Un Disney mineur, vite oublié pour ma part. Il ne deviendra pas culte comme beaucoup d'autres Disney, car il a un goût de réchauffé et ça sent vraiment le film bâclé, sans réelle profondeur dans l'histoire, ni dans les personnages... Et les chansons n'ont aucun charme, dommage !
Encore un énième film musical de Disney qui sur utilisé encore une nouvelle fois des scène chanter, cela ce voit lors de plusieurs reprise qu'elle sont ici juste piur meubler car le film n'ai pas assez long dans sa durée. Une écriture plus adultes dans un Disney c'est pas si souvent , le studio renoue avec une princesse en héroïne ce qui n'était plus le cas depuis un petit moment . Des personnage plutôt attachant , avec une histoire intéressant, qui a fait connaître le roman dont il est adapter. Un casting VF juste incroyable ( Richard Darbois, Philippe Peythieu, Dorothee Pousseo , Anthony Kavanagh , Michel Papineschi ) On prend un orgasme auditifs grâce à cela . Un film qui devrait plaire au grand et petits .
résumé: À La Nouvelle-Orléans, dans les années 1920, le prince Naveen de Maldonia est transformé en une grenouille par le docteur Facilier, un terrifiant sorcier vaudou, en utilisant la magie noire. Afin de retrouver sa forme humaine à l'aide d'un baiser, le jeune prince Naveen décide de trouver une princesse, Il tombe sur Tiana, qui travaille jour et nuit comme serveuse pour réaliser son rêve, ouvrir un restaurant de luxe En acceptant de faire un baiser au jeune prince Naveen, Tiana est également transformée en une grenouille. Tous les deux décident donc de partir dans les bayous de la Louisiane à la recherche de Mama Odie. donc des aventures les attendes et sa ne sera pas si facile.
Très beau conte haut en couleur, en jazz et en magie. "La princesse et la grenouille" nous propose des personnages très attachants (héroïne ambitieuse et déterminée, alligator trompettiste, amie au grand cœur, prince grenouille amusant et charmeur…) mais aussi un sorcier vaudou effrayant dans le rôle du méchant. Les studios Disney ont su nous émerveiller avec ce film d'animation qui ne sait que trop bien nous rappeler les Disney "à l'ancienne". A voir et à revoir !
Depuis le temps qu'on attendait un Disney qui se passait dans les années folles et en plus pendant la Nouvelle-Orléans. "La Princesse et la Grenouille" n'est évidement pas un chef d'œuvre mais ce n'est pas non plus l'échec annoncé. Cette nouvelle réalisation de John Musker et Ron Clements, à qui l'ont doit déjà La Petite Sirène et Aladdin est tout simplement un délice. Les chansons sont jazzy juste ce qu'il faut, les personnages vraiment attachant surtout celui de Tiana, les dessins fait à la main d'une grande beauté, franchement c'est un pure régal à ce niveau. Ce qui je dois l'avouer compense un scénario un peu faiblard, mais sinon c'est génial ! Entre La Petite Sirène et Anastasia.
Le Disney le plus incroyable que j'ai vu ! Vous y trouverez tout ! Amour, travail, passion et chansons se donnent la réplique, sans passer à côté de la fameuse touche d'humour qui élève chaque Disney au rang de chef d'oeuvre d'apprentissage de la vie ! Bien que la fin soit ( quasi ) toujours positive, ils vous transmettent cet éternel optimisme qui les anime ! N'hésitez pas à le (re) voir ! N.
Très beau film qui véhicule une bonne morale : le fait de se trouver soi même car nos solutions aux problèmes sont enfouies en nous. L'espérance et la foi sont au cœur de l'intrigue : " ce sont les rêves qui font la loi". Cette princesse se distingue des autres non seulement par sa couleur mais aussi par sa détermination dans le travail.C'est l'unique princesse noire. La force de son caractère fait aussi sa singularité. Ça change des princesses qui n'attendent que le prince charmant pour les sauver. C'est un superbe film drôle, amusant, touchant et accrocheur. L'intrigue est super bien réalisée. Un des meilleurs films Disney, je recommande.
