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    Belles mais pauvres
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    3,2
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    tixou0
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    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 août 2017
    "Pauvres Millionnaires", lui aussi ressorti en "version restaurée", et vu l'année dernière pour ma part, était déjà très décevant, très poussiéreux.... Suis pourtant de bonne volonté, quand il s'agit d'un film italien de la grande époque, et par, a priori, un bon faiseur..... Mais là, c'est insuffisamment audacieux et acide dans le fond pour annoncer le cinéaste des "Monstres" - et fort poussif dans la forme, avec des personnages falots et n'invitant pas à l'empathie - voire à la simple sympathie. Manque à cette trilogie des années 50 par Risi "Pauvres mais beaux", le plus ancien des trois films, dans mon expérience personnelle. On ne sait jamais.... une occasion, plus tard.... Encouragée sur le principe en ce sens par la remarque à la cantonade d'une spectatrice cette am dans la salle du Quartier Latin où mes pas m'avaient portée, eu égard à la médiocrité des sorties estivales 2017 - selon elle, vraiment bien meilleur...une fois visionné, et comparé.
    Newstrum
    Newstrum

    30 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Un charmant mélange de vaudeville (la pulpeuse Marisa Allasio, de retour après Pauvres mais beaux, servant de faire-valoir) et de comédie où triomphent la candeur et l’optimisme propres au genre du néo-réalisme rose. L'humour noir de la comédie à l'italienne n'est pas encore de saison et Risi n'a pas encore tout à fait trouvé son ton, même si sa tendresse pour ses personnages est déjà présente. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    Belles mais pauvres tourne moins en rond que le film auquel il fait suite, Beaux mais pauvres. Ce n'est pas du fait que Risi fait soudain preuve d'un génie féministe précoce, et le martèlement superficiel de couples éphémères est toujours là. Cependant, on dirait que la créativité a été gardée en grande partie pour cette vision vaguement plus féminine du couple. Si la lourdeur masculine et le machisme sont les mêmes leitmotivs monotones, la poésie est cette fois préservée, quoique brièvement. L'humour est insolent et fourni en jeux de mots pour l'oreille un peu bilingue.

    Le tout demeure très "comédie facile" vouée à mal vieillir et à être estampillée du cinéma adressé aux Italiens par des Italiens, mais il voit *un peu* plus large qu'un tas de manipulations puériles faites par des jeunes à leurs parents et par des hommes à leurs amantes.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Après le succès phénoménal de "Pauvres mais beaux" qui confirme Dino Risi dans le statut de réalisateur à suivre de près, une suite est aussitôt engagée. "Pauvres mais beaux" devient donc "Belles mais pauvres". Pasquale Festa Campanile et Massimo Franciosa les deux scénaristes reprennent la même bande laissée sur les bords du Tibre quand Romolo (Maurizio Arena) et Salvatore (Renato Salvadori) se résignent à flirter avec leurs sœurs respectives après leurs déboires avec la très pulpeuse Giovanna (Marisa Allasio) qui s'est jouée d'eux pour rendre jaloux son fiancé. Comme l'indique le titre ce seront cette fois les deux sœurs qui seront à l'honneur, bien décidées à se faire épouser. Les mêmes recettes produisant souvent les mêmes effets, on sourit souvent à la vue de ce marivaudage romain un peu niais qui démontre que les mœurs demeuraient encore rudement corsetées à l'époque, les jeunes femmes devant jouer les équilibristes sur le fil de la séduction afin de conserver l'intérêt de leur prétendant tout en tentant de conserver leur virginité. Pour donner un peu de crédit à l'histoire, Salvatore et Romolo sont donc à dessein présentés comme un peu rustres et naïfs. Même si l'effet de surprise n'est plus là, on ressort de ce film en pensant que Risi était sacrément habile pour tirer le meilleur de situations un peu répétitives. Le meilleur est bien sûr à venir avec la rencontre de Vittorio Gassman qui permettra au réalisateur de développer un humour féroce souvent teinté de mélancolie. Encore un peu de patience, il ne reste plus que deux ans à attendre pour que "L'homme au cent visages" allume la mèche d'une des plus fertiles collaborations du cinéma italien. En attendant passer une heure en compagnie de Marisa Allasio est une excellente façon de patienter.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 765 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2024
    On retrouve Romolo (Maurizio Arena) et Salvatore (Renato Salvatori) amourachés cette fois des soeurs : Anna Maria (Alessandra Panaro) soeur de Salvatore et Marisa (Lorella De Luca) soeur de Romolo.
    Cela n’empêchera pas Romolo de retrouver l’ensorcelante Giovanna (Marisa Allasio) qui de nouveau s’amusera du jeune homme.
    Dino Risi s’amuse avec le décolleté de Giovanna : son nouvel amant lui applique tantôt une serviette de table, tantôt un foulard pour éviter à Salvatore d’y plonger son regard.
    En vain.
    Par deux fois, Giovanna rejettera l’étoffe qui recouvre sa gorge généreuse, au grand plaisir de Salvatore, du spectateur que je suis et de Giovanna elle-même qui assume sans scrupule sa féminité.

    Cette fois les deux jeunes hommes s’engagent à trouver un emploi sans quoi il ne pourront pas se marier. Si Romolo paraît plus enclin, plus volontaire, il n’en est pas de même pour Salvatore. Immature dans le premier, ici, il prend une autre dimension : naïf et distrait. Il est la caution comique du duo, si je puis dire.
    Dans le premier volet, Romolo se montrait jaloux et plus macho que Salvatore, dans ce second épisode, il en est de même. Sur les bords du Tibre, il s’autorise à embrasser sa fiancée, soeur de Salvatore mais il ne supporte pas que Salvatore embrasse sa fiancée, sa soeur !
    Il ne respecte pas le pacte passé avec son ami ; ainsi, il parvient à voir sa fiancée alors qu’il enferme sa soeur pour l’empêcher de voir Salvatore !

    Ce vaudeville romain est tout aussi plaisant et inoffensif que le premier volet…
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2023
    Suite de "Pauvres mais beaux", cette comédie de Risi au style néoréaliste est aussi réussie. Cette étude des comportements d'une jeunesse modeste dans l'Italie de la fin des années 50 est d'un réel intérêt, tant d'un point de vue sociologique qu'historique. Les filles sont plus matures que les garçons, lesquels font tout pour retarder leur mariage, tout comme leur entrée dans la vie active. La légèreté de ton du cinéaste s'accompagne nonobstant d'une évocation des difficultés de la vie citadine. Par exemple, la mère de Salvatore est dans l'obligation de louer le lit de son fils, durant la journée, à un traminot qui travaille de nuit. spoiler: La scène la plus étonnante reste celle du casse, où le même Salvatore - excellent Renato Salvatori - désireux de reconquérir sa promise, se lance dans une tentative aussi maladroite que désespérée.
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 août 2017
    Réalisateur souvent surfait.. Cette réédition, qui ne s'imposait vraiment pas en est hélas la preuve. Seul Renato Salvatori apporte un peu de charme à cette laborieuse comédie.
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