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Guillaume O
17 abonnés
4 critiques
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2,0
Publiée le 24 janvier 2012
Les décors et costumes de ce film sont d'une richesse époustouflante ! Le problème, c'est qu'il n'y a que ça. L'histoire est totalement décousue. Je me suis ennuyé du début à la fin.
Bon et bien je me suis endormit après 30 min de film, alors je ne peux juger que ces 30 premières minutes qui étaient franchement nul ! Américanade bourrée de spéculations vomitives! De plus je n'ai pas eut un bon sommeil car le film était plutôt bruyant !
Encore Tim Burton/Johnny Depp, personnellement je n'en peux plus de les voir ensemble ces deux-là, trop c'est trop, et malgré les effets spéciaux de toute beauté, ce film est d'un ennui profond.
Malgré ma note, je me montre un peu déçue. J'ai l'impression que Tim Burton se retient dans ce film, qu'il manque beaucoup de ses petites touches personnelles qu'on aime tant...
Indéniablement, cela devrait plaire aux enfants. Je dirais même que c'est un film assez intelligent pour eux. Par contre en tant qu'adulte, je n'ai vraiment pas accroché.
Le cinéaste Tim Burton est suffisamment grand, pour prétendre à diriger le monde merveilleux d'Alice, rien est à redire à ce niveau là. Son film enchanteur est une prouesse artistique ressentie dans les multiples personnages fantastique de ce wonderland effreiné. Contrat rempli mais le scénario nous plonge aussi dans un enjeu de taille!
Film pas mal de TIM BURTON mais sans plus car tout est bien : Réalisation , acteurs , musique , direction artistique. Mais personnellement , le problème vient du scénario beaucoup trop disneyfié a mon gout et du coup TIM BURTON n'a pas pu mettre toute sa folie et son excentricité qu'on lui connait si bien. Bon film mais un peu déçu.
Dans Alice, plusieurs fois, l'identité de l'héroïne est remise en question par les habitants du pays des merveilles, qui lui demandent si elle est bien " The Alice ". La question dépasse l'écran et atteint le spectateur qui peut se demander à la fin du film si le Tim Burton censé être à la réalisation est bien " The Tim ". C'est que la déception est finalement et légitimement présente à la vue d'un film trop sage, déroulant tranquillement sa mécanique et n'offrant que très peu de surprises. Tout n'est pas à jeter, mais le problème réside dans le manque de renouvellement d'un cinéaste dont l'incursion de l'univers déglingué dans l'autre univers déglingué de Lewis Carroll promettait énormément. Le film réserve quelques moments intéressants ( dont la rencontre avec le Chapelier, pleine de folie ), mais le reste est " bien sans plus ", à la manière de la musique de Danny Elfman, toujours de qualité, mais qu'il serait difficile de distinguer de compositions d'autres films burtoniens.
En travaillant pour Disney, on aurait pu craindre que Burton s'assagisse, qu'il délaisse le côté acerbe qui caractérisait jusqu'ici son oeuvre. Même pas, et heureusement d'ailleurs puisque c'est cela même qui donne son intérêt au film. Soit un discours qui rejoint totalement l'aspect initiatique d'une telle histoire, sur la nécessité de respecter ses principes pour grandir. Les scènes en prise de vue réelle sont directement concernées puisqu'elles opposent le conformisme bourgeois ( déjà présent dans Edward par exemple ) à une volonté de ne pas rentrer dans le moule et d'injecter de la folie dans son existence. " Les gens fous sont les meilleurs " entend-on d'ailleurs à plusieurs reprises. C'est ici qu'on retrouve la déviance toute burtonienne, jusque dans sa capacité à intégrer la machine disneyenne pour la pervertir de l'intérieur. On ne trouvera pas de propos ou d'actes extrêmement choquants non plus, mais, voir dans un tel film qui cible principalement les enfants des scènes comme une décapitation ou un oeil crevé en gros plan montre bien que Burton ne se soumet pas complètement à la firme américaine.
