Avis : La Vérité si je mens ! 3 - Page 9

L'idée est volée du film indien BADMAASH COMPANY!! (2009-10) C'est une honte !!!

C'est pas passionnant comme film, le scénario est sympa sans plus. Cependant, on passe un bon moment à rigoler devant ce film.

Quelques passages amusants dans la première partie mais après on se contente de l essentiel avec des personnages connus. Une suite dans l esprit suite.

Sympa de retrouver la bande de potes mais ....les meilleurs moments sont vus dans la bande annonce !!! il y a un petit stratageme qui surprend et retourne le film mais rien de neuf depuis toutes ces années .
Faut penser à en rester là et arreter .Ce devient lourd !!!

film plaisant. qques lourdeurs pour lesqellles ont ne tiendra pas rigueur
bon moment de rigolades.

depuis le 2 on avait compris que plus que l'esprit d'entreprise, c'est la philosophie de l'arnaque qui prévaut, mais là c'est du décongelé, réchauffé, refroidi puis encore réchauffé donc au final avarié !!

Après le carton au box office rencontré avec le premier opus (1997) et le colossal succès du second volet (2001), qu’on le veuille ou non, il était impossible de passer à côté d’une troisième suite. 10 ans plus tard, les revoilà avec un énième volet de La Vérité si je mens !, toujours en compagnie de Thomas Gilou (le réalisateur des deux précédents chapitres) et de l’habituelle bande de copains, à savoir Richard Anconina, José Garcia, Bruno Solo, Gilbert Melki & Vincent Elbaz (qui était présent dans le premier, mais absent dans le second et donc remplacé par Gad Elmaleh). Cette comédie populaire, pour être franc, on aurait pu s’en passer, car si on ne passe pas un désagréable moment en leur compagnie, il faut bien avouer que cette énième aventure n’a vraiment rien d’originale. C’est en quelque sorte le second volet de la saga revu et remis au goût du jour dix ans plus tard, avec des personnages vieillissant ou avec enfants, où l’humour sur les juifs et l’argent reste toujours le monopole de cette comédie. Affublé d’un immonde générique de début (alors que le second volet plagiait avec élégance sur celui des James Bond), d’entrée de jeu, la déception ne tarde pas à se faire ressentir. Malgré cela, on avouera que cela reste un plaisir de tous les retrouver (durant 90 minutes, cela aurait été préférable car là, avec 120 minutes au compteur, on a qu’une hâte que le film se termine). Si Richard Anconina était la figure de proue du premier opus et José Garcia celui du second, cette fois-ci, c’est Gilbert Melki qui s’accapare notre attention avec son improbable histoire d’amour avec sa contrôleuse fiscale (interprétée par Léa Drucker). A côté de cela, on regrettera amèrement les nombreux guests-stars imposés tout au long du film, tous plus inutiles les uns que les autres (Cyril Hanouna, Danny Brillant, Max Boubil, Michel Cymes et même Franck Provost !). Au final, ce troisième volet n’a pas grand chose à nous offrir, la bande-annonce dévoilant les principaux éléments du film.

Déçu... Mais un 3ème opus après tant d'année ça sentait l'appel du fric surtout. On le ressent notamment et surtout dans le jeu des acteurs. Si José Garcia et Gilbert Melki sont bien présents d'autres comme Elbaz et Anconina (un has-been depuis trop longtemps) semble particulièrement absent. Déjà que je ne suis pas un fan absolu des deux premiers ce dernier film me laisse froid. Les gags ne font pas tellement rire, ça sent l'humour éculé ; "... tu me paie en espèce et tu me dis quand je les encaisse..." ?!!!! Nul... On use et abuse à volonté du mot vérité, ça devient agaçant tellement ça ne sent pas le naturel. Du plaisir surtout pour l'ébullition de groupe mais les dialogues sont d'un niveau trop aléatoires et les acteurs pas au même niveau dans l'implication. Sympa mais sans plus.

