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    Le Mercenaire
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    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 895 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    Western spaghetti qui se range dans la comédie comme Le bon, la brute et le truand (qui ont des nombreux points communs). La mise en scène de Corbucci n'est pas à son apogée mais reste de grande qualité. Il est d'ailleurs tourné en anglais contrairement à d'autres westerns de Corbucci. Il est peut être le film le plus américain du cinéaste, son regard étant donc moins marquant. Les personnages et l'intrigue rappelant d autres westerns, cela fait qu'il est moins original. Que des petits défauts mais mon avis est surtout orienté par le fait que je suis moins porté vers ce sous-genre du sous-genre du western. C'est donc logique que je le passe en dessous d'un Django.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 743 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2023
    Du pur western spaghetti, plein d’humour et de gunfight (mais aussi quelques longueurs et lourdeurs) sur fond de révolution mexicaine, porté par un casting inégal, et rythmé par la BO de Morricone.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2023
    « El mercenario » (« Il mercenario ») est un film de Sergio Corbucci réalisé après le bon « Django (1966) et sortit en Italie la même année que le très bon « Le grand silence » (1968). Autant « Le grand silence » était un excellent film sombre et déprimant tourné en pleine neige, autant « El mercenario » est un film explosif qui se déroule en pleine révolution dans des décors désertiques. L’histoire, qui tourne autour d’une très grosse d’argent (et la convoitise qu’elle génère) est portée par trois acteurs principaux : Frank Nero, une sorte de clone empâté de Terence Hill moins le sourire, Tony Musante, le révolutionnaire un peu nœud-nœud un brin excité et Jack Palance dans un rôle débridé de méchant impayable avec ses bouclettes, rien que pour cela, le film vaut son pesant d’or. Comme à son habitude, Sergio Corbucci ne fait pas dans la dentelle : explosions, mitrailleuses, fusillades… Ce qui est plaisant chez ce réalisateur, c’est qu’il ose tout. C’est foutrac, parfois confus, mais divertissant. Sans oublier la BO d’Ennio Morricone.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    Redzing
    Redzing

    922 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    Paco est un péon mexicain, travaillant dans la misère d’une mine d’argent. Jusqu’à ce qu’il ne fasse éclater une révolte qui va prendre de l’ampleur. Il croisera le chemin de Kowalski, un émigré polonais et surtout mercenaire aussi cupide qu’efficace !
    Vous l’aurez peut-être compris, « Il Mercenario » appartient au sous-genre du western spaghetti qu’est le western zapata, situé durant la Révolution mexicaine. Le hic c’est qu’il fait beaucoup penser à « Giù la testa » de Sergio Leone (on y retrouve deux héros venus de milieux très différents et faisant équipe contre l’armée). Certes, le film de Leone est sorti après, et ce serait faire un mauvais procès au film de Corbucci que de l’accuser de ne pas être aussi bon que ce dernier. Toujours est-il que vu d’aujourd’hui, il apparait très inférieur...
    En grande partie car « Il Mercenario » est tout de même assez brouillon. Des dialogues peu intéressants, une intrigue simpliste, les thèmes de Morricone (au passages plutôt jolis) utilisés à tort et à travers. Et une mise en scène des séquences d’action sans grande envergure ni grande maîtrise de l’espace, s’il on excepte un duel réussi dans une arène. Enfin, Tony Musante semble être relativement limité en charisme pour incarner le protagoniste révolutionnaire. Mais peut-être était-ce volontaire, afin de souligner une révolution de pacotille ?
    Car il y a tout de même du bon dans ce film. La réflexion politique, bien qu’au second plan, est présente. Pointant du doigt la violence et l’absurdité des révolutions populaires, tout aussi arbitraires et injuste que ce qu’elles combattent. Avec l’ironie de présenter notre grand général révolutionnaire en clown !
    Et l’histoire, certes simple, propose tout de même une amitié intéressante. Tandis qu’elle a le mérite de ne jamais ennuyer, enchaînant les coups fourrés, et autres fusillades. Puis le film bénéficie de jolis paysages espagnols (souvent un bon point récurrent dans les westerns spaghetti !). Et de quelques bonnes têtes. Jack Palance en gangster sadique. Et bien sûr Franco Nero, qui fait partie de ses acteurs dont la simple présence ou le regards à l’écran peuvent illuminer une scène. Comme dans « Django », l’acteur et son personnage se complaisent à utiliser des mitrailleuses, représentatives de la violence du film.
    kane ghligh
    kane ghligh

