en déplaise à ses détracteurs, Inland raconte une histoire : simplement, sa dimension politique n'est qu'une toile de fond susceptible de mieux brouiller les pistes. Prétexte qui confine à l'ironie : le personnage de Malek ne se perd pas comme les deux gerry. Il n'est pas seul comme Vincent Gallo. Pas plus qu'il n'est habité par des pulsions sexuelles mécaniques à la manière des deux corps de Twentynine Palms. Non, Malek s'échappe pour trouver le calme, loin des contraintes idéologiques et du vacarme d'un café algérien. Inland, c'est la fuite. En quelque sorte. On n'avait pas vu d'aussi belles images depuis le Désert Rouge d'Antonioni. Un chef d'oeuvre.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2009
    L'Algérie existe t-elle ? Devant la caméra du surdoué Tariq Teguia, le pays semble une entité floue, rêvée, dont les paysages paraissent estomper tout repère. Inland est un film de grands espaces, contemplatif à la manière d'un Antonioni, c'est dire l'attrait du vide. Mais l'Algérie est bien réelle, de manière dialectique et polémique : dans l'évocation d'une administration tatillonne, dans une histoire récente marquée par le terrorisme, dans l'incurie du gouvernement...Tous ces aspects cohabitent dans le film de Teguia, non sans mal d'ailleurs, et s'y ajoute même une pointe d'aventure avec l'irruption d'une réfugiée malienne qui fait basculer le destin du héros topographe. Inland est trop long (2h20) et le réalisateur a tendance parfois à se prendre pour un artiste abstrait. Reste un regard de cinéaste sur son propre pays et c'est passionnant.
    arnaud1972
    arnaud1972

    24 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2009
    ce film se contemple comme une oeuvre d'art tellement la beauté des images est sidérante (chaque plan est un tableau d'une sensibilité lumineuse étonnante)mais malheureusement la faiblesse du scénario (et l'invraisemblance du dénouement)plonge le spectateur dans un ennui contemplatif avec un souvenir cinématographique peu attachant, bref de bien belles images ne suffissent pas à faire un bon film!!!
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2009
    cinéma très expérimental. Est-ce que les critiques qui encensent ce film comme une pure merveille lui rendent service ? Trop long, filmé un peu n'importe comment, scénario se perdant dans les sables... Télérama situe le film "entre land art et chronique politique" !!! Land art ? was ist das ? Késaco? Nouveau concept ? Bon, un film pas inintéressant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 mars 2009
    après Rome plutôt que vous, Tariq Teguia s'affirme comme un jeune auteur avec qui il va falloir compter. Tourné avec peu de moyens, son second long métrage, Inland, témoigne d'une belle amibtion artistique. Sa manière de filmer le désert, l'espace, le silence ne sont pas sans rappeller Profession reporter d'Antonioni. Une belle référence !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 avril 2009
    Chef d'oeuvre!
    1. Forme.
    Du grand art, plein de profondeur, de mouvement, de liberté de ton. Elle épouse le fond de l'histoire, le porte.
    2. Espace.
    L'homme est a sa découverte - il nous decouvre l'homme. L'espace large, l'espace étroit, et le passage. Les moments de passage sont magnifiques dans ce film. Les moments de repos aussi.
    3. Temps.
    La syncope et la detente. L'attente et la fuite. La justesse de chaque seconde, a la recherche de l'être.
    4. Histoire.
    Elle n'est pas absente! Bien au contraire, elle fouille les etres, les choses, l'image. Elle est la.
    5. Son
    Oh, la musique est géniale. Meme plus, la structure musicale du film est géniale. Le silence est génial.
    6. Parole
    Juste et simple, mais elle cache un immense talent, talent de la bonne mesure.
    7. Image & experiment.
    On ne peut pas connaître toute la verité. On doit la tatonner, la sentir, l'approcher. Par des bribes, des flous, des agencements du concret et d'abstrait.
    8. Humour
    On rigole bien, très bien.
    9. References.
    Herzog. Michael Mann. Soderbergh. Hunger. Rossellini.
    10. Fond
    Tout ce merveilleux travail, pour aboutir a l'humain, pour le décortiquer et en découvrir la grâce.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 avril 2009
    et si le scénario était aussi travaillé que l'image...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mai 2009
    C'est long, très long, prétentieux et mortellement ennuyeux. Des plans fixes interminables et inutiles. Aucune émotion. Le générique de fin est le meilleur moment du film.
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