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Sur les six sketches seul le dernier qui voit Raimu et la troublante Suzy Prim s'affronter est à la rigueur à retenir. Le reste n'a pratiquement aucun intérêt, la réalisation est paresseuse et la direction d'acteurs est inexistante. Le pire étant le sketch avec Fernandel qui ne peut s'empêcher d'en faire de trop jusqu'à l'excès à ce point que le pauvre Jules Berry ne trouve pas assez d'espace pour s'exprimer. Quant à la pauvre Cécile Sorel, ce n'est certainement pas ici que l'on trouvera le témoignage de son talent.
Dans un salon parisien sont réunis quelques bourgeois qui confessent devoir leur réussite, ou d'autres leur échec, à de "petits riens", circonstances anodines qui n'ont pas moins bouleversé la vie des uns et des autres. Chacun, à tour de rôle, en fait le récit.
Le film s'apparente donc au film à sketches, auxquels on pourrait accorder quelque valeur philosophique (les effets de la providence) s'ils n'étaient pas, tout de même, extrèmement simples. La comédie, parfois teintée d'amertume, ne dépasse guère, en effet, le cadre de l'anecdotisme un peu plat et, au-delà, elle ne brille d'ailleurs pas par une mise en scène et un ton véritablement originaux.
Le film n'est toutefois pas sans charme, qu'il doit pour l'essentiel à ses interprètes de renom dans des prestations pas inoubliables (Raimu fait simplement du Raimu) mais qui, sans aucun doute, confèrent au récit de chacun des intervenants de la personnalité.
Le film s'apparente donc au film à sketches, auxquels on pourrait accorder quelque valeur philosophique (les effets de la providence) s'ils n'étaient pas, tout de même, extrèmement simples. La comédie, parfois teintée d'amertume, ne dépasse guère, en effet, le cadre de l'anecdotisme un peu plat et, au-delà, elle ne brille d'ailleurs pas par une mise en scène et un ton véritablement originaux.
Le film n'est toutefois pas sans charme, qu'il doit pour l'essentiel à ses interprètes de renom dans des prestations pas inoubliables (Raimu fait simplement du Raimu) mais qui, sans aucun doute, confèrent au récit de chacun des intervenants de la personnalité.
Un film qui a le mérite de bien refléter son époque et qu'on aurait dû mal à programmer maintenant avec quelques propos misogynes, d'autres racistes mais c'est avant tout une ode à la tolérance dans le couple, dans les rapports humains. Et cela n'a pas du plaire à tout le monde.
On notera que ce film a été tourné en 41/42 mais le visa de censure date de 1946.
Fernandel y un rôle un peu plus modeste qu'à l'accoutumé mais néanmoins intéressant. Il n'est pas là pour vous faire rire, mais vous divertir et attirer votre attention sur "ces petits riens de la vie".
A voir par les amateurs du genre et les fans de Fernandel
On notera que ce film a été tourné en 41/42 mais le visa de censure date de 1946.
Fernandel y un rôle un peu plus modeste qu'à l'accoutumé mais néanmoins intéressant. Il n'est pas là pour vous faire rire, mais vous divertir et attirer votre attention sur "ces petits riens de la vie".
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