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    Black Swan
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    4,1
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    3 919 critiques spectateurs

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    Nicolas.BSN
    Nicolas.BSN

    81 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2011
    Magnifique, surprenant, grandiose! Nathalie Portman est époustouflante dans le rôle de sa vie! Ce film est une réel prouesse!
    Fabien S.
    Fabien S.

    470 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Un bon film de Darren Aronofsky. Natalie Portman incarne une danseuse. Vincent Cassel interprète son professeur. Un bon thriller psychologique. Mila Kunis est une bonne révélation.
    pierrre s.
    pierrre s.

    363 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    En dépit d'une performance d'actrice assez exceptionnelle, ce drame qui fait dans le fantastique n'a rien de charmant... Darren Aronofsky essaye de nous balader dans son délire schizophrène à tendance paranoïaque mais ça ne marche pas! De mon point de vue, c'est un énorme échec.
    yannick R.
    yannick R.

    96 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2011
    Le cinéaste est allé jusqu'au bout de ses fantasmes, de ses hallucinations. Au mépris de la bienséance et de la vraisemblance, il les agence sur un rythme exaltant et épuisant, pour la plus grande gloire de Natalie Portman.
    Requiemovies
    Requiemovies

    188 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2011
    Sur un pas de danse des plus classieux, Aronofsky mène son ballet avec justesse et précision de la première à la dernière notes. On ne peut s’empêcher de comparer le film et de l’associer tel un diptyque avec The Wrestler. Parfait parallèle d’un film à l’autre, les films se répondent sur trois points, leur fond, leur forme et cette évidente de mise en abîme des comédiens par leur personnage. Rourke, Ryder, comédiens adulés d’une génération remplacés ou détruits par leur propre métier. Si ce parallèle en forme de jeu est évident, Darren Aronofsky n’oublie pas de mettre en scène d’une façon rigoureuse et précise. Ce qui dans The Wrestler pouvait être (beau) brouillon et brusque (cut, cadres) donc en référence au catch est ici, doux, virevoltant et stabilisé, cadencé, délicat et violent. Une parfaite retranscription de mise en scène de ce que peut être le ballet. Cette parfaite réalisation qui parle de sens et de sons, est mise en valeur par la prestation époustouflante de Natalie Portman d’une ampleur folle, forte de présence physique et morale. Black Swan est donc de manière moins directe mais plus subtil la deuxième partie du diptyque d’Aronofsky. On retiendra donc la force constante de ce réalisateur à nous donner à voir, vivre et ressentir sur des films qui redonnent encore un sens au mot cinéma. Chef d’œuvre en scène.
    Oeil HORUS
    Oeil HORUS

    53 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2013
    Un chef d’œuvre ce film aussi beau qu'un cygne volant au dessus d'un lac... l'intrigue est une virtuose sans parler de Nathalie Portman qui s 'envole certes doucement tel un cygne blanc et se met a voler de toute sa splendeur et avec une grande grâce comme un cygne noir. Elle désire tant obtenir " le rôle" , qui est tant convoité et tant désiré, au point qu'elle se fait un monde intérieure qui la transforme, la jubile, la modélise au fil du temps vers une créatures sombre ,noire , une transformation tout en douceur de son coté noire qui ressort et qui frappe son regard d'un caractère d'un cygne blessé perdant ses plumes blanches pour devenir véloce pugnace et violente.. la petite cygne blanche innocente et pure dit au-revoir a la scène en jetant un dernier regard sur son lac de gloire.
    Un magnifique Film envoutant avec également la prestation de Milas Kunis et Vincent cassel qui pour le moins sont crédibles face a une Nathalie Portman changeante , sensible et parfaite dans son role..
    Nathalie Portman qui a d'ailleurs jouer dans les Stars wars récents et qui avais décrocher le titre de meilleur actrice dans la revanche des Siths..tombe du coté obscure de la force du cygne noire et mérite donc cette fois son OSCAR de meilleur actrice avec ses 5 étoiles. Bravo.

