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    Une Étoile est née
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    32 critiques spectateurs

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    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2024
    La pellicule abîmée induit de brefs passages où les images sont remplacées par des photographies, procédé nécessaire mais nuisible. De même les numéros chantés manquent parfois de pertinence ou simplement de prestance, alors qu'il aurait été plus judicieux de n'en garder que la quintessence, ce qui aurait rendu honneur au talent de Judy Garland dont ce rôle aux faux airs de mise en abîme manifeste sa riche palette interprétative. Face à cette force emplie de douceur, James Mason habite la scène de son charisme ébréché. Ainsi la partie mélodrame se joint à la critique du monde des médias hollywoodien pour exprimer toute l'ambivalence de cette fameuse "machine à rêves" qui détruit ceux qu'elle exploite ou les soumet à de douloureux corollaires à la célébrité entre avidité, hypocrisie et ambition - même si de sincères amitiés demeurent présentes. Une histoire d'amour désillusionné bien plus réussie que la comédie musicale.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 187 abonnés 12 166 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    C'est à George Cukor qu'est revenu le mèrite de rèunir les inoubliables Judy Garland et James Mason dans "A Star is Born", la version la plus aboutie de l'un des plus grands chefs d'oeuvre de la comèdie musicale! D'une Garland en ètat de grâce qui ressuscite à 32 ans pour montrer un inègalable talent dans la douleur et la chanson, mais aussi la danse et la pantomime! On ne comprend toujours pas aujourd'hui comment l'Oscar de la meilleure actrice lui a èchappè des mains ? L'oeuvre de Cukor est abondante mais il y a quelques pèpites à dècouvrir absolument! Et s'il ne devait en rester qu'un dans sa filmographie, ce serait le totalement tragique, "A Star is Born", version 1954 qui bouleverse les genres et ce même s'il fut l'objet d'une mutilation scandaleuse pour des problèmes de distribution! Fort heureusement, « Here's what I'm here for » , chantè par Garland & , « Lose that long face » , renaissent de leurs cendres dans une superbe version intègrale! Et puis il y a ce final mythique et poignant qui vous arrachera les larmes...
    brianpatrick
    brianpatrick

    72 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 août 2021
    Une étoile est née. Judy Garland est née. Il y a trois opus concernant ce scénario. Les trois films restent magnifiques car les trois actrices restent très douées. Là, Judy Garland a de la voix. Elle sait chanter. Le film date ; il est sorti en 1954. Los Angeles des années cinquante. Les étoiles d’Hollywood. Son compagnon, l’anglais, James Mason, joue très bien. Le film reste plus osé que les deux suivant. Il est plus long. Le drame psychologique reste bien plus prononcé. Par contre, la musique reste moins bonne, mais c’est simple, tout simplement, en 1954 le rock n’existait pas encore. Ou il débutait. La musique c’était du musique hall. Au second opus, en 1970, la musique avait largement évolué.
    Tony Herriam
    Tony Herriam