Ron Clements et John Musker, réalisateurs de l'un des plus grands chefs d'oeuvre de Disney : "Aladdin", sont de retour à l'animation traditionnelle en 2D avec "La Princesse et la Grenouille". Un retour aux sources payant où les réalisateurs d'"Hercules" se sont rappelés qu'avant la technique, c'est surtout l'histoire qui prime et celle-ci nous plonge dans la Nouvelle-Orléans des années 20 dont l'ambiance est parfaitement rendue à l'écran, que ce soit au niveau des décors que de la musique, entrainante à souhait. Avec ses héros, ses méchants et ses seconds rôles irrésistibles, on est en terrain connu, mais le film possède un tel charme qu'il emporte aisément l'adhésion!!
La princesse et la grenouille est un vrai très bon Disney de 2009 avec une princesse originale celle-ci étant noire et une thématique de la Louisiane. Suivra en 2010 Raiponce et 2013 La Reine des Neiges une belle série de nouveaux classiques. Beaucoup de bonnes idées dans ce dessin animé assez animalier. Le titre est un spoil par contre car elle ne devient princesse qu'en fin de film et c'est une astuce qui n'en est de fait pas une tant c'est cousu de fil blanc.
Je remercie tout d’abord mon employeur d’avoir privatisé un Cinéma pour permettre à ses employés de voir dans plusieurs salles simultanément ce dernier dessin animé de Disney 2 mois avant sa sortie française et même 2 semaines avant sa sortie américaine. J’étais d’ailleurs dans les meilleures conditions psychologiques possibles avec quelques cadeaux de merchandising du film offerts à ma fille dès notre arrivée au Cinéma. Mais comme je suis un critique intègre, cela ne va pas m’empêcher de dire tout ce que je pense du film. Tout d’abord, le retour au dessin animé « à l’ancienne » avec passages chantés est une bonne nouvelle. Le film commence très fort avec une héroïne black (une autre bonne nouvelle pour moi depuis « Mulan » (1998) dans le monde trop uniforme des personnages de dessins animés) pleine de peps et de charme puis il y a la transformation des humains en animaux et, là, le film subit une sérieuse baisse de rythme due à une histoire un peu trop simpliste et destinée exclusivement aux enfants. Comme on se languit – le film ne dure que 97 minutes, mais, par moments, il paraît bien trop long –, on a le temps de scruter minutieusement le graphisme et il n’est pas à l’avantage de « La Princesse et la Grenouille » si on le compare avec le degré de détail des derniers films animés par ordinateur (par exemple, les dents des personnages, ici, sont le plus souvent dessinées comme deux simples barres blanches horizontales). Les deux points forts du film sont sa bande musicale et son décor : on se croirait à la Nouvelle Orléans ! En résumé, ce n’est pas le pire dessin animé que j’ai vu mais il est très loin des meilleurs et, depuis un an, Dieu sait que j’en ai vu d’excellents (« Niko le petit renne », « Là-Haut » et « Volt, star malgré lui ») !
49ème classique d'animation des studios Disney, "La Princesse et la Grenouille" suit 2 chemins en apparence contradictoires : un retour aux sources et un renouvellement.
Un retour aux sources parce que le studio décide enfin de revenir à une animation 2D. Le type d'animation qu'utilisent ses plus grands classiques et qui ont fait son succès. Attention, je ne suis pas un détracteur de l'animation 3D. Par exemple, je trouve que "Là-Haut" de Pixar est un chef-d'oeuvre. Mais, l'animation 2D a un supplément d'âme que je ne saurais expliquer.
Et ce supplément d'âme est parfaitement adapté au monde du vaudou avec ses ombres qui se déplacent et les formes angulaires des amulettes et des masques.
De même, "La Princesse et la Grenouille" adapte à sa sauce un conte classique, recueilli par les frères Grimm, comme beaucoup de ses classiques d'animation.
Cela dit et en même temps, l'oeuvre marque un certain renouvellement du studio. Fini les châteaux d'Europe et bienvenue dans l'univers particulièrement riche de la Nouvelle-Orléans et sa cuisine, ses habitants, son festival, son amour de la musique jazz, son bayou, ses crocodiles et ses lucioles, son vaudou ...
Il est vrai que "La Princesse et la Grenouille" se situe à part dans la filmographie de Disney. Il a sa propre identité et c'est plutôt une bouffée d'air frais.
