Avis : Le Pensionnat - Page 2

Bof bof bof ! Thriller fantastique complètement raté il faut l'avouer ! Le début est un brin intrigant mais alors le suspense ne dure qu'un temps ! Et plutôt court ! Après c'est long, c'est insipide, cela ne fait pas peur, la chute finale est décevante... bref un film qui avait du potentiel mais qui est mauvais ! C'est essayé mais c'est râpé !

Un film de fantôme sans frayeurs, sans angoisse, sans suspense, assez ennuyeux en fait... Le gosse se fait un copain fantôme et veut l'aider à passer de l'autre côté. Rien de bien amusant. Malgré une bonne réalisation et un jeu de lumière amusant, on s'ennuie souvent.

Encore un formidable exemple de l'incroyable richesse du cinéma asiatique dont les frontières s'élargissent au fil des années.
A la fois film de fantomes, teen movie et superbe mélodrame "Le pensionnant" passionne par sa facon d'embrasser une multitude de niveaux scénaristiques avec delectation.
Cette richesse thématique est sublimée par une impressionnante maitrise et inspiration visuelle alliant une beauté plastique et une amplitude de mouvement qui distingue ce film de fin d'été comme l'une des meilleures surprises de l'année.

A voir absolument.

intéressant... Je m'attendais à quelque chose de bien flippant mais pas du tout c'est plus psychologique avec une vraie réflexion à la sortie sur le besoin d'autrui.... alors déçu parce que je pensais voir de l'épouvante mais le message et la façon de le faire comprendre à travers cette histoire m'a plu malgré tout....

Un bon film composé d'une magnifique bande-son et d'un scénario parfaitement écrit, à la fois tendre et étrange. Cette histoire d'amitié mêlée à une quête mystique à l'intérieur d'un décor original et qui plus est interprétée par des enfants est vraiment bien trouvé et bien mis en scène. Dommage que le rythme soit en dents de scie et que certains détails qoient trop prévisibles!!

Ca change des films fantastiques habituels. Le Pensionnat est vraiment plus profond. On trouve des thèmes très différents dans un seul film.

(…) Loin des accès révérencieux nippons connus dans le genre, quitte à quelques accès premier degré bien marqués mais emprunts d'une tendresse amusée, Le Pensionnat fait illusion sur tous les genres qu'il épouse. Le film a les défauts de ses qualités et s'il manque de distance, le réalisateur confessant clairement ici impliquer ses propres souvenirs et expériences, jamais il ne sacrifie son ton au charme si particulier. Filmé à hauteur d'enfant et lui-même assez candide, le Pensionnat est en état de mue permanente, à l'instar de ses personnages, sonnant d'abord comme d'habiles pastiches avant de révéler leurs âmes plutôt qu'un twist malin.

Lorgnant vers le cinéma de Del Toro, "Le Pensionnat" est un peu la version Thai de L'Echine du diable. Alors bien sûr "Le pensionnat" n'a ni la maitrise ni la beauté de son mentor mais il n'en reste pas moins touchant grâce à la sensibilité que son réalisateur confère à son scénario sorte de récit d'initiation mêlant fantastique et drame enfantin. De plus lorsque la situation l'impose, le réalisateur sait aussi distiller des frissons même si ce n'est absolument pas un film qui cherche l'épouvante mais plutôt une sorte de conte ce qui démontre aussi que le cinéma Thai ne se résume pas au coup de savate de Tony Jaa.

Ce film m'a particulierement ettoné et plu.
C'est une sorte de mélodrame fantastique qui traite de fantomes mais surtout de l'enfance.
Scénario banal et prévisible mais la tendresse et l'émotion sont présentes, on s'attache trés vite au héros et à ces amis.
L'ambiance y est frissonnante et les sursauts nombreux.
A signaler, une belle BO.