L'éternel discours du cinéaste ( entre autres, " Devenir un adulte sans réprimer la part d'enfance en chacun de nous " ), soit grandir en n'oubliant pas que nous avons été petits, trouve avec Alice la possibilité de traduire cette idée directement en images. Ainsi, la jeune héroïne subit de multiples métamorphoses au sein du film, symboles de son évolution et du besoin d'expérimenter divers états psychiques et physiques pour se constituer une identité. Le film est très touchant quand il évoque cette recherche de soi, et sa réussite est d'autant plus forte qu'il a la très bonne idée de se détacher de l'oeuvre qui l'inspire, en faisant de son héroïne non plus une enfant mais une fille sortant tout juste de l'adolescence, période propice aux interrogations existentielles permanentes. Toute la question est de savoir comment passer de l'état de chenille à celui de papillon...
Le livre donne l'impression d'avoir été écrit sous ecsta ( du moins sous ecsta de l'époque ), le film lui, sent un peu trop la naphtaline. Réjouissant dans son propos mais plutôt inerte dans sa forme, le dernier film de Burton est une aventure sympathique mais qui n'a rien de mémorable. Les petits devraient y trouver leur compte ceci dit.
Alors c'est çà là 3D nouvelle génération! Pas encore vu Avatar donc j'savais pas trop à quoi çà pouvait bien servir. Mon impression lors de ma première séance avec ce nouveau support, c'est que l'on est entrain de bien différencier la projection Cinématographique (bien loin des Frères Lumière), avec ceux des jeux vidéos et de la diffusion à domicile avec le support Blu Ray maintenant. Et comme la grande majorité des films pour le cinéma vont être en 3D, va falloir s'y habituer. Et j'ai jugé l'expérience très impressionnante avec ce petit bijou que je viens de voir encore une fois avec mon ami Tim B.
Une idée judicieuse que j'ai eu de revoir avant, la version animé de Walt Disney de 1951. C'était l'adaptation du livre de Lewis Caroll avec une Alice enfant, car ici il s'agit d'une nouvelle histoire avec Alice Adolescente mais avec tous les personnages principaux de l'histoire originale. Comme le lapin, j'ai pas vu le temps passé, à tel point que j'étais immergé dans l'univers très fidèle à l'esprit Burtonien ...mais avec une touche de couleurs pour changer :°) C'est énorme à quel point la 3D est à son paroxisme ici, avec une animation graphique tellement dynamique que l'on se croirait "aux pays des merveilles" au côté d'Alice. C'est fou ce que la technologie numérique peut faire de nos jours et c'est tellement beau à l'image. Pour une fois je peux dire en sortant de la salle, vivement une suite, car il y a une possibilité pour qu'elle y revienne Alice. On met en avant Johnny Depp dans la peau du Chapelier Fou mais c'est kiff kiff dans les ordres d'apparition avec tous les autres personnages. L'australo-Polonaise Mia Wasikowska joue sobrement la Alice, et l'on a droit à la contribution régulière de Mme Burton alias Helena Bonham Carter dans sa folie légendaire en reine rouge.
De toute façon, pas la peine de le recommander, je sais que vous irez le voir, c'est le film évènement à ne pas louper à l'arrivée du Printemps. Donc bon film et prenez le même plaisir que le mien" :°)
Je voulais le voir au cinéma et je n'en ai pas eu l'occasion. Je l'ai vu dans l'avion d'un voyage vers les Etats-Unis et si la qualité de l'image était bien sur médiocre sur cet écran minuscule qu'on trouve dans les avions, j'avais bien apprécié. Revu un an plus tard j'ai de nouveau apprécié. L'univers visuel est vraiment magnifique, les acteurs sont super (dont Mia Wasikowska, révélation du film et que j'ai retrouvé avec plaisir dans Restless). J'ai également beaucoup aimé l'idée de ne pas traiter l'histoire d'Alice que nous connaissons tous, mais de l'ancrer quelques années plus tard ou moment où celle-ci à 19 ans et retourne au pays des merveilles. On sent par contre que Burton n'étais pas tout à fait libre et que Disney gardait un certain contrôle sur le film. Mais même un Burton contrôlé reste meilleur que bien d'autres cinéastes, ce qui explique que le film soit tout de même de bonne qualité.
Vraiment spectaculaire et grandiose moi qui n'ai pas aimé le dessin animé, j'ai adoré la version de Tim Burton. Le genre de film qu'on adore ou qu'on deteste. Qu'on lui coupe la têêêêêêêêêteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
C'est plat, c'est fade. Le côté dérangeant du livre et du dessin animé disparaît. Il reste un univers bizarre mais pas spécialement captivant. Ca prouve que Tim Burton est capable du meilleur comme du pire.