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    Le Gone du Chaâba
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    3,0
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    45 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 août 2016
    Ce film est un chef d'œuvre intemporel car il est parfait, et la superbe musique de Safy Boutella vous décrochera mille et un frissons à chaque visionnage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 juillet 2016
    C'est un très bon film de société moi personellement j'ai beaucoup ri une très belle histoire avec des personnages très attachants à la fin. Une morale extraordinaire sur la création des H.L.M. Bref, de quoi passer un très bon moment, et avec une histoire loin d'etre ridicule.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 juillet 2016
    Ce film m'a beaucoup plus avec ma classe, car nous sommes en 5ème. Il était très original et bien pensé. Il était un peu triste mais bon, ce film m'a beaucoup plus, je le conseille à tous et à toutes !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 juillet 2016
    Super film !! Très drôle, émouvant et belle leçon de vie à la fois 😉😉 Je recommande ! 💖💖 💖💖 💖💖 💖💖 💖💖 💖💖
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2016
    Nananananananananananananana... C'est sur ces dernières notes de musique que je quitte la chambre de mon frère. Le film se finit sur son ordinateur, mais je continue de pleurer. Mes cris déchirent encore l'appartement, et les mouchoirs sont répandus un peu partout. C'est fini, enfin. Cette épreuve d'une souffrance terrible, d'une tristesse incroyable, d'une intensité unique. Il faut retourner à la vie, voir des gens, bouger, sourire aussi. Ca va être dur. "Le gone duchaaba" est une claque. Phénoménale et monumentale. Dans tous les sens du terme, cinématographique et physique. On n'en ressort pas indemne, si l'on est entré dans le film. Je ne parlerai pas de ceux pour qui ce n'était pas le cas. Bien que je puisse le comprendre, je ne suis absolument pas concerné donc je passerai toute la partie violence gratuite et facilités scénaristiques. "Le gone du chaaba" est une claque. Ou plutôt un point dans la tronche, si vous me permettez l'expression. Une bonne grosse frappe de votre plus grand ennemi qui vous projette au sol. Il vous faudra plusieurs heures pour pouvoir revenir à votre état normal. Des heures au plus bas, touché comme jamais vous n'avez été touché, l'esprit totalement détruit. La vie est moche, injuste, sale, noire, dure. On perd tout courage, tout espoir, toute foi en l'humanité. On perd tout. On est nu face à ce film, sans rien pour se protéger. Le film est nu devant nous, sans artifices. Juste des larmes et des coups. Grâce à quoi ? Grâce à Christophe Ruggia et sa façon de filmer si spéciale. "Le gone du chaaba" ressemble à un documentaire et les acteurs du film ont énormément de liberté. Tout ça, c'est magnifique parce qu'il va toujours au bout de sa mise en scène, au bout des dialogues, au bout de ses idées, au bout de l'intrigue. Parfois il va trop loin peut-être. Mais il n'empêche qu'il va au bout, et rien que pour ça, je l'admire. Il ne se soucie pas du reste du monde, il se soucie de ses acteurs. Il se soucie de Bouzid Negnoug, d'Omar, et ça se voit. Il est constamment mise en avant, tous ses talents sont à leur maximum, mais j'y reviendrai. Parlons d'abord de l'histoire. La plus horrible, la plus sadique, la plus injuste. Tout le monde s'acharne sur Omar, même les gentils s'y mettent. Il en ressort magnifiée, car en position de victime, on ne peut le trouver que plus majestueux. Ce que Omar donne aux gens est fabuleux, pourtant elle n'a pas grand chose. Lorsqu'il leur donne de l'amour, c'est vraiment beau. Alors je peux vous dire que plus on avance dans le film, plus c'est dur. Le moment est venu pour moi de parler de la performance de Bouzid Negnoug. Il s'est directement placée grâce à ce film en première position de mes acteurs préférées. Un seul film, mais quel acteur. Après lui, même une Tahereh Ladanian de "Au travers des oliviers" ou un Ahmad Ahmadpoor de "Ou est la maison de mon ami?" vous paraitra fade. D'accord, le rôle donné par le réalisateur est plutôt intéressant pour faire une bonne performance, mais quand même. Comme je l'ai dit