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    Film incroyablement bien fait aussi bien techniquement que scénaristiquement. Les acteurs principaux jouent vraiment merveilleusement. Film à voir au moins une fois dans sa vie.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 027 abonnés 4 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2020
    Quand elle arrive sur le plateau d’« Une étoile est née » en octobre 1953, Judy Garland n’a pas tourné un seul film depuis près de quatre ans après que la MGM n’a pas renouvelé son contrat suite à « La jolie fermière » de Charles Waters. Recrutée à peine âgée de 15 ans, l’actrice au talent protéiforme qui a fait les beaux jours du studio après le succès énorme du « Magicien d’Oz » (Victor Fleming) en 1939 a certes régulièrement donné le meilleur d’elle-même mais son embrigadement téléguidé par une mère qui dès ses treize ans lui fait passer une audition devant Louis B. Mayer, n’est pas sans effet sur son équilibre psychique. Afin de faire garder son allure juvénile à sa star vedette et de lui permettre d’endurer la cadence infernale des tournages, le studio lui fait prescrire des amphétamines dont elle devient rapidement dépendante. Le succès déclinant quelque peu, Judy Garland entre dans une dépression dès le début des années 1940. Son comportement devenu erratique en relation avec sa consommation d’alcool et ses déboires sentimentaux, la MGM se montre beaucoup moins attentionnée. C’est dans ce contexte troublé que Sidney Luft, le nouveau compagnon de miss Garland réussit à convaincre George Cukor tout d’abord réticent de s’investir dans le projet d’un remake dansant de « A star is born » réalisé en 1936 par William A. Wellman qui lui-même s’était inspiré de « What price Hollywood ? », regard acéré porté en 1932 sur les mœurs d’Hollywood par George Cukor lui-même. C’est la possibilité offerte à Cukor de côtoyer pour la première fois le Technicolor qui a fini par emporter la décision. Le réalisateur pense à Cary Grant pour le rôle de Norman Maine, acteur alcoolique devenu pygmalion d’une jeune chanteuse qu’il aide à accéder au sommet alors que lui-même est en perte de vitesse. L’acteur peu enthousiaste à l’idée de s’affronter aux sautes d’humeur de Judy Garland exige Betsy Drake comme partenaire pour finir par refuser le rôle. Cukor ne lui pardonnera jamais cette dérobade. Sont alors proposés Frank Sinatra ou Humphrey Bogart mais Jack Warner n’est pas de cet avis. Après John Hodiak et Stewart Granger un temps envisagés, c’est James Mason qui est finalement choisi. Le tournage ne sera pas une partie de plaisir mais le jeu en valait sans aucun doute la chandelle tant le film est une perfection que ce soit du point de vue esthétique, documentaire ou de la performance des deux acteurs principaux. Tourné dans des décors somptueux qui restituent parfaitement la dimension factice de l’univers hollywoodien, « A star is born » touche au cœur grâce à Norman Maine (James Mason) et Vicky Lester (Judy Garland) qui sont comme les deux faces d’une même pièce nommée Judy Garland. Une Judy Garland croyant sans doute relancer sa carrière grâce à sa première et unique nomination à l’oscar mais qui ne tournera plus à la suite que quatre films insignifiants. La jeune femme qui n’a que 32 ans, effectue certes avec tout son savoir-faire et son professionnalisme les numéros de danse que lui concoctent Richard Barstow et George Cukor mais déjà son visage poupon porte les stigmates d’une détresse profondément ancrée qui ne la quittera plus jusqu’à finir par l’emporter à seulement 47 ans. A travers le personnage masculin de Norman Maine qui incarne la face inexorable du déclin des sacrifiés sur l’autel de la gloire, lui aura été épargné la charge de devoir endosser l’ensemble de sa propre trajectoire. Mais les regards horrifiés que lance Vicky Lester sur son époux entraîné dans la spirale de l’autodestruction en disent long sur la lucidité de celle qui restera à jamais l’innocente Dorothy Gale du « Magicien d’Oz ». Lui refuser l’Oscar qui aurait peut-être constitué pour Judy Garland le remède miracle, témoigne de la cruauté de la Mecque du cinéma qui cette année-là choisit de récompenser Grace Kelly (« Une fille de la province » de George Seaton) qui était alors « la nouvelle étoile qui venait de naître ».
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2020