    • Actions / Effets spéciaux: 9.7 / 10
    • Scénario : 10 /10
    • Crédibilité des Acteurs: 10 /10
    • Bluraythèque: Oui
    SmEuG
    SmEuG

    33 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2011
    Adulte, mais immature, prisonnière des griffes d'une mère possessive, la jeune danseuse interprétée par Natalie Portman, fait office de petite fille fragile, dont le côté pleurnichard exsude une pureté infantile également cultivée par sa virginité. Elle est le cygne blanc, représentation chaste de l'être qui doit séduire pour parvenir à ses fins. Elle est indésirable et dépendante, pesant handicap pour l'oiseau convoitant les faveurs de son prince charmant.
    Devenir le cygne noir, prophète de la libération, demeure l'unique solution. S'affranchir de ses gênes, de ses malaises, gagner l'assurance et la fierté du majestueux animal, devenir maîtresse de son corps dans le but de séduire. La mort de l'oiseau blanc, dont le manteau de neige se retrouve imprégné par une nappe de sang, finit de façonner cette maturation, par l'imagerie de la perte de la virginité évoquée par cette tache de sanguinolente.
    Métaphore de l'émancipation sexuelle, la lecture du Lac des Cygnes par Aronofsky est brillante. On se prend vite au jeu de cette fille découvrant sa sexualité et la mettant au service de l'art qu'elle pratique. D'autant plus que les scènes de danses sont magnifiées par le réalisateur qui leur procure une énergie folle avec une caméra qui virevolte au rythme de l'indémodable composition de Tchaïkovski. Le film aurait sans doute mérité l'oscar du meilleur film s'il n'était pas plombé par ce côté thriller et les tics qui accompagnent le genre. Trop d'effets identiques et récurrent tapant dans la facilité, et surtout dans une banalité crasse. Il y a un excès de tentatives de sursaut, ou même parfois de mécanisme utilisé dans les films d'horreur sans imagination.
    Quoiqu'il en soit, Aronofsky qui persévère avec ses personnages auto-destructifs et obsessionnels, est clairement dans une phase ascendante. Si Requiem for a Dream et The Fountain étaient ignobles, The Wrestler et Black Swan, ses deux derniers films, sont tout deux des réussites.
    Kalie
    Kalie

    53 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2017
    Loin d’être un amateur de ballets, je n’ai pourtant pas résisté à ce thriller dramatico-fantastique sur le thème du « Lac des Cygnes » de Tchaïkovski. Dés les premières minutes, j’ai été happé par le milieu de la danse classique où la compétition entre danseuses est impitoyable ; où l’effort physique et la tension psychologique sont permanents ; où la recherche de la perfection peut mener à la folie… Les gros plans du réalisateur sur son actrice principale et la caméra qui lui file le train durant tout le film renforcent l’immersion du spectateur. Le cauchemar éveillé du personnage, totalement perturbé, incarné par Nathalie Portman est vraiment flippant. Par moments, il est difficile de distinguer les hallucinations du réel. L’actrice donne vraiment de sa personne (voir spoiler: la scène de masturbation torride ou celle d’amour avec sa rivale
    ). Nathalie Portman a bien mérité son Oscar pour ce qui est sûrement sa meilleure prestation à ce jour au cinéma. Elle est bien loin la petite fille du film « Léon » ou la sénatrice Padmé Amidala des « Star Wars ». Parfaite en Cygne blanc, est-ce que spoiler: la jeune fille sage et sérieuse, bridée par une mère possessive, pourra faire ressortir le Cygne noir qui est en elle ?
    Les passages oniriques sont magnifiques comme spoiler: l’épiderme de cygne qui pousse sur le dos de la ballerine ; ses orteils qui se soudent ; son visage qui apparaît sur d'autres personnes ou encore son reflet qui bouge de lui-même dans les miroirs.
    Enfin, le drame vire au gore devant nos yeux ébahis. L’apothéose finale est horriblement belle. Darren Aronofsky signe là un pur chef-d’œuvre.
    Biertan64
    Biertan64

