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CH1218
170 abonnés
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4,0
Publiée le 14 avril 2018
Durant l’hiver 95, Roland Emmerich sort un petit film dont le concept séduit et fini par se tailler un joli succès populaire. Son nom : « Stargate ». Combinant avec une certaine ingéniosité Science Fiction et égyptologie, ce divertissement, avec James Spader en mode relax et Kurt Russel tout en rigidité, fonctionne plutôt bien. Les décors en imposent et la musique de David Arnold est magnifique. Sa déclinaison en série fit une belle carrière à la télévision.
Un incontournable dans le milieu de la science-fiction qui donnera naissance plus tard à la série Stargate SG-1.
Plutôt originale les pyramides servant de piste d'atterrissage pour les vaisseaux Goa'uld.
Dans ce film l'antagoniste est Râ de la Mythologie égyptienne ayant sous ses ordres des troupes de Jaffas qui le considère comme un Dieu, ce n'est que dans Stargate SG-1 que l'on en apprendra d'avantage sur la véritable nature des Goa'ulds.
Ce film est le commencement d'une longue aventure, je ne regrette pas d'avoir tout vu de la franchise Stargate.
Le mix entre science-fiction et mythologie égyptienne tient bien la route et donna, par la suite, la série bien connue et toutes ses déclinaisons. Belle réussite, tant par l'imaginaire, que par les cascades, les effets spéciaux simples mais convaincants et la performance des acteurs et actrices.
Sujet à de nombreux fantasmes, les pyramides égyptiennes tiennent lieu de théâtre cosmique dans cette aventure du pas toujours très fin Roland Emmerich. Ce film est probablement l'un des plus enthousiasmants avec la création d'un univers entier qui détonne. Un excellent divertissement.
Méga Crypto-déception. Un mélange de SF et de mythologie égyptienne qui aurait pu être passionnante si le film avait été plus dense, plus complexe, plus mystérieux... Là, c'est prévisible dés la première tempête de sable et on s'ennuie grave dans votre pyramide.
The Stargate est de loin le meilleur film de Roland Emmerich (vu les autres, c'est pas très difficile). En faisant abstraction des stupidités ésotériques sur les pyramides, la première partie fait preuve d'une maîtrise parfaite (et permet de revoir un an avant sa mort, la suédoise Viveca Lindfors une gloire de l'age d'or hollywoodien - plus de 100 films et séries TV à son actif). Mais dès l'arrivée de l'autre côté de la porte des étoiles, la mise en scène s'étale paresseusement jusqu'à la bataille finale (euh... deux petits chasseurs, ça fait un peu radin non?) dont la conclusion manque ni d'ironie, ni de panache. Et comme, pour une fois, les effets spéciaux servent l'histoire (et pas le contraire), les acteurs sont tous excellents avec une mention particulière pour le trop rare Jaye Davidson (3 films seulement !). Quant à la série TV du même nom, comme il n'est pas permis d'être grossier dans cette rubrique il vaut mieux ne rien en dire.
Bon film de science fiction avec un scénario intéressant. Mélange réussi et esthétique de futurisme et d'ambiance égyptienne. Peu de temps mort, photographie, costumes et effets spéciaux au poil. Sympa.
"Stargate, la porte des étoiles" est très appréciable et prenant dans sa première partie, celle qui s'occupe du décryptage, suivi de la fameuse découverte de ce passage inconnu. Le film partira en vrille par la suite, les choses seront mal emmenées (on passera sur cette description des dieux égyptiens, les faisant passer pour de véritables demeurés), Roland Emmerich redevient fidèle à lui-même au bout de quelques minutes et laisse sa vision médiocre s'emparer de ce formidable concept. Le cinéaste nous fait part une fois de plus de ses énormes lacunes en terme de réalisation, proposant toujours un peu plus de facilités qui nuiront clairement au potentiel du projet initial...comme à ses habitudes.
J'ai souvent regarde Stargate mais je pense a present que ca ne tient pas debout a force d'essayer d'y voir clair devenu adulte. Abidos ... Terre et Egypte paralleles. Des dieux remplaces par des aliens voulant detruire la terre parce que O'neels a recu l'ordre de detruire le monde pour je ne sais quelle raison. Peut etre que je n'ai jamais compris le film. En tout cas ca parait divertissant avec de l'action. Mais je ne suis pas fans de SG1 digne d'une serie tele comme les autres series teles.
La science-fiction a cet avantage d’être l’un des genres cinématographiques permettant le plus d’imagination. Ici, elle n’existe pas : l’intrigue a beau se dérouler « à l’extrême opposé de l’univers connu », les codes sociétaux y sont les mêmes qu’en Occident. Dois-je aussi souligner le mixage son désastreux, les plans de caméra fades, les acteurs pas franchement doués, la longueur du film et le scénario qui s’enfonce dans un joyeux chaos sans queue ni tête à partir du moment où les héros franchissent la Porte des Etoiles pour la 1ère fois ? Seul point fort : la BO.
Pillier de ma culture personnel et ayant grandi dans cet univers ce film restera dans mes préférés, non seulement pour l'importance qu'il a pour moi mais pour son inventivité. Le scénario est très bon en expliquant l'origine de la civilisation et de l'Egypte. Le jeu des acteurs est suffisant et adapter. La real elle met bien en avant le coter découverte et exploration.
Si aujourd'hui Emmerich s'est un petit peu perdu avec 2012 et White House Down, au début des années 90, allemand expatrié aux Etats-Unis, il était un réalisateur à suivre. Capable d'orchestrer un mano a mano entre Jean-Claude Van Damme et Dolph Lundgren en 1992 et avec Stargate, deux ans plus tard, mêler habilement science-fiction et mythologie égyptienne. Et ce même si les personnages sont taillés grossièrement. Bon, après tout, c'est du Roland Emmerich hein. Mais en gros, d'un côté, on a les soldats virils effectuant un salut militaire tous les trois mètres y compris à l'autre bout de l'univers et l'intello. Il a des lunettes et il parle couramment l'égyptien ancien en trois secondes donc c'en est un. Si cette planète des sables ressemble un peu à Dune, et ce peuple opprimé qui attend qu'on les guide vers la liberté rappelle les Fremens, le film se veut beaucoup moins philosophique que l’œuvre de Frank Herbert. Stargate reste avant tout un divertissement à l'ancienne dont l'énorme succès a été supplanté par la série Stargate SG-1 longue de dix saisons. Pour autant, rendons à César ce qui appartient à César. Le tandem Roland Emmerich-Dean Devlin n'était pas si mauvais à l'époque.