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    L'Imaginarium du Docteur Parnassus
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    817 critiques spectateurs

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    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 novembre 2009
    Le dernier film de Terry Gilliam est une déception. Surfait et trop tape-à-l'oeil, cet Imaginarium du Dr Parnassus déçoit par son esthétique outrée. On ne ressent jamais de magie, le charme n'opère jamais, Gilliam malgré une réelle sincérité ne parvient pas à convaincre le spectateur de passer de l'autre côté du miroir pour nous faire découvrir son univers. Est-ce parce qu'il est trop introspectif, trop peu rigoureux, toujours est-il que l'alchimie ne prend pas et que l'on ressort du film nullement émerveillé. Reste l'interprétation des acteurs dont Christopher Plummer formidable mais surtout Andrew Garfield (vu en début année dans le très bon Boy-A) qui confirme qu'il est un des acteurs les plus talentueux de sa génération et qu'il devrait prochainement faire beaucoup parler de lui.
    boscopax
    boscopax

    72 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2010
    Sans qu'il y ai la moindre mise en bouche d'une explication de l'histoire, cet imaginarum se contente de nous plonger sans délai dans les affres du surnaturel sans daigner nous conter une histoire. Gilliam nous oblige à rentrer dedans sans nous avertir ni même nous appâter. Diicile de se mettre dedans vu qu'on ne sait pas pourquoi on regarde ni quel est le but.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    On entre dans le film comme en un spectacle : le formidable est caché derrière un rideau, le Londres est sombre où se terre la lumière. Revenu sur les chapeaux de roue après son médiocre Les Frères Grimm, Gilliam renoue avec son Angleterre chérie en usant d'une imagination redoublée qui trouve un bel écho dans des effets spéciaux sachant jouer la carte de la pérennité en ne débordant pas d'essais technologiques. C'est du rêve naïf façon Le merveilleux magasin de Mr. Magorium (même le titre nous le rappelle), mais en plus pur.

    Pourtant, une longue partie de remplissage nous attend où le casting semble ne pas savoir quoi faire de ses dialogues. Le drame survient gravement, inopinément, au pire moment, sans raison, et l'écriture automatique qui semblait se faire la bonne étoile du scénario est remplacée par un pilotage paniqué où le personnage de Heath Ledger, Tony, est à peine intégré.

    Tout ça, c'est parce que les réécritures qui suivirent le décès de l'acteur ont coupé le film en trois. Leur créativité générale s'accompagne de bloopers monumentaux. Pour n'en citer qu'un : Tony, à peine débarqué, prend en charge la roulotte de ses nouveaux amis artistes, prétendument fauchés, de qui il obtient une forte somme d'argent sans autre forme de procès pour, en moins d'un jour, changer leur spectacle (achats, mise en place et répétitions comprises, apparemment) où Valentina, mineure, apparaît nue (et on ne sait pas pourquoi, mais ça n'a pas l'air de la gêner, ni son père qui joue juste devant elle). Alors, je sais que c'est plus ou moins de la fantasy, mais enfiler les prétextes grotesques comme ça, c'est invariablement "non". D'un côté, tout cela dommage pour le film, mais d'un autre côté non.

    Le départ de Ledger a profondément marqué l'ouvrage de Gilliam, au-delà de le piqueter de fautes bêtes. C'est un film blessé, au sens premier du terme. Rares sont les œuvres qui s'en tirent indemnes, mais L'Imaginarium du Docteur Parnassus était, entre tous les tournages traumatiques, le plus apte à y trouver une maturité involontaire. Car il y a Christopher Plummer, qui est quand même pas mal, et puis Tom Waits qui est géant. Dans le monde dépareillé de l'ancien Monty Python, ces caractères forts étaient la garantie que toute cicatrice laissée par des aménagements de dernière minute ne pourraient que bénéficier à la joyeuse folie d'un monde virevoltant. Tom Waits, jouant le Diable, devient l'incarnation de la malédiction qui pesait sur le film, et il est parfait dans son petit monde visuel tourmenté.

