On pourra reprocher à ce succès d'être sans intérêt, mais la violence de "Pulp Fiction" est telle qu'on ne retiendra que les 2h de performance signées Tarantino.
carré rien à dire bien violent et bien drôle, j'ai kiffé. un des meilleurs films de tarantino et également l'un de ceux qui m'a permis de comprendre que c'était un génie.
Mon film référence. Décliner tout les superlatifs et dans toutes les langues... un peu trop long. Mais le mon ce divise en 2 catégories: Ceux qui ont regardé, décortiqué, analysé, imprégné ça rétine de chaques scènes. Et les autres... Scénario, direction, casting... une seule ombre au tableau. Un immonde personnage de Miramax charcutant le montage.... bla bla bref... Il reste le film que je prendrais sur une île déserte!
Pulp fiction de 1994 est une sorte de remake américain des Tontons flingueurs français de 1963 : dialogues abondants et cultes, acteurs chevronnés et la bride sur le cou, trames policières prétextes. Certains disent que le clou du film ce sont les danses du couple Travolta-Thurman. Le premier avait encore de beaux restes après son inoubliable show de La fièvre du samedi soir. Il avait appris à danser avec le frère de Gene Kelly. Cela dit, les fleur bleue sont en droit de préférer Chantons sous la pluie à Pulp fiction.
Ce qui est fascinant avec Tarantino, c'est sa passion qu'il transmet dans chacun de ses plans.
Il nous offre là une œuvre ludique, débordant d'idée, de références, de rebondissements, d'idées visuelle.
Pour abordé l'esthétisme du film, c'est une imagerie qui est marquante par ses gros plans filmant le visage des comédiens, ses plans large filmant un dialogue entre deux personnages, son jeu de lumière, sa colorimètirie, tout ce déguste à merveille. Notamment dans la séquence du restaurant.
Une histoire accrochante tellement elle est complète, tellement elle déborde d'idée, et l'utilisation de sa formule narrative est incroyablement réussite. Les personnages marquant (de tête, j'ai surtout aimé le personnage de Uma Thurman ainsi que John Travolta). Les dialogues toujours aussi captivant, même si j'ai préféré ceux de Inglourious Basterds.
Ce que j'ai aimé également c'est ce montage, certains pourrais le trouver trop dynamique, et abusif de la méthode du champ contre champ. personnellement je trouve que tout ça fait en quelque sorte le charme du film, notamment les champ contre champ qui sont utilisés à merveille.
En bref, c'est une œuvre incroyable tant elle semble complète. sûrement un des meilleurs Tarantino.
Franchement j'ai regardé le film pour la hype qui ce faisait autour , sincèrement je comprends pas , j'ai pas accroché du tout. L'histoire part dans tout les sens, trop de blabla pour rien. Nul de chez nul
eh bien… que dire ? je n’ai jamais été une grande admiratrice de Tarantino, et une fois de plus, cela s’est confirmé avec ce film. pourtant, ce n’est pas faute d’avoir voulu le voir. j’en ai très souvent entendu que du bien, et ce qui m’a finalement décidé à franchir le pas, ce n’est autre que la scène de la danse entre Mia (interprétée par la belle Uma Thurman) et Vincent (par le légendaire John Travolta).
bon, bien bien… c’était long. terriblement long et parfois ennuyant. c’est ce que je peux reprocher au cinéma de Tarantino, beaucoup trop de dialogues, des répliques parfois inutiles, des discours qui n’ont ni queues ni têtes… il y a eu certes quelques bonnes répliques, mais je n’y ai malheureusement pas trouvé grand intérêt. j’aurais adoré aimer ce film comme l’opinion publique, sauf que je ne partage pas cet avis.
mention spéciale tout de même pour la scène de la danse, qui je ne sais pour quelle raison, me passionne. je peux la regarder trois fois d’affilée, impossible de m’en lasser. je la trouve sensuelle, trépignante et très douce. il y a quelque chose d’énigmatique dans cette scène, quelque chose qui nous rend impossible de détourner le regard une seule seconde. c’est pour moi, la scène la plus marquante de ce film.
L'histoire racontée en plusieurs parties de deux gangsters dans les rues de Los Angeles, d'un boxeur, d'un parrain et de sa femme dans le début des années 1990.