précédemment, Ruggia laisse une grande liberté à ses acteurs. Je pense par exemple à la scène centrale du film ("My name is Omar and I'm nine"). On ne peut que s'incliner devant Bouzid Negnoug lorsqu'on voit ces images. Et pourtant, Tahereh et Ahmad sont balèzes, croyez-moi. J'en suis presque à faire une thèse sur le fait qu'il n'est pas humain, mais au dessus de nous tous. C'est vous dire. La scène centrale du film, c'est d'ailleurs là où j'ai commencé à pleurer. Puis je n'ai pas arrêté pendant une heure et demie. Avec des hauts et des bas, mais surtout des bas. Des mouchoirs, des mouchoirs, quelques reniflements, des larmes qui coulent. Jusqu'ici rien de grave. Non non, je vous jure, rien de grave, c'est seulement des larmes. Ensuite, les cris sont venus. C'est là où tu te dis que les deux heures que tu viens de passer n'étaient rien. Vient donc la scène de la spoiler: pendaison
    , le moment où la montée de la tension est la plus visible. Mince, on le sent se rapprocher autant que Omar. Là, les larmes commencent à s'accompagner de petits sons de tristesse, et je décidé de ne plus me contrôler. Autant tout lâcher, c'est bientôt fini. Dix secondes avant la fin du film, mon cœur s'est arrêté de battre pendant un instant. Ça n'a duré qu'une milliseconde, qu'un seul battement. Mon cœur a simplement zappé un battement. Le vide intersidéral. L'impression de tomber d'une falaise, ce moment je m'en souviendrai toute ma vie. Christophe Ruggia, tu me dois un battement de cœur. Je ne parlerai pas de l'évènement qui a causé ce vide absolu en moi, ceux qui ont vu le film savent de quoi je parle, de toute façon. C'est la seconde d'après que les cris sont sortis. Tellement de souffrance en moi, tellement de haine, j'ai tout laissé sortir d'un coup. C'était la chose la plus puissante de ma vie. Je ne sais pas si je vivrai ça un autre jour. L'heure suivant "Ou est la maison de mon ami?", par rapport à celle suivant "Le gone du chaaba", fade aussi. Les musiques sont également magnifiques, toutes sans exception. Le fait qu'elles commencent grâce à la vision de Omar du monde, les petits bruits des pas qui deviennent une mélodie, c'est véritablement génial. Chaque musique arrive au bon moment, exprime les bonnes choses. Tout est parfait. Et à cela s'ajoute la voix de Omar, que vous dire de plus. Un dieu, une voix qui va chercher au fond de vous pour extraire les sentiments les plus purs et puissants. Comme je n'ai plus la force de faire une conclusion parce que même le fait d'écrire une critique de "Le gone du chaaba" me rend tout patraque, je conclurai avec cette phrase de Philistine, que l'on peut retrouver dans la critique de Gizmo. Cette phrase, j'y pense en permanence depuis que je l'ai lue : "les pires moments de ma vie j'ai pas chialé autant que devant 'Le gone du chaaba'." Tout simplement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Enfin un film sur l'enfance vraiment SUPER. Les personnages jouent très bien leurs rôles. J'ai regardé ce film quand j'avais 6 ans mais cela m'avait pas plus mais aujourd'hui j'en ai 25 et cela m'a vraiment donné envie d'habiter dans un bidonville ! On voit bien que les personnages sont la en train de vivre leur vie sociale et non qu'ils ont appris un texte par cœur pendant 20 ans.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Si vous n'avez pas vu ce film vous n'avez encore rien vu. Un film coup de poing par sa subtilité, très bien qu'au bout d'un moment on se demande si le réalisateur et l'équipe du film, n'ont pas un amour envers le cinema. Les dialogues sont bons et les voix criantes de vérités, sans parler des acteurs, avec tous un jeu d'un réalisme éclatant. Néanmoins, j'ai jamais passé un aussi bon moment devant un film familiale et pourtant j'en ai vu des navets de ce genre, mais celui la et bien il remporte toute les palmes en tant que bon film. Que ce soit au niveau du scénario, des dialogues, des acteurs, des musiques, du maquillage etc... Tout est réussi à un point que ça en devient un chef d'oeuvre t!! Je le conseille pour une soirée avec toute sa famille, j'ai meme pleurer à plusieurs reprises (surtout quand on voit le petit garçon pleurer au début à cause de son tyrannique maitre d'école). Le registre Chef d'oeuvre a trouver son maitre messieurs et il se nomme : "Le gone du chaâba".
