Avis sur Opération Varsovie : Le poète

Film décousu avec beaucoup d'invraisemblances. Roy Scheider mis en évidence sur les jaquettes ne fait qu'une très brève apparition. Vraiment un nanar insipide.

Rien d'exceptionnel. L'histoire n'est pas mauvaise mais le jeu est moyen et les dialogues un peu lourds et naïfs. Le montage est imparfait. Je regrette qu'il n'y ait pas une chronologie et que le final laisse à désirer.

Le film demarre bien et s egare !! Nina dobrev est magnifique

Mouais... Il ne casse rien. 1 couple juif, 1 allemand qui tombe amoureux de la femme, et un enfant illégitime. Tout ça durant les années 40. Toute cette histoire pendant 1h30 ! On aurait aimé plus de moments chocs, un peu d'action, plutôt qu'une longuette histoire d'amour entravée par la guerre en Pologne.

Adepte des films historiques, celui-ci ne me laissera pas un souvenir impérissable. Très peu de points positifs, on retiendra surtout le bon jeu de Nina Dobrev et l'enchaînement de l'action très intéressant, allant vite à l'essentiel. Pour le reste, le jeu des autres acteurs est moyen (peut-être à cause du doublage en français aussi) les dialogues pauvres et le perchiste son devait avoir mal au bras, il est souvent dans le champ de la caméra! Le scénario se perd, spoiler: les russes arrivent comme un cheveux sur la soupe
, et la fin, on s'y attend tellement que l'on est pas surpris. Autant dire que sur un sujet aussi souvent traité il ne fallait pas se tromper mais là, c'est raté. Bref, ça se laisse regarder quand on rien d'autre à faire.

Je trouve ce film magnifique et passionnant
Il s'agit d'un conte sur une petite "princesse" juive et son prince charmant officier allemand "malgré lui", se déroulant en plein chaos de la seconde guerre mondiale en Pologne. Le rythme du film est bon, avec multiples rebondissements. On est passionnés jusqu'au bout!

J'ai bien aimé l'histoire et Nina Dobrev étais superbe dedans.

Histoire à dormir debout. Invraisemblances chronologiques, incohérences historiques majeures : Les 'partisans' russes de l'autre côté de la frontière, alors que l'Armée Rouge régulière avait, elle aussi, envahi la Pologne et fraternisait en ce temps encore avec la Wehrmacht. Je ne parle du micro qui entre dans le champ en début de film. La distribution ne sauve pas ce qu'il faut bien qualifier ici de navet.