    Quand l'histoire retombe sur ses pattes, les souvenirs de la platitude narrative s'estompent à la fois que la fadeur des trois caméos improvisés (Depp, Law et Farrell). Je dis bien "la fadeur", sans vouloir être cynique, car les acteurs n'appartenaient pas au film. Ils n'en ont fait partie que pour Ledger et ça se sent. Mais qu'importe le raté factuel : la pellicule aurait simplement pu être jetée et éviter ainsi la diatribe. Or on a eu le courage de la soigner et de l'envoyer au grand écran encore toute enroulée dans ses bandages, sans que cela n'atteigne la créativité cette fois bien placée d'un réalisateur devenu trop discret. Et ça, ça ne se note pas avec tiédeur.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    On le sait, Terry Gilliam est des réalisateurs les plus malchanceux du cinéma. On connaît l'histoire du tournage inachevé de "L'Homme qui tua Don Quichotte", et qui a inspiré le documentaire "Lost in la Mancha" : entre les problèmes financiers, le ballet des avions de l'OTAN qui rendait impossible toute prise de son, la hernie discale de Jean Rochefort qui devait incarner le héros de Cervantes et pour finir, les inondations diluviennes en pleine Andalousie, Terry Gilliam pouvait penser avoir connu le pire pour un réalisateur.

    Pourtant, le pire est survenu au milieu du tournage de "L'Imaginarium du Docteur Parnassius" : la mort de l'acteur principal, Heath Ledger qu'il avait révélé dans "Les Frères Grimm". Dans son malheur, Terry Gilliam a eu une chance : que cet événement tragique survienne entre la partie anglaise et la partie canadienne du tournage. La partie tournée à Londres correspond à la "réalité" (je mets des guillemets, car chez le réalisateur de "Brazil", la réalité est souvent plus inquiétante que le rêve), alors que celle prévue à Vancouver correspondait à ce qui se trouve au delà du miroir, c'est-à-dire à l'imagination du Docteur Parnassus à laquelle sont conviés acteurs et spectateurs.

    Du coup, Terry Gilliam a pu réaménager le scénario, et plutôt que de prendre une doublure pour Heath Ledger, il a fait le choix qui s'avère très efficient de le remplacer par trois des acteurs les plus réputés de cette génération : Johnny Depp, Colin Farrell et Jude Law. La continuité narrative ne souffre pas du changement de visage de Tony, au contraire : chaque acteur incarne une facette de sa personnalité, et il est assez jubilatoire de voir Johnny Depp ou Colin Farrell découvrir leur visage avec une moue de dégoût, un peu comme le fugitif dans "Les Passagers de la nuit" de Delmer Daves qui enlève les bandelettes après son opération, et découvre le visage d'Humphrey Bogart. Si seul Johnny Depp avait déjà tourné avec lui, dans "Las Vegas Parano", Colin Farrell a dû y prendre goût, puisqu'il jouera Sancho Pancha dans "L'Homme qui tua Don Quichotte" dont Gilliam a prévu de reprendre le tournage en 2010.

    Mais "L'Imaginarium du Docteur Parnassius" ne se limite pas à l'idée géniale de ce triple cameo de luxe : il s'agit bien d'un film de Terry Gilliam, et ce n'est pas étonnant que ce soit le premier depuis "Brazil" dont il ait intégralement écrit le scénario. On y retrouve cette constance dans son oeuvre, l'existence d'univers paralèlles qui interfèrent l'un sur l'autre ; cette obsession à la Philip K. Dick, présente dans "Brazil", "King Fisher", "L'Armée des 12 Singes" et "Tideland", s'appuie cette fois-ci sur le mythe de Faust, avec un Mephistophélès incarné ici par Tom Waits en redingote noire et ruban de la légion d'honneur.

    "Si vous cessez de raconter, alors l'univers cesse d'exister", dit un des personnages. On a l'impression que cet adage s'applique avant tout à Gilliam lui-même, et explique que la narration parte dans tous les sens, avec des fausses pistes, des voies sans issues et des ruptures de tonalité. "Imaginarium" sonne comme "capharnaüm", et on trouve effectivement de tout dans ce joyeux bric-à-brac qui sent parfois la compilation des oeuvres précédentes, à commencer par la génèse Monty Python, rappelée par le numéro des bobbies en porte-jaretelles ou le graphisme des décors derrière le miroir.

    Comme toujours, Gilliam accorde une grande importance aux gueules de ses personnages et donc au choix de ses acteurs : Verne Troyer, connu pour sa composition de Mini-moi dans "Austin Powers", Christopher Plummer, déjà présent dans "L'Armée des 12 singes", et la top model Lily Cole à l'étonnant visage de poupée ancienne, plutôt convaincante dans le rôle de Valentina.

