Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Obs
par François Froment
Un film libre, lâche, quasi improvisé (...) Fin styliste, il [Wang] sait capter l'atmosphère de la rue et l'émotion du silence. Il y a du Bresson et du Godard en lui, qui se combattent...
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
TéléCinéObs
par Francois Forestier
Wayne Wang, ici, a adopté un style plus enjoué, plus libre : il y a une exubérance, une sorte de folie gaie, générée par Sasha elle-même. (...) Incontestablement, c'est du beau cinéma.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un précis de décomposition, une vision presque abstraite d'une jeunesse happée par les sirènes de la modernité. Ce que Wang a réalisé de plus audacieux.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La Princesse du Nebraska met en scène cette journée en ville comme une bousculade perpétuelle, frénétique, qui obéit aux règles d'un mode de cohabitation entre cultures.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Réalisé au plus près des visages, des corps et des sentiment, [il] se dégage une mélancolie urbaine et une impression de solitude (...) Wang réfute l'image de la femme asiatique véhiculée par le cinéma de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Un millier d'années... semble avoir été poli pour que La princesse du Nebraska nous surprenne. (...) le portrait est ici plus intéressant.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Le portrait de cette jeune femme insaisissable, qui semble intéressée par son simple plaisir, peut agacer. Il n'en demeure pas moins captivant.
Positif
par Adrien Gombeaud
(...) Wayne Wang propose un étonnant diptyque, portrait d'être perdus qui glissent à la surface du monde.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Samuel Douhaire
Avec Un millier d'années de bonnes prièresLoin d'être gais, les deux films sont pourtant porteurs d'un optimisme réconfortant quant au mélange des cultures. (...) Wayne Wang suggère que la non-maîtrise de la langue n'empêche pas la communication.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Benzédrine
L'histoire y est plus confuse, plus difficile à cerner [qu'Un Millier d'années...] (...) si ce n'est qu'on ressent la même volonté de faire passer l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
La Croix
par Sophie Conrard
Coloré, centré sur une modernité très urbaine, La princesse... manque hélas de liant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sur un ton à la fois mélancolique, drôle et poétique, toujours empreint d'une grande sensibilité, le cinéaste (...) raconte (...) le choc des cultures et des mentalités entre Orient et Occident.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Rien à voir avec Un bon millier d'années de bonnes prières. Dans le fond comme dans la forme, plus démonstrative, appuyée et insistante dans sa volonté de faire de belles images. Au point de parasiter le propos parfois.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir le site www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Paris Match
par Christine Haas
Bavard, agité, tourné de façon approximative avec des acteurs non professionnels égarés dans un docu-fiction aux couleurs criardes et à la musique agressive (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
Un film libre, lâche, quasi improvisé (...) Fin styliste, il [Wang] sait capter l'atmosphère de la rue et l'émotion du silence. Il y a du Bresson et du Godard en lui, qui se combattent...
TéléCinéObs
Wayne Wang, ici, a adopté un style plus enjoué, plus libre : il y a une exubérance, une sorte de folie gaie, générée par Sasha elle-même. (...) Incontestablement, c'est du beau cinéma.
L'Humanité
Un précis de décomposition, une vision presque abstraite d'une jeunesse happée par les sirènes de la modernité. Ce que Wang a réalisé de plus audacieux.
Le Monde
La Princesse du Nebraska met en scène cette journée en ville comme une bousculade perpétuelle, frénétique, qui obéit aux règles d'un mode de cohabitation entre cultures.
Le Parisien
Réalisé au plus près des visages, des corps et des sentiment, [il] se dégage une mélancolie urbaine et une impression de solitude (...) Wang réfute l'image de la femme asiatique véhiculée par le cinéma de Hollywood.
Les Inrockuptibles
Un millier d'années... semble avoir été poli pour que La princesse du Nebraska nous surprenne. (...) le portrait est ici plus intéressant.
MCinéma.com
Le portrait de cette jeune femme insaisissable, qui semble intéressée par son simple plaisir, peut agacer. Il n'en demeure pas moins captivant.
Positif
(...) Wayne Wang propose un étonnant diptyque, portrait d'être perdus qui glissent à la surface du monde.
Télérama
Avec Un millier d'années de bonnes prièresLoin d'être gais, les deux films sont pourtant porteurs d'un optimisme réconfortant quant au mélange des cultures. (...) Wayne Wang suggère que la non-maîtrise de la langue n'empêche pas la communication.
Brazil
L'histoire y est plus confuse, plus difficile à cerner [qu'Un Millier d'années...] (...) si ce n'est qu'on ressent la même volonté de faire passer l'émotion.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
La Croix
Coloré, centré sur une modernité très urbaine, La princesse... manque hélas de liant.
Le Journal du Dimanche
Sur un ton à la fois mélancolique, drôle et poétique, toujours empreint d'une grande sensibilité, le cinéaste (...) raconte (...) le choc des cultures et des mentalités entre Orient et Occident.
Ouest France
Rien à voir avec Un bon millier d'années de bonnes prières. Dans le fond comme dans la forme, plus démonstrative, appuyée et insistante dans sa volonté de faire de belles images. Au point de parasiter le propos parfois.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com
Paris Match
Bavard, agité, tourné de façon approximative avec des acteurs non professionnels égarés dans un docu-fiction aux couleurs criardes et à la musique agressive (...).