    «A star is born» met en scène le trajet d'une ascension et d'une chute, un mouvement qui n'est ici pas inhérent à un personnage unique mais à deux vedettes – l'une déclinante, l'autre montante. George Cukor montre comment l'amour entre Norman Maine et Esther Blodgett ne peut dépasser l'orgueil de l'un, qui n'accepte pas de ne plus être dans la lumière et encore moins d'être éclipsé par celle qu'il a révélée. Parmi les deux scènes importantes du film qui racontent le mieux ce conflit entre amour et malaise, celle de la cérémonie des Oscars sort du lot : tandis qu'Esther reçoit la récompense suprême, Norman débarque ivre sur scène et fait d'un moment de joie un condensé de honte. Mais Esther, loin de rejeter Norman, accompagne ce dernier jusqu’à leur table, preuve décisive d'un soutien qui préfigure la décision finale de la jeune chanteuse : spoiler: plutôt que de rester au sommet, elle sera prête à sacrifier sa carrière par amour
    . L'autre scène à retenir absolument est celle où Esther réalise un numéro musical devant Norman dans leur salon. La chanteuse, qui étale tout son talent, est épanouie alors que l'acteur fait mine d'être comblé. Le jeu de James Mason, nettement plus convaincant que celui de Judy Garland qui manque parfois de subtilité, permet cette lecture d'un bonheur surjoué dans la mesure où l'on sent le rire forcé et les expressions calculées. L'orgueil prend le pas sur l'amour et l'on comprend que si Esther sera capable de tout arrêter pour Norman, celui-ci ne saura admirer dans l'ombre la carrière de sa femme. Le film en fait parfois trop dans sa volonté de mêler la cruauté au lyrisme, des scènes intimes profondes à des numéros musicaux qui s'étirent inutilement, et on se dit que l'on aurait préféré l'ensemble plus axé sur le personnage incarné par James Mason, tortueux et déprimé, que sur celui de Judy Garland, indéniablement moins complexe ; néanmoins, ce choix de donner presque autant de temps à l'écran à l'un qu'à l'autre n'impacte aucunement l'émotion liée au destin de Norman. Lui et Esther existent quand ils sont à l'écran – simultanément ou séparément – mais c'est bien à la chute de l'acteur à laquelle on pense le plus souvent quand ce dernier est hors-champ. En ce sens, Cukor aura réussi son tour en mettant la douleur au-dessus de la joie, en faisant de l’orgueil un sentiment plus fort que l'amour.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2020
    Des multiples adaptations de "A Star is Born", la version de George Cukor sortie en 1955 est sans doute la plus connue. La meilleure ? Cela reste à prouver. L'histoire de "A Star is Born" reste très importante, notamment en ce qui concerne l'affirmation féminine, se détachant de la tutelle du conjoint. Judy Garland et James Mason forment un duo convaincant et cette dernière enchante le public de sa voix. Mais l'ensemble respire quand même grandement le classicisme. George Cuckor étant un des plus éminents représentants de cette période, le film conviendra en effet à tous les adeptes de l'âge d'or hollywoodien, chargé de mélodies sirupeuses. La longueur de "A Star is Born" fait souvent défaut et comporte de nombreuses scènes d'ennui, y compris musicales. En effet, il faut bien constater que le film ne contient que peu ou pas de chansons mémorables. Une rencontre cinématographique qui ne s'est pas faite.
    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 774 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2020
    Les destins croisés d'une actrice vers les sommets et de son mari, acteur alcoolique et vieillissant. Un mélodrame musical flamboyant, sublimé par le Technicolor et son duo d'acteurs Judy Garland et James Mason.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Le miracle du cinéma d'Hollywood, que ce soit du rêve en noir et blanc colorié le rend encore plus belle, aussi brillante que soit née cette étoile depuis la nuit des temps intemporels.
    Les acteurs sont touchés par la grâce, un grand comme James Mason dans son rôle très juste, tortueux, torturé, de la dramaturgie réaliste, tout un scénario que l'idée fleurie des fictions personnifiées.
    C'est un acteur qui se fait vieux, commencera sa descente du beau ciel étoilé, une star déchue rencontre une autre montante, singulière Judy Garland, la romance est équilibrée dans ce chef-d'œuvre.