    Un peu languissant au début, parfois légèrement bavard, "L'Imaginarium du Docteur Parnassius" me semble quand même être le meilleur film de Terry Gilliam depuis "L'Armée des 12 Singes" ; moins formaté que "Les Frères Grimm", moins morbide que "Tideland", il réussit à conjuguer foisonnement narratif, créativité visuelle et plaisir du jeu à un petit côté bancal et rafistolé qui achève de rendre l'entreprise sympathique.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2012
    Un film d'une poésie et d'une fantaisie enthousiasmante, qui laisse une trace dans un coin de la tête encore longtemps après le visionnage. Effectivement, c'est bordélique, mal maîtrisé, un peu fourre-tout, pas toujours très beau et souvent maladroit, mais comment en vouloir au cinéaste qui a tout fait pour réaliser une œuvre hors du commun et d'une sincérité désarmante. On croirait un film fait par un enfant, et l'imaginarium du docteur Gilliam est au moins aussi extraordinaire que celui de Parnassius. Reste une brochette d'acteurs extraordinaires, Andrew Garfield en tête. Il sait tout joué, est à l'aise dans toutes les situations et sa moindre apparition à l'écran est d'une classe absolue.
    Kalie
    Kalie

    52 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    Sous ses airs de spoiler: charlatan alcoolique, le Docteur Parnassus a le pouvoir d’amener les gens dans leur propre univers imaginaire. Mais il va devoir payer ce don qu’il a reçu du Diable en personne.
    Terry Gilliam nous ballade à bord d’un théâtre ambulant entre réalité en haillons et mondes imaginaires délirants. Ce jeu du chat et de la souris entre le Diable ( spoiler: un homme en costume noir coiffé d’un chapeau melon
    ) et le Docteur Parnassus (accompagné de sa troupe de saltimbanques) s’avère difficile à suivre même pour les moins cartésiens d’entre nous. spoiler: Immortalité, jeunesse retrouvée, paris truqués
    (« Merde, j’ai gagné » dixit le Diable), c'est bien beau tout ça mais le scénario tarabiscoté plombe littéralement le film. Les délires visuels du réalisateur, parfois monumentaux, impressionnent lorsqu’ils ne rebutent pas le spectateur par leur laideur. En effet, la qualité des images de synthèse est très inégale. A l’image de l’œuvre de Terry Gilliam, souvent incomprise, ce film ambitieux est inutilement abscons.
    jeremie747
    jeremie747

    38 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2009
    Il faut d'abord noter la prouesse scénaristique. Le remplacement d'Heath Ledger, mort pendant le tournage, par Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrell, a donné naissance à une très belle idée de mise en scène qui enrichit le film bien plus qu'il ne le pénalise. Ensuite, il y a la magie de l'incorrigible Terry Gilliam. Il y a tant d'idées (de scénario, visuelles, de mise en scène) qu'il y aurait matière à faire trois films différents à partir de cet "Imaginarium du Docteur Parnassus". Le film virevolte en permanence entre la réalité et l'imaginarium, envers d'un miroir qui fait vivre aux gens l'expérience de leur propre imagination. Dans le film, on découvre ainsi des imaginations de plus en plus complexes, partant de celle terne et creuse d'un ivrogne pour finir avec celle fourmillante, presque une seconde réalité, de Parnassus et de ses disciples pour qui le monde ne tourne que grâce aux histoires qui y sont racontées. Ca semble donc parfois un peu foutoir, mais c'est le charme de ce réalisateur fantasque et brillant qui mélange fête foraine, mythe faustien, manichéisme et roman russe. Le génial personnage du Diable, petit homme narquois et facétieux, préférant les tours de passe-passe un peu cheap à la magie noire, et ne faisant que s'appuyer sur le penchant des hommes pour la facilité du vice fait immanquablement penser au Satan de Boulgakov dans "Le Maître et Marguerite", en virée dans Moscou juste pour mettre un peu d'animation. Le damné de Terry Gilliam ne rotit pas dans les flammes de l'enfer, il est juste condamné à passer son immortalité dans la frustration de devoir parier sans cesse avec le Diable et de perdre toujours.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Dernier film de l'acteur Heath Ledger qui meurt en plein tournage Bonne idée de Terry Gilliam : remplacer son acteur par trois autres (Johnny Deep, Jude Law et Colin Farrell). Le film est foutraque, une sorte de conte de fées pour clodo sous LSD. C'est parfois inventif parfois poétique mais la surenchère de décors numériques (mal fait d'ailleurs) me fait regretter l'époque où le réalisateur nous émerveillait par ses décors en carton-pâte. Bon divertissement mais petit Gilliam.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juillet 2010
    ORIGINAL !!!! Voilà l'adjectif que j'utilise pour définir ce film en un seul mot, car il est clair que pour son genre on n'a jamais vu un film comme celui-là ! Non seulement le scénario est d'une grande originalité mais en plus la réalisation est parfaitement à la hauteur (les effets spéciaux & les décors sont tout simplement magnifiques!!!!), et tous les acteurs incarnent très bien leur rôle, en particulier Johnny Depp & Colin Farrell qui tous les deux interprètent à la perfection le même personnage (en plus des 2 autres acteurs dont Jude Law) !! Rentrez dans un monde tout aussi merveilleux qu'étrange...rentrez dans votre monde, rentrez dans l'Imaginarium du Docteur Parnassus. Après "Les Frères Grimm" et "Tideland" Terry Gilliam & son imagination débordante nous étonne une fois de plus, je lui accorde donc 4 étoiles pour sa grande originalité !!!!
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2015
    Pas que le film soit mauvais en soit, mais je n'arrive pas à adhérer au style de Terry gillian et ce film n'y fera rien... Trop dépouillé, trop fouilli, cela ressemble plus à du théâtre qu'à du cinéma et ce n'est pas ce que je recherche ici. Pourtant le scénario sur l'imaginaire était fort alléchant. Reste un casting exceptionnel et quelques jolis moment de rêve et de magie.
    Riddick59
    Riddick59

