Derniers Avis : Le Pensionnat - Page 3

Bien qu'un peu étrange au départ (trop peut-être?), j'ai beaucoup aimé ce film. Le suspens nous tient à peu près jusqu'au bout, avec des personnages qui interrogent.
Pour les amateur de surréalisme, ou pas!

Original mais pas révolutionnaire ou vraiment surprenant, ce film se laisse regarder avec intérêt. Sans vouloir vous dévoiler l'histoire, disons que les deux personnages principaux ont une relation originale pour ce genre de film, ou que justement... on se méprend sur l'identité de ce film. En apparence l'on pense à un film de fantômes mais c'est différent. A vous de le découvrir. Mieux vaut ne pas gâcher ce qui constitue l'attrait premier du film. En somme, dans le fond l'histoire est fort ordinaire, mais son traitement, le chemin emprunté, l'est bien moins.

Coup sur coup à la télé 2 films fantastiques relatant l'amitié entre un enfant de 12 et un autre du même âge fantome suite à une mort par noyade. Le parallèle entre Le pensionnat et L'Echine du Diable est manifeste. Toutefois, il y a des nuances.Dans le second, Santi est mort assassiné tandis que dans le premier Wuanchen- qu'on m'excuse mais ces noms ne sont pas faciles à écrire de tête- meurt à la suite d'un banal accident et aussi, il est vrai, du fait de l'indifférence des autres gosses. Les sentiments de Chatri -et non Ton comme écrit sue la fiche technique- en arrivant au pensionnat sont les mêmes que j'ai éprouvés à 9 ans et demi quand je me suis trouvé dans la même situation, d'un coup pensionnaire en cours d'année scolaire à 200 kilomètres de chez moi. Comme lui, j'ai pissé au lit la première nuit et mes condisciples me racontaient des histoires effrayantes pour un enfant. Je me suis donc reconnu en lui et Charlie TRAIRAT l'interprête magistralement. Son traumatisme dans le film a été le mien. C'est aussi une des raisons pour lesquelles ce très beau film m'a plu et je l'ai évidemment enregistré tout comme L'Echine du Diable. Les adultes sont pour une fois peu présents à l'exception de la directrice, Madame PRANI. Elle culpabilise beaucoup suite à la mort de Wuanchen mais elle n'y est pour rien contrairement à Jacinto dans l'autre film. Les parents sont peu présents eux aussi. Au début, Chatri rejette son père pour l'avoir mis là mais à la fin du film il lui reparle et avoue se plaire désormais au pensionnat car il s'est enfin trouvé de véritables amis en plus du sens de la vie. Les petits acteurs qui interprêtent ces derniers sont convaincants et jouent très bien. On peut tout comme à Charlie TRAIRAT leur souhaiter de jouer dans d'autres films qui soient aussi des succés. Faites comme moi ! Regardez-le film et vous passerez un agrable moment !

triste, léger, gai, angoissant,touchant : tout simplement magnifique.
(les acteurs font preuvent de beaucoup de talent pour leurs jeunes ages )
a voir !

Un excellent film qui nous tient jusqu' au bout. Une histoire vraiment bien pensée, on entre facilement dans le film et on en ressort beaucoup plus difficilement tellement ce film est prenant pour le spectateur. En résumée, une grande réussite.

Ce film m'a particulierement ettoné et plu.
C'est une sorte de mélodrame fantastique qui traite de fantomes mais surtout de l'enfance.
Scénario banal et prévisible mais la tendresse et l'émotion sont présentes, on s'attache trés vite au héros et à ces amis.
L'ambiance y est frissonnante et les sursauts nombreux.
A signaler, une belle BO.

Le pensionnant n'est pas un véritable film d'horreur. Ne vous attendez pas a y voir une sorte de "ring" ou je ne sais quoi... Il en resulte avant toute chose un jolie conte traitant de la relation entre un jeune enfant et le monde des morts. Ceci étant, il faut avouer que la realisation est soignée et le jeu des jeunes acteurs quasiment parfait. Ce film peche seulement par le fait qu'il ne trouve pas son véritable style... Un film sympathique tout de même...

On ne peut s'empêcher de penser à L'échine du diable en visionnant ce film Thaïlandais. Dosant de manière savante quelques ficelles du fantastique horrifique, tout en refusant de se donner "un genre", le film impose rapidement son rythme et sa voie. Pour ceux qui aime les films pour ce qu'ils sont, la bonne surprise sera au rendez-vous, pour les sectaires qui pensent qu'un film = un genre, passez votre chemin. A la croisée d'un Stand by me et d'une Echine du diable. Surprenant ! Lire notre critique sur le site terreurvision !

TRès original dans sa conception : film fantastique liant peur et amitié entre un fantome et un jeune enfant. Les jeunes acteurs rendent cette histoire attachante car on ressent bien cette amitié mais le récit est quelques fois brouillon et un peu dure à suivre car le réalisateuir ne sait plus s'il doit favoriser la peur ou l'émotion. Bon film tout de même.

Très lent avec un scénario vu mille fois au cinéma avec des effets "tape a l'œil" style " the grudge".

Je suis deçu, je m'attendez à mieux après avoir lu le synopsis. Le fim est ennuyant et très classique au regard des films asiatiques. Un film sans grand interêt a part, peut être, si vous aimez les histoires de fantôme auxquels il faut filer un coup de main pour qu'il puisse passer "de l'aute côté".

Encore une petite bombe du cinéma thaïlandais .Après L'excellent "The Shutter" que j'ai découvert l'année dernière , cette année c'est "Le pensionnat" .Le début est intriguant voir même stressant , histoire qu'on rentre bien dans le film , tout le reste c'est que du bonheur , une très belle histoire que le réalisateur "Songyos Sugmakanan" Met en scène . Une Histoire touchante , profonde . A ne pas rater pour les fans du cinéma asiatique et de ce genre .

Je suis très déçu par le scénario, néanmoins un grand bravo à la réalisation qui signe un bon film , il y'a de belles images et la lumière parmi les scènes de nuit sont claires.Le scénario reste trop lent et les quelques fois ou ca fait peur on si attend pas.

Ca change des films fantastiques habituels. Le Pensionnat est vraiment plus profond. On trouve des thèmes très différents dans un seul film.

Très beau film, Le Pensionnat n'est pas un film de fantômes classique. Il parle plutôt de l'enfance et aussi de la culpabilité. Une chronique intéressante à voir.