    La longue épopée parsemée de mise en scène au style roman-photo dialogue en continu, n'est-ce pas magnifique ? Rien que pour ça, on ne s'ennuiera jamais et ne s'en lassera devant ce spectacle compassion et peine pour cette splendide histoire faillible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 août 2019
    Une déception. J’ai senti passer ces trois heures où tout est trop étiré et prévisible (ou peut-être trop souvent imité par la suite). Les chansons sont pénibles, notamment le long numéro de Garland avant l’entracte, que Cukor lui-même a renié, ou encore tout cet interminable mélodrame de la deuxième partie, plombé par le jeu excessif de Garland, bien meilleure dans la légèreté. Reste le talent de metteur en scène de Cukor et une première moitié dynamique et agréable à suivre. Je retiens surtout une inventivité narrative qui m’a plusieurs fois fait penser à de la bande dessinée, comme avec cette demande en mariage en différé, ce mouchoir qui vole d’un personnage à l’autre, ou même ces photos de plateau insérées pour combler les trous du premier montage.
    Redzing
    Redzing

    952 abonnés 4 313 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2019
    Histoire intemporelle et universelle, "A Star is Born" a connu plusieurs adaptations à l'écran. La deuxième sort en 1954, à la sauce de l'âge d'or de la comédie musicale américaine. On retrouve l'idée d'un acteur alcoolique sur le déclin, qui tombe amoureux d'une jeune femme très talentueuse, et va la propulser sur scène, se faisant ainsi de l'ombre. Cette version bénéficie d'un sujet creusé en profondeur, sur près de 3h (en version restaurée). On y voit en détails la déchéance de l'homme, et les tourments du couple. James Mason et Judy Garland sont impeccables et poignants dans leur rôle, celui d'un alcoolique peu à peu misérable et jaloux, qui garde toutefois un bon fond et un amour envers sa femme, et celle d'une star en devenir, qui tente d'aimer son mari malgré ses maux. A côté, la mise en scène est très belle et ambitieuse, et la voix superbe et puissante de Judy Garland est largement mise en avant. A ce niveau, les numéros musicaux sont souvent un peu longs, mais c'était la mode à l'époque... "A Star is Born" cuvée 1954 est donc un beau film, réussi et sensible.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2018
    Grand classique du cinéma hollywoodien des années 50, le film est assez étonnant tant par son sujet iconoclaste que par sa mise en scène qui joue de façon assez moderne avec les floues et le cadre. Après c'est un peu trop long (quasi 3h !) et les chansons sont barbantes....
    Estonius
    Estonius

    2 577 abonnés 5 265 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Le film est aussi raté que son modèle de 1937 mais pas pour les mêmes raisons. Cukor fait ce qu'il peut mais on sent qu'il n'a pas la maîtrise du film qui est un film de producteur entièrement construit autour de Judy Garland, et c'est justement là que ça ne va pas. Les numéros chantés sont interminables, souvent sans chorégraphie et desservie par une musique qui n'a rien d'exceptionnelle. De plus Garland, bien fatiguée a un problème de maquillage à ce point que dans une scène chantée, on se demande si tout ça ne va pas dégouliner. Quant à Mason, on l'a connu plus à l'aise. Bref tout cela est interminable, insipide et bien surfait.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    95 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2017
    La version de ce film avec Judy Garland fait près de trois heures, et on ne voit pas passer le temps pour peu qu'on en soit prévenu. Pourtant, la partie qu'on peut considérer comme l'introduction dure une bonne demi-heure et ne s'attache pas franchement à accrocher le spectateur, confiant dans sa bienveillante longueur. Car l'œuvre est à la fois assez longue pour se permettre de démarrer à petit feu, et suffisamment réussie pour ne pas avoir besoin de s'attarder sur les détails relationnels, même s'ils peuvent manquer en masse à qui a vu la version avec Janet Gaynor dans le rôle-titre. Heureusement, "réussie" est un euphémisme : on n'ose imaginer combien la production était sûre d'elle pour créer cet ambitieux projet au ton pas si enjoué que ça, mêlant sur toute sa longueur la beauté des sentiments forts à la dure réalité du showbiz, que le premier Une Etoile est née n'avait pu s'empêcher de mystifier.
    cylon86
    cylon86

    2 288 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2016
    Technicolor, Cinémascope, Judy Garland, James Mason, une durée de quasiment trois heures... En réalisant le remake du film de William A. Wellman, George Cukor a vu les choses en grand. Trois heures de grand divertissement hollywoodien où le drame côtoie la comédie musicale et où la satire n'est jamais loin. Norman Maine, acteur alcoolique et sur le déclin, repère un soir la chanteuse Esther Blodgett. Sous le charme, Norman fait tout pour que le rêve de célébrité d'Esther se concrétise. Devenue Vicki Lester pour les studios, Esther connaît un vif succès et épouse Norman. Mais alors qu'elle accède de plus en plus en plus la gloire, la carrière de Norman est au point mort et il sombre encore plus dans l'alcoolisme... Loin d'être une histoire de jalousie professionnelle, le film nous conte une superbe histoire d'amour, celle d'un homme qui verra en la carrière de sa bien-aimée la plus belle chose qu'il ait fait de sa vie. Tragique et bouleversante sur la fin, l'histoire n'en demeure pas moins légère à ses débuts, véritable success-story entrecoupée de morceaux musicaux parfois longuets mais souvent inventifs, en témoigne une danse et une chanson improvisées d'Esther en plein milieu de son salon pour faire rire son mari. Pas le temps de s'ennuyer durant les trois heures de cette épopée romantique offrant à Judy Garland un rôle qui lui va comme un gant, l'actrice y déployant tous ses talents. Mais on retient surtout James Mason dans un rôle refusé par beaucoup avant lui, un rôle d'acteur pathétique mais lucide que Mason compose avec son charisme habituel ainsi qu'avec une bonne dose d'émotion sur la fin. Critiquant le système des studios qui s'emparait de la moindre tranche de vie privée de ses acteurs, "Une étoile est née" est surtout une très belle histoire d'amour, celle d'un acteur réussissant mieux à lancer la carrière de sa femme plutôt qu'à relancer la sienne.
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