    28 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2009
    Terry Gilliam fait parti de ses réalisateurs à l'image d'un Tim Burton, qui déborde d'une imagination incroyable et parviennent à nous entrainer dans leur univers en contant des histoires, que seul eux savent écrire. L'Imaginarium du Docteur Parnassus est l'exemple même du talent et de l'imagination de Terry Gilliam, un film sur les rêves où se mêle à la fois le merveilleux et la folie pour 2h00 de pur plaisir. Outre les décors et les effets spéciaux de qualité, on retiendra également la prestation d'ensemble des acteurs, tous très bon dans leur genre (a commencé par Heath Ledger et la jeune et jolie Lily Cole), avec toutefois une grosse préférence pour ma part des apparitions de Johnny Depp et Colin Farrell, tous deux exceptionnels. Un film à ne pas manquer!
    Bruno G
    Bruno G

    20 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2014
    ho mais how !!!
    je ne l'ai vu que hier soir...
    j'ai prefere attendre un peu avant de me le matter pepere...
    car j'aime bien le sir gillian (est il sir seulement ??)

    je me suis régalé... ce type a une imagination, c'est jouissif...
    on se regale tres franchement du debut à la fin...
    je le reverais avec grand plaisir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 janvier 2010
    On retrouve dans ce nouveau délire de Terry Gilliam des références à ses précédents films : le Baron de Munchausen ou Fisher King.
    Le réalisateur est sans doute un peu moins nerveuxet cherche davantage à installer son histoire, de manière assez maladroite parfois, ce qui provoque quelques longueurs durant la première heure. Il faut dire Gilliam réussit rarement à tenir son film du début à la fin.
    N'empêche, il parvient à nous transporter au travers de son miroir, dans un monde onirique grâce à des effets spéciaux de grande beauté réprésentant des paysages et des univers surréalistes rappelant les peintures de Dali : un monde envoutant.
    On ressent beaucoup de joie dans la narratio, ce à quoi les trois sauveurs du rôle de Tony participent en adhérant totalement au projet.
    Gilliam revisite ici un thème qui lui est cher, celui de la place de l'imaginaire au milieu d'un monde très ancré dans le réel, rationnel et au sein duquel les rêveurs sont en marge.
    On peut considérer d'un côté que Parnassus est sans doute la meilleure représentation de Gilliam lui-même, un homme confronté au diable comme un réalisateur fait face aux producteurs, mais qui veut surtout rêver et faire partager sa folie aux spectateurs.
    MimFlx09
    MimFlx09

    18 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2010
    Je suis complètement passée à côté du film, j'ai pas du tout accroché au scénario, bref c'est une des rares fois où je me suis dis mais qu'est ce que tu fous là ??? Dans le délire, on sent le monty python qui sommeille en terry gilliam mais là j'ai trouvé que ce n'était pas à propos, enfin bon pas du tout convaincue par ce film étrange et bizarre....
    Dam I
    Dam I

    14 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2009
    Fidèle a son univers décalé et féerique, le real nous transporte dans un monde, dans des mondes magiques avec des acteurs qui ont réussi malgré la disparition de Heather à nous faire oublier les transitions.
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