Le scénario est bien ficelé, avec un humour noir déchirant. Palme d'Or 1994 + Oscar du Meilleur Scénario Original en 1995, ainsi que de nombreuses autres récompenses.
Encore un film culte réaliser par Quentin Tarantino, tout est bon dans ce film, les acteurs, la BO, et les dialogues. Mon dieux les dialogues sont du pain bénis pour nos petites oreilles. Le plus marquant reste tout de même la tirade de Samuel L. Jackson. Un classique du cinéma, mais je pense que pour l'apprécier il faut être dans un état d'âme particulier, une envie de le découvrir.
Pulp Fiction est, sans aucun doute, un pilier du cinéma moderne, qui a tant d'inspiration et de références agréables à remarquer et Tarantino, utilise ces éléments pour peaufiner son art.
Tout était parfait, jusque dans les moindres détails. Samuel L. Jackson a réalisé une performance d'acteur unique en son genre. C'était tout simplement phénoménal, la façon dont ses émotions se traduisent à l'écran, son charisme, sa voix, c'était tellement bon et c'est la même chose pour John Travolta et Uma Thurman. Il y a aussi une bande originale emblématique.
En outre, je pense que ce film décrit un aspect réaliste des gangsters ; il nous montre qu'ils ne sont pas tous mauvais, qu'ils sont humains, qu'ils ne sont pas invincibles, qu'ils aiment les choses simples.
Et bien sûr, ce film a tout, le drame, l'action, l'aventure, il peut aussi être vu comme une course contre la montre avec une excellente intrigue et un rythme maîtrisé.
Pour résumer, ce film est unique, emblématique et tellement inspirant.
Le meilleur film de Quentin Tarantino L'un des films les plus cultes de la décennie Trois histoires magistralement bien ficelé mettant en scène deux petits malfrats avec des répliques bibliques aussi culte les unes que les autres une pépite du cinéma
Deux gangster amoureux sont sur le point de braquer une cafétéria, tandis qu'à l'autre bout de la pièce, deux tueurs professionnels sont en train de tranquillement boire leur café... On retourne quelques temps en avant pour se plonger dans toutes les péripéties de Vincent et Jules (les tueurs). De l'overdose de la femme de leur patron, Mia, à la fameuse danse dans un restaurant ambiance seventies, nous sommes plongés dans tout ce grand bazar qu'est leur vie. Parallèlement, le boxeur Wallace est poursuivi par des personnes qui ne lui veulent pas du bien...
Tarantino nous dévoile ici une histoire découpée, avec des retours dans le temps, un récit presque choral. Un puzzle et un challenge pour le spectateur très appréciable ! Comme d'habitude, le casting est impressionnant, les personnages se renvoient les dialogues comme des balles, Les paroles fusent. Uma Thurman m'a époustouflée dans son rôle d'épouse complexe et bien sûr Samuel L Jackson et ses répliques cultes. Ce film marque aussi la renaissance de John Travolta, le fameux acteur de Grease qui incarne ici un caïd un peu balourd et déjanté ! L'agressivité et la dureté de la vie des protagonistes est typique de Tarantino. Ici, la vengeance n'est pas le sujet principal du film mais on la retrouve partout, dans chaque scène. C'est très sanglant. Ne pensez pas passer un quart d'heure sans en voir gicler de partout ! (On se souviendra d'ailleurs des tenues ensanglantées de Vincent et de Jules, si célèbres)
Selon moi, il s'agit d'un des meilleurs films de Tarantino. L'avancée du scénario, les techniques à la caméra, le jeu des acteurs, tout est maîtrisé. Les plans fixes et les travelling, ainsi que les plans très minutieux (les pieds de Uma Thurman, une tasse de café...) se succèdent. Les 2h30 s'écoulent vite et la BO est grandiose ! Un film à (re)voir, classe et excitant.
Ce n'est que la deuxième fois que je regarde Pulp Fiction mais quel film. En réalité je n'ai pas grand chose à en dire, c'est juste la qualité des dialogues qui sont hilarants qui est assez impressionnante. Le tout avec un mélange des timeline qui offre un suspense et un lien entre toutes les histoires décrites. Ça donne une œuvre hyper délirante et bien construite, bref un très bon film. Le casting est exceptionnel, mention spéciale à Samuel Jackson et ses répliques légendaires.