Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Cinéaste du lien et des sens, Grégory Magne, après "L’Air de rien" et "Les Parfums", nous offre son film le plus abouti, sensible et drôle. Une ode magnifique à la beauté et au vivre ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Abus de Ciné
par Benjamin Bidolet
Étant donné le sujet, il n’est pas surprenant que "Les Musiciens" prenne rapidement des allures de film choral. Une forme de narration complexe que Grégory Magne parvient à maîtriser avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Après L’Air de rien et Les Parfums, Grégory Magne continue de creuser le sillon du film de métier oblique. Métier du titre, bien sûr, mais avant tout considéré sous l’angle de sa cheville ouvrière : c’est par des plans tournés à l’intérieur d’un violon que s’ouvre le film, dans un prologue qui donne la parole au luthier François Ettori, dans son propre rôle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les variations de tonalités tournent le film tantôt vers la fantaisie la plus débridée et tantôt vers la mélancolie la plus amère, où il est question de l’artiste et de sa solitude.
Elle
par Françoise Delbecq
Sous ses dehors de vaudeville, une comédie sans fausses notes et d'une grande élégance sur la musique et la quête d'harmonie.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Primesautier quand il le faut, grave quand le sous-texte l’exige, « les Musiciens » distille à merveille ses contretemps. Et instaure une cadence toujours alerte, relayée par sa troupe de comédiens, interprètes parfaits de cet enchantement musical.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Le réalisateur Grégory Magne dépeint avec finesse l’univers de la musique et ses tensions humaines, mêlant émotion, comédie et précision. Les musiciens se distingue par la justesse de son interprétation, portée par des acteurs-musiciens jouant réellement de leurs instruments, et par une bande originale signée Grégoire Hetzel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Tribune Dimanche
par Charlotte Langrand
Grégory Magne, le réalisateur des Parfums, propose une charmante plongée dans les coulisses de la très exigeante musique classique. Il décide alors d'en bousculer la technique et la rigidité pour proposer une respiration, une détente à ce monde à part et revenir aux sources de la musique : la vibration entre les êtres.
La critique complète est disponible sur le site La Tribune Dimanche
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La grande musique de la comédie humaine, vacharde, cruelle, féroce mais bien attachante.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Quant à la musique, créée par Grégoire Hetzel (compositeur attitré d’Arnaud Desplechin et de Mathieu Amalric), elle est un personnage à part entière. Le finale en est d’ailleurs exalté par de bouleversantes envolées qui disent sans trop l’appuyer toute la force, la beauté et la nécessité du lien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Emmanuel Marolle
Une partition subtile.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier Bellamy
Rien de moins chabada qu’un quatuor à cordes. Pourtant, Grégory Magne réalise là l’un des plus beaux films sur la musique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une partition sans fausses notes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Emily Barnett
Une comédie de mœurs tout en finesse.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Signée Grégory Magne, cette comédie d’abord charmante, puis émouvante, raconte la préparation épique du concert d’un quatuor à cordes. Bijou.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Une élégante comédie humaine avec de savoureux points d’orgue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La musique adoucit les mœurs, prétend un dicton populaire. À coup sûr, ce film qui lui fait la part belle réjouira les passionnés de relations humaines autant que les amateurs de musique, initiés ou non.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout de suite un bémol dans cette partition : on sait exactement où le film va nous mener. La musique comme la psyché humaine sont soumises aux humeurs, aux variations, aux polyphonies, aux attaques et aux ritournelles. Le tout est de s’entendre, au propre comme au figuré. Pour autant, Grégory Magne (...) réussit à capter notre attention.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Boris Bastide
La morale qui guide les musiciens a certainement nourri tous ceux qui ont participé à la fabrication de cette comédie prête à gommer ses aspérités pour trouver une joyeuse communion dans le faire-ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Tout est là, mais l’ensemble manque de substance et de moments lyriques pour que le public soit concerné par les histoires personnelles. Une petite fausse note rattrapée lorsque le film s’intéresse aux répétitions et montre un groupe au travail, avec des musiciens qui parviennent à surmonter leurs différences pour jouer en harmonie.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré un scénario prévisible et des personnages un peu trop stéréotypés, le réalisateur réussit une partition légère et sans prétention, dont les notes d'humour désacralisent moderato la musique classique et ses grands artistes, souvent intimidants.
Version Femina
par Hadrien Machart
Après "Les Parfums", Grégory Magne nous plonge dans l’univers de la musique classique et décrypte les mécanismes de la création artistique dans un huis clos où les ego s’affrontent. Grâce au soutien de grands acteurs et à la finesse de son analyse psychologique, son film s’impose comme une inspirante peinture de l’âme humaine.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
S’il offre quelques belles scènes musicales, le film manque de subtilité comme de surprise dans les portraits qu’il brosse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
C’est lorsqu’il est purement impressionniste et qu’il laisse le temps à ses acteur·ices-musicien·nes de jouer, de s’installer dans un moment de musique, que le film touche quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
On retrouve ici la marque de fabrique du cinéaste : son regard sincèrement pétri d’amour et d’humanité pour ses personnages. Mais l’écriture trop archétypale de ceux- ci et plus encore des conflits qui les oppose rend artificiel leur processus de rapprochement et crée une distance permanente avec un récit dont on devine par avance chaque rebondissement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Cinéaste du lien et des sens, Grégory Magne, après "L’Air de rien" et "Les Parfums", nous offre son film le plus abouti, sensible et drôle. Une ode magnifique à la beauté et au vivre ensemble.