    43 abonnés 1 413 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 février 2019
    Une étoile pour Natalie Portman. Sinon l'histoire est ennuyeuse, glauque, à côté de la plaque par moment (cette descente aux enfers, sous fond de musique classique, qui ressemble par moment à ce que l'on peut voir parfois dans des films d'horreur mais qui ici fait hors sujet: hallucinations morbides, auto-mutilations...). Ca aurait pu être un film réaliste, plein de tension psychologique sur une lutte intense pour obtenir le premier rôle d'un ballet. C'est juste un (mauvais) film sur une schizophrène et toute la partie danse n'est qu'accessoire.
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    18 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2012
    Très beau film, mention speciale à la scène finale, lorsqu'elle danse en version "cygne noir", qui donne des frissons.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2011
    Après avoir vu la bande-annonce, je m'étais fait une fausse idée du film. Certes, elle est super entraînante et mystérieuse mais le film l'est encore plus et cache très bien son jeu. "Black Swan" raconte une histoire déroutante où s'entremêlent réalité et imaginaire. Une jeune danseuse membre du New York City Ballet, Nina, se donne corps et âme (c'est le cas de la dire!) pour la danse et pour son rôle de soliste dans la nouvelle production de la compagnie, Le Lac des Cygnes. Bien que ce soit tout ce dont elle a toujours rêvé, elle se retrouve confrontée à une rivale de taille, à des pulsions charnelles avec son directeur, à un envahissement étouffant de sa mère mais surtout à son imaginaire, à sa paranoïa voire à sa folie enfouie... Film à la mise en scène perturbante dans un premier abord car on ne sait pas trop où çà mène mais on comprend rapidement que l’esthétique se trouve dans ce malaise et cette confusion constante. Sombre et brillamment déstabilisant, Darren Aronofsky joue beaucoup avec les miroirs, révélant ainsi un double de nous-même n'étant pas vraiment nous; le dos devient le visage, le blanc le noir et vice-versa... Un genre féminin plus trash que "The Wrestler" et reprenant la psychose de "Requiem for a Dream". Inutile de parler de l'étourdissante performance de Natalie Portman qui tient toute l'intensité émotionnelle et onirique du film. Sa présence et son dévouement acharné sauteraient à l'oeil d'un aveugle (jeu de mots pourri, je sais!), on ressent une souffrance et un jeu dangereux où la folie frôlerais presque l'actrice. Elle dévoile une part d'ombre à travers cette interprétation indétrônable. Mila Kunis se défend par sa beauté "monstrueuse", Vincent Cassel par sa prestance frenchie, Barbara Hershey par son ambiguïté de jalousie maternelle et Winona Ryder, bien que discrète marque la mémoire. Une caméra tremblante, une musique douce et violente, un casting de cristal, des scènes de danse très bien filmées (même pour ceux qui n'aiment pas le ballet), des scènes assez hot, mais aussi des scènes effrayantes où motivation, rêve et acharnement se transforment en illusion, cauchemar et paranoïa. Je doute bien que la réception au film n'est pas la même pour tous car çà reste très très spécial, mais c'est juste bluffant et désagréable dans le bon sens du terme...
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2018
    En dépit d’une interprétation remarquable de Natalie Portman (elle a d’ailleurs été oscarisée pour ce rôle), ce film ne plaira pas à tout le monde. Bon, il faut dire que le cinéma de Darren Aronofsky est particulier. Mais il a le don de savoir plonger dans les profondeurs de l’esprit humain. Il l’a prouvé à travers le mythique et dérangeant "Requiem for a dream", et plus récemment avec "The Wrestler", film qui a marqué le retour de Mickey Rourke sur le devant de la scène. Dans un drame habilement mêlé au thriller psychologique, c’est la troisième fois que le cinéaste visite les souffrances du corps et de l’esprit. Plus dans la drogue encore que dans le catch, on peut comprendre cette visite. Mais dans le monde du ballet… il y avait de quoi rester perplexe, surtout si on considère que cet art n’est pas apprécié de tout le monde, en tout cas accessible. Et pourtant… le cinéaste et son scénariste principal Andres Heinz prouvent que quête de célébrité, hautes exigences, sacrifices et rivalités sont les éléments indispensables pour aspirer à l’excellence que cet art impose. Avant ça, la curiosité du spectateur est piquée au vif par le simple fait que la danse classique est un monde peu exploité par le 7ème art. Le ballet a beau être dépoussiéré d’un bon coup de balai, le sujet dépasse le monde très fermé du ballet car il aurait tout aussi bien pu être transposé dans n’importe quel univers qui demande les mêmes exigences, au risque de tomber plus ou moins dans le déjà-vu. Quoiqu’il en soit, les éléments que je viens de citer sont bien présents, auxquels on doit rajouter l’énorme pression qu’amène inévitablement l’excellence de la danse classique, tout simplement parce que le ballet ne doit pas souffrir de la moindre approximation, pour la bonne et simple raison qu’il est constamment sous les feux des projecteurs derrière lesquels les critiques les plus avertis décortiquent les artistes avec la plus grande attention. A travers "Black Swan", le spectateur se rendra compte que la pression s’exerce à plusieurs niveaux. D’abord de la part du chorégraphe (Vincent Cassel, superbe d’ambiguïté tant son personnage, dont la frontière entre perversité et moyen de faire éclater au grand jour la sensualité est bien mince, apparait tour à tour infâme et protecteur), et ensuite de la part de sa mère (Barbara Hershey, parfaite dans le rôle d’une femme animée par un esprit revanchard sur sa propre vie passée) qui bride et surprotège sa progéniture. Et puis fatalement par les rivalités, dans un premier temps auprès de Veronica (Ksenia Solo), dans un second auprès de la mystérieuse Lily (Mila Kunis). Ben oui, tout le monde veut réussir, et les places sont chères, surtout quand elles paraissent uniques ! Tout le monde sait qu’à partir du moment où on est animé par cette volonté farouche de réussir, les rivalités viennent alimenter cette pression. Au point qu’elle devient parfois difficile à porter, ce qui comporte un risque, et pas des moindres : celui de perdre la réalité des choses et de perdre les pédales. C’est justement cette pression qui va peu à peu envahir cette jeune danseuse pour ensuite l’habiter à temps plein et la faire basculer lentement mais sûrement dans une folie aux portes de la schizophrénie. Il en résulte un film à l’atmosphère oppressante, dans lequel Natalie Portman fait preuve d’une fragilité touchante pour servir à merveille son personnage dont la raison se perd dans les tourments de la peur de l’échec, comme si sa vie présente et future en dépendait. Si la performance de l’actrice est époustouflante, on le doit aussi aux prise de vues de Darren Aronofsky qui filme au plus près le corps de la danseuse, tout en plaçant aussi sa caméra au cœur de la scène pour mieux capter l’intensité du récit. Je pense notamment au plan qui m’a le plus marqué, celui en contre-plongée(absolument superbe sur Nina (Natalie Portman) avec en arrière-plan les spots d’éclairage, comme pour dire que la quête vers la lumière est ô combien difficile. Dans tous les cas, la performance de l’actrice est telle et la caméra placée de façon si intimiste que Nina emmène avec elle le spectateur dans cette descente aux enfers, ce qui peut s’avérer dérangeant pour celui-ci, tout du moins pas franchement appréciable. Et en lisant les divers avis, il semble que ce soit bien le cas. Quant à la qualité des danses, je ne porterai aucun jugement… parce que je n’y connais rien ! Tout comme l’opéra, le ballet n’est pas du tout mon trip, mais ça ne m’empêche pas d’avoir un avis très positif sur ce film tant il sait plonger profondément dans les entrailles de l’âme humaine. Dans tous les cas, la question est indirectement posée : est-ce que ça vaut le coup ? "Black Swan" serait-il moins innocent qu'une banale fiction ?
    Ricco92
    Ricco92