    27 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2022
    Voir un excellent western spaghetti. .ça fait un bien fou ! Un western qui à vraiment la classe , et que dire de la bande son d'ennio !!!!! superbe. .
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    4 abonnés 497 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2022
    Un bijou par Sergio Corbucci. Il s'agit d'un western tortillas c'est-à-dire où il y a un gringo interprété par Franco Nero (dans le rôle de Sergei Kowalski) qui aide des révolutionnaires incultes et et analphabètes à grandir, intellectualiser, piloter la révolution contre des patrons et leur exploitation des pauvres, qui les traitent comme des esclaves. Évidemment Franco Nero, dit Le Polac, fait ceci pour de l'argent, sinon il ne fait rien du tout et est indifférent à tout ce qui l'entoure. Il y a donc cette histoire qui par moment questionne ces révolutionnaires avec ironie sur ce qu'est la révolution et les réponses sont toujours hilarantes. À la tête des révolutionnaires, il y a Tony Musante, alias Paco Roman, qui comprend que Le Polac peut l'aider, lui le péquenot qui se retrouve par un quiproquo à la tête d'un groupe de révolutionnaires.
    Franck Nero est poursuivi par Jack Palance qui fait le rôle du Bouclet, un homosexuel qui adore torturer et dont nous ne comprenons pas vraiment la motivation, car elle n'a pas à l'air très pécuniaire, mais ce n'est pas grave. Cela amène un certain nombre de scènes sympathiques au film. Film très riche d'ailleurs avec une multitude de séquences et de scènes pour aller du point de départ jusqu'à l'arrivée. Voilà un superbe scénario qui pourrait être refait.
    Le film est intéressant pour la relation entre Franco Nero qui fait le mercenaire qui ne travaille que pour l'argent, mais qui est cultivé et le péon, l'analphabète et inculte, mais pas si bête que cela qui sait employer et utiliser les qualités et compétences de Franco Nero. Puisque la relation est très bien construite et fait toujours progresser l'histoire et leur relation n'est pas sujette à humour pour amuser comme les buddy movies des années 80/90.
    Ajoutons la présence de Giovanna Ralli, ce qui enrichit la plastique du film, qui a un personnage qui évolue en dehors des clichés des personnages féminins.
    Starwealther
    Starwealther

    49 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2021
    Le mercenaire est un western spaghetti fun et comique sous fond de révolution mexicaine. Franco Nero (le polack) est un mercenaire venu aider un groupe de révolutionnaires dont le plus important d'entre eux: Paco. Tout au long du film, les deux hommes se feront des coups bas, des trahisons mais s'entraideront aussi et plaisanteront ensemble. Franco Nero est d'une classe folle, il réussit à allumer son allumette en la frottant sur un peu près n'importe quoi, c'est hilarant. Paco, quant à lui, joue très bien le rebelle crétin toujours en train de rire grassement. Des fusillades à la machine gun jalonnent le long métrage pour notre plus grand plaisir. La musique signé Ennio Morricone est très agréable, dommage que Sergio Corbucci la place parfois à des moments pas du tout opportuns. Ce western spaghetti est une franche rigolade bien qu'un peu bas du front. Cependant, Corbucci ne se prend pas au sérieux et son but était de rendre le film le plus jouissif possible. C'est réussi!
    didbail
    didbail

    21 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Un film réalisé à la va-vite, sans axe de mise en scène bien établi. Un peu d'humour, quelques scènes de mitraille, mais l'ensemble manque de rythme et d'unité. Et les acteurs manquent de charisme. Il y a pourtant 2 ou 3 jolies idées. Mais ça fait peu. Il vaut mieux revoir le Grand silence du même réalisateur et tourné à la même époque.
    Philippe G.
    Philippe G.

    113 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2021
    Un des meilleurs western spaghetti des années 70, du grand Sergio Corbucci. La musique de Morricone (une de ses plus réussies) est tellement géniale qu'elle sera réutilisé par Tarentino dans Kill Bill, telle, même pas réarrangée. Le scénario préfigure "il était une fois la révolution" de Sergio Leone. Enfin les acteurs en font des tonnes, notamment Jack Palance en méchant frisoté (ainsi que le cabotin italien de service).
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    518 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2018
    Depuis ‘’Pour une poignée de dollars ‘’ je vois de temps en temps un spaghetti western en espérant y trouver du cinéma et non ce spectacle et cette musique exclusivement fabriqués pour séduire en s’appuyant sur nos mauvais sentiments que nous avons tant de mal à chasser. Ma seule bonne surprise en 50 ans fut Keoma justement pour l’originalité et l’unité de sa mise en scène. El mercenario n’est pas le pire d’entre eux grâce à la présence de deux acteurs irréprochables et à fortes personnalités…Jack Palance étant lui au dessous de tout. Quelques belles séquences avec Franco Nero en solitaire accompagné par les sons qui rendirent célèbre Ennio Moriconne. Quelques moment d’humour comme la comparaison sur une femme nue, au lit de dos, entre la politique et ses fesses ou lorsque le ‘’polak’’ fredonne un air de Chopin. Giovanna Ralli demeure bien jolie mais souffre d’une mauvaise direction du réalisateur qui est loin d’être Rossellini ou de Sica.
    Wagnar
    Wagnar