Abus de Ciné
Étant donné le sujet, il n’est pas surprenant que "Les Musiciens" prenne rapidement des allures de film choral. Une forme de narration complexe que Grégory Magne parvient à maîtriser avec brio.
Cahiers du Cinéma
Après L’Air de rien et Les Parfums, Grégory Magne continue de creuser le sillon du film de métier oblique. Métier du titre, bien sûr, mais avant tout considéré sous l’angle de sa cheville ouvrière : c’est par des plans tournés à l’intérieur d’un violon que s’ouvre le film, dans un prologue qui donne la parole au luthier François Ettori, dans son propre rôle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les variations de tonalités tournent le film tantôt vers la fantaisie la plus débridée et tantôt vers la mélancolie la plus amère, où il est question de l’artiste et de sa solitude.
Elle
Sous ses dehors de vaudeville, une comédie sans fausses notes et d'une grande élégance sur la musique et la quête d'harmonie.
L'Obs
Primesautier quand il le faut, grave quand le sous-texte l’exige, « les Musiciens » distille à merveille ses contretemps. Et instaure une cadence toujours alerte, relayée par sa troupe de comédiens, interprètes parfaits de cet enchantement musical.
La Croix
Le réalisateur Grégory Magne dépeint avec finesse l’univers de la musique et ses tensions humaines, mêlant émotion, comédie et précision. Les musiciens se distingue par la justesse de son interprétation, portée par des acteurs-musiciens jouant réellement de leurs instruments, et par une bande originale signée Grégoire Hetzel.
La Tribune Dimanche
Grégory Magne, le réalisateur des Parfums, propose une charmante plongée dans les coulisses de la très exigeante musique classique. Il décide alors d'en bousculer la technique et la rigidité pour proposer une respiration, une détente à ce monde à part et revenir aux sources de la musique : la vibration entre les êtres.
Le Dauphiné Libéré
La grande musique de la comédie humaine, vacharde, cruelle, féroce mais bien attachante.
Le Figaro
Quant à la musique, créée par Grégoire Hetzel (compositeur attitré d’Arnaud Desplechin et de Mathieu Amalric), elle est un personnage à part entière. Le finale en est d’ailleurs exalté par de bouleversantes envolées qui disent sans trop l’appuyer toute la force, la beauté et la nécessité du lien.
Le Parisien
Une partition subtile.
Le Point
Rien de moins chabada qu’un quatuor à cordes. Pourtant, Grégory Magne réalise là l’un des plus beaux films sur la musique.
Les Echos
Une partition sans fausses notes.
Marie Claire
Une comédie de mœurs tout en finesse.
Sud Ouest
Signée Grégory Magne, cette comédie d’abord charmante, puis émouvante, raconte la préparation épique du concert d’un quatuor à cordes. Bijou.
Télérama
Une élégante comédie humaine avec de savoureux points d’orgue.
aVoir-aLire.com
La musique adoucit les mœurs, prétend un dicton populaire. À coup sûr, ce film qui lui fait la part belle réjouira les passionnés de relations humaines autant que les amateurs de musique, initiés ou non.
La Voix du Nord
Tout de suite un bémol dans cette partition : on sait exactement où le film va nous mener. La musique comme la psyché humaine sont soumises aux humeurs, aux variations, aux polyphonies, aux attaques et aux ritournelles. Le tout est de s’entendre, au propre comme au figuré. Pour autant, Grégory Magne (...) réussit à capter notre attention.
Le Monde
La morale qui guide les musiciens a certainement nourri tous ceux qui ont participé à la fabrication de cette comédie prête à gommer ses aspérités pour trouver une joyeuse communion dans le faire-ensemble.
Nice-Matin
Tout est là, mais l’ensemble manque de substance et de moments lyriques pour que le public soit concerné par les histoires personnelles. Une petite fausse note rattrapée lorsque le film s’intéresse aux répétitions et montre un groupe au travail, avec des musiciens qui parviennent à surmonter leurs différences pour jouer en harmonie.
Télé 7 Jours
Malgré un scénario prévisible et des personnages un peu trop stéréotypés, le réalisateur réussit une partition légère et sans prétention, dont les notes d'humour désacralisent moderato la musique classique et ses grands artistes, souvent intimidants.
Version Femina
Après "Les Parfums", Grégory Magne nous plonge dans l’univers de la musique classique et décrypte les mécanismes de la création artistique dans un huis clos où les ego s’affrontent. Grâce au soutien de grands acteurs et à la finesse de son analyse psychologique, son film s’impose comme une inspirante peinture de l’âme humaine.
Les Fiches du Cinéma
S’il offre quelques belles scènes musicales, le film manque de subtilité comme de surprise dans les portraits qu’il brosse.
Les Inrockuptibles
C’est lorsqu’il est purement impressionniste et qu’il laisse le temps à ses acteur·ices-musicien·nes de jouer, de s’installer dans un moment de musique, que le film touche quelque chose.
Première
On retrouve ici la marque de fabrique du cinéaste : son regard sincèrement pétri d’amour et d’humanité pour ses personnages. Mais l’écriture trop archétypale de ceux- ci et plus encore des conflits qui les oppose rend artificiel leur processus de rapprochement et crée une distance permanente avec un récit dont on devine par avance chaque rebondissement.