    182 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2014
    Magnifique film schizophrène, Black swan arrive brillamment à mélanger le drame, le film d'horreur et le genre psychologique (dans le style de certains Brian De Palma ou du Répulsion de Roman Polanski), le tout filmé caméra à l'épaule dans un style documentaire qui rappelle plus le cinéma européen que le cinéma américain. Ce film très original bénéficie d'une réalisation très efficace, d'une photographie magnifique, de splendides effets spéciaux et surtout d'une interprétation parfaite (Natalie Portman recevra d'ailleurs un Oscar amplement mérité pour ce rôle de ballerine où elle apparait volontairement amaigrie). En outre, Black swan bénéficie de splendides chorégraphies associées à la musique de Tchaïkovski pouvant convaincre toute personne rebutée par le ballet. Un film qui donne envie de s'intéresser au milieu de la danse classique et de redécouvrir Le Lac des cygnes.
    pietro bucca
    pietro bucca

    54 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2013
    Autant etre honnete,il y a quelques passages ou j'ai un peu décroché et pas totalement tout saisi.N'en reste pas moins un bon casse tete que ce film et une bonne intrigue....Faudrait pour bien faire que je le revisionne.
    Loskof
    Loskof

    368 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2011
    Un tel engouement autour d'un film méritait bien que l'on y prête attention puis qu’après tout si la presse met 4,2 étoiles c'est que le film est objectivement bon! Alors certes on passe un bon moment, le suspens est présent, la réalisation de grande qualité même si le blanc/noir peut devenir très lassant à force. Mais cela ne casse pas 3 pattes à un canard. Vincent Cassel est mauvais, comme à son habitude, absolument dénué de charisme et sa voix ne colle que trop rarement. Nathalie Portman se contente de chougner pendant 1h45, ce qui à priori semble mériter un oscar. Les hallucinations de Nina sont incohérentes et l'on devine rapidement, trop rapidement, quel sera le dénouement du film et la plongée dans la drogue et le sexe était franchement dispensable, surtout qu'avec la violence du film on tombe vite dans le cliché du "trash pour vendre". Alors voilà, le film n'est pas exsangue de défauts mais il n'est pas déplaisant pour autant tellement le suspens demeure présent et est donc un film à voir.
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