Malgré tout, j'ai trouvé ce film très fade. Je ne me suis pas attaché aux personnages, les chansons ne m'ont pas du tout entraîné et l'histoire m'a semblé terriblement banale. Presque comme si Disney se reposait sur ses acquis en changeant la façade (une princesse afro-américaine, un nouveau décor ...) mais que lorsque l'on pousse les portes on retrouve exactement le même intérieur, vu et revu.
Cette fois, Disney est revenu avec un autre film de princesse mais cette fois avec un changement dans l'histoire où la princesse ou le roturier est sauvé par un beau prince, où comme toujours ils tombent amoureux au premier regard et se marient en vivant heureux pour toujours, bien sûr que je ne suis pas en disant que je n'aime pas ces films au contraire, je suis un grand fan de disney et de ces films, et ce n'est pas la première fois que ça arrive déjà, c'est arrivé avec mulan et avec du jasmin en aladdin, mais ce que je veux dire c'est que la princesse et Le crapaud est différent, il montre comment une fille nommée Tiana, une jeune femme qui a longtemps voulu ouvrir un restaurant depuis qu'elle était enfant, mais dont la situation économique ne lui permet pas de réaliser son rêve, qui est aussi le rêve de son père, a du mal à réaliser ce rêve. et c'est ce que j'aime, c'est une femme qui travaille qui n'accepterait jamais la pitié des autres, à cause de cela, elle a oublié d'autres choses comme l'amour et être avec les gens qu'elle apprécie, tout à fait le contraire de son amour. enfance iga Charlotte LaBouff, contrairement à Tiana, est une fille riche avec tous les privilèges qui n'a jamais manqué de rien, elle a toujours rêvé d'épouser un prince. qui vient soudainement à la vie de Tiana à cause de la magie noire. Un autre aspect que j'aime dans le film est la musique ou la bande originale, des chansons avec des touches jazz qui vous font bouger même si c'est un peu et bien sûr si le film est adapté en Louisiane, à la Nouvelle-Orléans, berceau du jazz. En vérité, ce film a de nombreux aspects que j'aime, c'est la première princesse Disney afro-américaine, et il est également montré que les femmes peuvent aller de l'avant sans avoir besoin d'un prince pour venir à votre "secours", également car l'ambition vous amène à commettre des choses qui Vous n'imaginiez même pas et vous pouvez recourir à des choses très dangereuses comme la magie noire, qui est très courante à la Nouvelle-Orléans (années 20) où le film est adapté, montre la valeur de l'amitié et de l'amour, qui ce sont des choses qui se construisent peu à peu, et la valeur et l'amour que l'on a pour la famille. Vraiment pour moi c'est un film pour tout le monde, il ne faut pas forcément être un enfant, c'est pour tout le public qui aime clairement les films d'animation bien sûr.
Alors que la 3D s'est imposée comme la norme depuis presque 10 ans, La Princesse et la grenouille semble opérer à un demi-tour puisqu'il revient à une animation au crayon. Une impression en trompe-l'œil, le nouveau film Disney est bien de son époque, avec sa première héroïne afro-américaine (l'effet Obama est passé par là). Cet apparent coup de rétro s'avère plutôt savoureux. John Musker et Ron Clements (auteurs d'Aladdin ou La Petite Sirène) en profitent pour glisser de nombreux hommages aux précédentes productions. Et d'offrir une nouvelle héroïne débrouillarde, bien éloignée des demoiselles en détresse. On peut également détacher quelques acolytes pas piqués des hannetons (Ray, Louis), chargés d'apporter un peu de blagues à l'ensemble. La formule prend raisonnablement. Je ne suis convaincu qu'à moitié, cela dit. Le voyage me paraît bien trop balisé, et la surabondance de chanson(s) nuit au bien du film. De la même manière, les personnages et gags me semblent fonctionnels à défaut d'être mémorables (certains évoquent plus la redite). Pointe également le scepticisme quant au discours du film, semblant vanter les mérites d'une méritocratie illusoire pour finalement revenir à une morale très fleur bleue.
C’est aussi une fantaisie animalière d’un classicisme déjanté. Des personnages fous comme le crocodile, sorte de pendant de Sid dans l’âge de glace, directement sorti du Bayou de Bernard et Bianca ou bien la luciole amoureuse d’une étoile et tellement poétique. Il y a beaucoup d’humour, des situations cocasses, une modernité dans les dialogues mais une animation totalement rétro et pleine de féerie. Très sympa.