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 janvier 2016
    Un réel plaisir de revoir aujourd'hui ce petit bijou plein de tendresse, d'humour, de beauté, de philosophie, de subjectivité. Un chef d'œuvre absolu, incontestablement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    A conserver son DVD. Fellag joue à la perfection sur fond d'une belle histoire. Un GO ou un prof de gym tonique seraient tout de même moins crédibles que lui. Une petite merveille sans autre qualificatif.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    Lyon, au début des années 60. Des gamins vivent dans un bidonville, fouillent la décharge publique proche pour y trouver leurs jouets, et vont à l'école avec des godillots éternellement boueux. Il sont les fils et filles d'immigrés algériens de fraîche date. Parmi ces gosses, le petit Omar, 9 ans, se distingue. Poussé par son père, qui est illettré, il adore lire. A l'école, il brille. Au risque de se mettre à dos les autres gosses du bidonville, qui l'accusent de trahir ses racines, de ne pas être « un vrai Arabe ». Omar, c'est Azouz Begag, aujourd'hui chercheur au CNRS et écrivain. Il a écrit Le Gone du Chaâba (c'est-à-dire : le gosse du bidonville) il y a dix ans. De ce récit autobiographique, Christophe Ruggia a tiré un film un peu trop édifiant : au regard angélique du jeune acteur principal, Bouzid Negnoug, il ajoute une photographie qui aseptise la misère et un ton qui frôle plus d'une fois la sensiblerie. Il n'empêche, cette chronique qui fourmille de scènes et d'anecdotes vécues, de détails douloureux ou joyeux qui ne s'inventent pas, a la valeur d'un témoignage authentique et chaleureux. A travers les images de Christophe Ruggia, c'est l'histoire vraie d'Azouz Begag qui émeut.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2015
    J'ai d'abord lu quelques passages du livre à une bibliothèque ; puis j'ai lu l'intégralité de ses nouvelles; là je viens de voir le film adapté. Au final, j'ai passé un moment sympa entre scènes chocs, mais peu action et charmé par les actrices! Mais par contre: je vous conseille d'éviter le livre ! Car ici, il n'en reste pas grand chose ! Le scénariste en prenant le nom de quelques héros, en se servant d'une histoire de fond, en prenant un méchant au hasard, et en ajoutant quelques références pour les fans, a essayé de pondre un divertissement inspiré de sa vie mais pas du tout une vraie adaptation. J'ajoute cependant que la scène finale est réussie techniquement parlant et choc. Reste un bon moment passé à regarder ce film culte à voir, peut être à revoir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Perso moi je trouve que ce film a vraiment été très mal jugé car il est vraiment très bien, le réalisateur ne pouvait pas retranscrire parfaitement l'oeuvre de Begman c'est clair mais le résultat est très bonq quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Alors moi ça me saoule d'écouter toutes les critiques négatives sur ce film, sous prétexte qu'une adaptation doit ressembler 100% à un livre... vous avez déjà rencontré des acteurs ressemblant parfaitement aux personnages de mangas avec les cheveux infiniments longs en pétards ou avec une taille de 4m et les muscles qui débordent de l'écran ? Une adaptation au cinéma pour moi ne peux pas etre une copie conforme à l'original. Il faut etre plus tolérant avec la version des réalisateurs... on est au 21ème siècle, ça me choque pas de voir un Omar Begham (Azouz) avec un jean allant à l'école...En tout cas moi je me laisse pas influencer par les critiques avant d'avoir vu les films. Que ce soit une adapation ou pas, si un film m'a déçu je n'irai pas crier sur tous les toits que c'est une diarée cinématographique ! Chacun doit avoir son propre avis post-séance et je trouve vraiment nul qu'on puisse dire "n'aller pas voir ce film".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Oui, vous avez bien vus, je met 5 étoiles au Gone du Chaâba, oui c'est un chef d'oeuvre... nanaresque !!! Ce film est d'une débilité si grande, d'une idiotie si travaillée, d'une stupidité si assumée, qu'il aurait été difficile pour moi de ne pas l'aimer. De surcroît, je ne connais pas très bien Azouz Beghman, tout juste ais-je lu une partie du livre ; et je suis entièrement conscient du fait que le film est aussi respectueux du matériau d'origine qu'un lion respecte une antilope en la dévorant (il faudrait que je commence à écrire de la Poésie). Ce film est un pur nanar, si vous en doutez (mais je doute que vous en doutiez, si j'ose dire), alors écoutez certaines répliques du genre "Je suis né dans un hôpital" (comme tout le monde) ou encore "Barre toi de la mon p'tit c'est pas pour les gones, le Chaâba!". Merci Mohammed Fellag (c'est ainsi que Monsieur Blague Carambar se nomme dans ce film). Je ne parlerais pas de la version française, qui est insupportable, surtout pour Omar et pour Blédar, et des scènes de dialogues qui sont... pas trop mal en fait. Bon, c'est sur qu'il y a mieux, mais c'est assez réussi pour un nanar. Je ne parlerais pas non plus des acteurs, qui soujouent (Fellag, Omar, Hacène) ou surjouent (La mère, le vieux loup de mère). Bref, un chef d'oeuvre du nanar, un film qui ressemble plus à une parodie du Gone du chaaba qu'à une adaptation, et que je vous conseille de voir, et vous passerez un grand moment de rigolade.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Les décorts de Ghost of Mars, les méchants des Power Rangers avec en exclu le loup-garou de Paris, les bons ralentis de Matrix, une pointe de tuning à la Fast & Furious et surtout un soupçon de Tecktonik. G E N I A L... Des questions me viennent, pourquoi reprendre les personnages du roman pour changer l'histoire? c'est bien pour quelque chose que nous sommes fan de ces livres Le gone du chaaba et La gomme du Chabada, non? Oo Mais ça peut etre un concept, pourquoi pas les personnages de la Guerre des Etoiles faisant le remake de Camping...!!! ça pourrait être bon voire même très bon!!!
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