    65 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Après la sortie de son chef-d'oeuvre à savoir le Grand Silence, Sergio Corbucci offre sa vision de la révolution mexicaine avec un regard assez ironique dans El Mercenario. Cependant, après un début plutôt convaincant, le film s'essouffle assez vite et manque de suspense et d'enjeux malgré la présence de quelques bonnes scènes d'action. La musique de Ennio Morricone est de grande qualité, mais elle est utilisée de manière disproportionnée. Franco Nero ne parvient jamais à renouer avec le côté charismatique et fascinant que son personnage possédait dans Django. Il n'est guère aidé par la présence plutôt insignifiante de Tony Musante qui passe une bonne partie du film à rire bêtement. Jack Palance, lui, se révèle trop en retrait et, à vrai dire, assez ridicule avec cette perruque bouclée. En vrai, le meilleur acteur du film reste Giovanna Ralli, incarnation de la conscience des deux héros. Haut en couleur, El Mercenario reste assez sympa à visionner, sans être du niveau d'un western de Leone, ni du Grand Silence ou de Django. Un film correct.
    Prad12
    Prad12

    78 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2015
    Un spaghetti al dente !..... Qui influencera Il était une fois la révolution de Sergio Leone. Juste un peu moins grandiose que celui de Leone mais Corbucci fait parti de la bande.... on voit aussi à travers les bastons, ses futurs films avec le tandem Hill-Spencer. Et la musique du Maestro
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 avril 2014
    Magnifique western spaghetti de Sergio Corbucci avec Franco Nero au sommet se son art et une bande originale de Morricone toujours exceptionnelle
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2014
    Il Mercenario, impressionné par les talents de Sergio Corbucci lors du Grand Silence, je l'ais été particulièrement pour son dont de se rapprocher des gens et de les faire "cracher" tous ce qu'ils ont à dire, si ils disent du bon, ils auront sûrement la chance de rester en vie encore assez longtemps, par-contre, si ils se plantent, ils sont immédiatement exécuté. Voila comment Corbucci fait passer plusieurs message dans ces films, la nous avons une oeuvre révolutionnaire dénonçant les idéologies et les classe sociales. Pour son deuxième film en présence de Franco Nero, le deuxième Sergio nous offres une oeuvre plus "étoilée", plus "éclairée" et plus ouverte au monde extérieur que ces précédents films sombre et glauques à souhait, en ce qui me concerne, j'ai apprécié ce changement, tant que le travail de scénario et de mise-en-scène est toujours bon, que l'intrigue se base sur un personnage haut en couleur (et pour cela Franco Nero est parfait), que les éléments du western originale y sont et surtout la présence de lentes scènes d'actions bien poussiéreuses sur une magistrale B.O signé Morricone, et comme c'est bien le cas, ça fait que je ne suit pas déçut du résultat et je vous conseil vivement de le voir, vous cinéphile fan de western.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    167 abonnés 1 856 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2013
    On notera que ce film a été tourné avant Il était une fois la révolution, qui lui ressemble beaucoup. Il fait partie d'une série d'excellents westerns de Corbucci. Sans égaler Leone, sauf dans son chef d'oeuvre Le grand silence, avec Kinski et Trintignant, Corbucci est un excellent réalisateur. Ce n'est pas un hasard si Tarantino vient de lui rendre hommage avec Django... où l'on retrouve Franco Nero, qui interprète ici le rôle du mercenaire polonais, dans un style proche de celui de Clint Eastwood. On regrettera sans doute que le tableau de la révolution mexicaine ne soit pas un peu plus nuancé. Corbucci manifeste, sans doute involontairement, un certain mépris à l'encontre des Mexicains, perdus dès qu'ils n'ont plus le fameux mercenaire pour les aider. Quand on sait que Pancho Villa, ancien peone illettré, s'avéra un véritable génie militaire capable de battre des armées modernes épaulées par des spécialistes prussiens, on réalise ce que cette vision européocentriste a de prétentieux et de ridicule. On passe néanmoins un bon moment et il est remarquable de constater que le film a peu vieilli. Et la bande son de Morricone est, comme presque toujours, superbe.
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