Une histoire de fantôme peu horrifique malgré deux ou trois passages de sursaut bienvenus mais pas de stress ni d'angoisse lors du visionnage de cette tentative thaïlandaise d'histoire fantomatique. Bien que difficiles à différencier, les jeunes interprètes forment une très belle camaraderie, ancrée dans une osmose significative. Malheureusement, le scénario piétine et ne nous apporte pas beaucoup d'éléments quant au côté fantastique, le réalisateur préférant se concentrer sur les conditions de vie dans un pensionnat thaïlandais et sur cette histoire d'amitié "qui-va-au-delà-de-la-mort". Bref, c'est sympathique mais pas extraordinaire.

ce film est extra il est touchant effrayant par mooment triste marant tout se qui fait un bon film on passe du rire aux larmes
film a voir

Deux ou trois scènes qui donnent des frissons mais l'ensemble est souvent plus proche du film fantastique ou du drame psychologique que de l'horreur. Une histoire peu originale sauf pour plusieurs détails, la réalisation est pas mal ainsi que le travail sur l'image.

J'aime les histoires de fantômes intrigantes et pleines de suspense mais ce Pensionnat ne contenait pas un seul moment glaçant. Les représentations sexistes des femmes qui ne sont que des nourricières pour les garçons ou des objets sexuels pour les hommes ne m'ont pas fait changer d'avis sur la mauvaise qualité du film. Nous avons Mama et la maîtresse d'école pour élever les garçons tandis que toutes les autres femmes du film ne sont que des objets de fantasmes sexuels sans personnalité. La musique ressemble à la bande-son d'un jeu vidéo. Les seules bonnes choses que je peux dire de ce film sont que l'intrigue est légèrement intéressante et que le jeu des acteurs est étonnamment bon. Mais il n'est pas assez bon pour plaire à d'autres personnes que des préadolescents qui peuvent être intéressé par le spectacle de seins féminins...

Un film au scénario quasi nul, qui s'enlise et en devient totalement risible. La mise en scène est inéxistente et la muisque poussive ne fait qu'essayer de renchérir le manque d'imagination patent du film. L'ennui ne nous effleur plus mais nout tient belle et bien. A éviter, sauf pour les adeptes de gentils fantômes.

A part "Syndromes and a century" cette année,le cinéma thaïlandais semble avoir bien du mal à s'exporter en France."Le pensionnat" fait donc figure de deuxième éclaireur tant la distribution de ce cinoche semble atrophié,cette année commes les autres.Cette fois,la Thaïlande s'exhibe dans le fantastique d'épouvante,et le cinéaste y conte avec une jolie innocence l'histoire d'un fantôme logant secrètement dans un pensionnat,qu'un gamin ordinaire va aperçevoir quotidiennement.Après s'être lié d'amitié avec lui,et le réalisateur de nous avoir ménagé un suspens solide et d'étonnantes scènes de trouille,le film se trouve une direction un peu trop farfelue,qui se conclut sur un twist suivant la logique de l'étrange.Dommage,car les 40 premières minutes sonnaient juste,à la fois inventives et originales.C'est d'ailleurs à partir de ce virage de l'intrigue que le rythme faiblit quelque peu (même s'il reprend par moments de plus belle).La beauté plastique indéniable du film de Sugmakanan rehausse alors le niveau d'une oeuvre angoissante,au climat nappé,qui se vautre inutilement à sa moitié dans une histoire d'amitié-réincarnation plus guimauve que saisissante.Seule l'esthétique est l'élément qui reste dans la même lignée jusqu'au bout,le jeu captivant des jeunes acteurs en plus."Le pensionnat" est donc un film fantastique appliqué,parfois osé,très beau visuellement et superbement mis en scène,mais qui,du côté script,part un peu en vrille et rend l'ensemble un chouïa inégal.Dommage,car les idées sont là,renouvellées sans cesse,et la poésie enfantine aussi,mêlant la délicatesse des personnages à la simplicité du jeu des acteurs,resassant tout du long un message joliment dit sur l'innocence et l'imagination dont font preuvre les bambins chéwis.Le thème du passage à l'adolescence semble toutefois un peu ridicule à côté,puisque traité en deux courtes scènes (le magazine porno -quelle super idée- et les questions existentielles sur le suicide),mais tout de même,"Le pensionnat" a déj