C’est comme pour Sherlock Holmes 2, je ne devais pas y aller. Mais suite à un changement d’emploi du temps et après m’être rappelé que j’avais bien ri au n°2, je me suis laissé tenter. Et puis j’avais déjà vu quatre films sortis cette semaine. Pas grand-chose à dire. Tout le monde a bien vieilli, sans parler des acteurs, metteurs en scène et scénaristes doivent être très fatigués et ne se sont pas vraiment foulés. Onze ans pour pondre ça ! Un peu comme Les bronzés 3, juste une pompe à fric quoi. C’est très pépère. Comédie familiale sans surprise. Aucune originalité, aucune nouveauté. Et en plus c’est long, très long : deux heures. Et bien sûr, ce n’est pas drôle...
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-la-verite-si-je-mens-3-98461107.html

L'humour est trop rare, mais très bien. L'intrigue est mieux montée que le 2e volet. On retrouve facilement cette bande de joyeux lurons. La romance laisse à désirer, mais c'est pas mal.

C'est pas pécher de regarder cette comédie de Thomas Gilou au rythme fou et au scénario totalement débridé. Elle nous offre une formidable ambiance, de bons gags, un casting très riche, et un savoureux cortège de rigolades.
Quel plaisir de retrouver notre bande de magouilleurs : le gracieux R. Anconina, le volubile J. Garcia, et les sympathiques B. Solo et G. Melki. Dans cette aventure folle, loin des fripes du Sentier, ces messieurs sont devenus des businessmans malheureusement infiltrés par des Chinois pervers en affaires... A suivre : coups fourrés, trahisons, arnaques en tous genres vont être sévères.

Non seulement, j'ai relativement apprécié ce troisième volet de la saga "La Vérité si je mens !", une nouvelle fois réalisé par Thomas Gilou et sorti en 2012, mais en plus, je l'ai préféré aux deux précédents, enfin surtout au premier du moins. On retrouve donc ici la même bande de potes qui doit faire face à une nouvelle menace impliquant la douane. Victime d'un piège dont le but est de racheter leur boîte à bas prix, ils vont alors devoir préparer leur vengeance. Le scénario suit donc, dans le fond, plus ou moins la même trame que celle du deuxième opus. On retrouve en effet les mêmes potes du Sentier au sommet puis qui dégringolent, perdant à peu près tout, victime d'une machination, puis préparent leur vengeance pour ensuite remonter. Et le film est, comme d'habitude, agrémenter des idioties des personnages et notamment de Serge, comme d'habitude. Le schéma ne change pas, le film se contente de recycler les mêmes choses et les mêmes personnages (sans les faire évoluer d'ailleurs) même onze ans après le précédent opus. Néanmoins, je dois avouer que j'ai été plus sensible à l'humour de celui-ci, peut-être plus en "subtilité". Le mot est à prendre avec des pincettes car ça reste tout de même bien lourd mais moins que dans les deux précédents films ! Je trouve en effet que les blagues sur les Juifs etc. se sont calmées ou sont en tout cas mieux amenées. Enfin, comparé au premier film, ce troisième opus ne ressemble pas à une version étirée d'un sketch d’Élie Kakou. Concernant les acteurs, nous retrouvons ici la même équipe, dont Vincent Elbaz qui, heureusement, revient et puis nous avons également l'intervention de Cyril Hanouna, tout aussi insupportable que dans TPMP, mais qui a le mérite de coller au personnage. "La Vérité si je mens ! 3" n'est donc clairement pas une comédie très marquante mais est moins indigeste qu'on le dit !

Nul sans doutes moins bon que les deux premiers, comme dans le 2, les acteurs ne changent pas mais le role, si (le beau frere de Dov dans le premier qui devient un petit escroc dans le second qui finalement finit patron de café dans le trois...), le méchant du deuxième (Marc Andréoni/ Willy Journo) a pris 35kg, a troqué sa queue cheval contre unr barbe pour devenir un personnage récurrent dans le trois, la mere de dov dans le premier qui devient la mere de serge dans le deux garde son role...

La technique est digne d'un telefilm de france television, l'intrigue n'est pas seulement rechauffee, elle est brulee, finalement on paye sa place pour revoir la bande annonce en plus long, beaucoup plus long... Le film est long a demarrer et ne trouve jamais de ritme de croisiere, dommage, certes ca nous a fait plaisir de revoir,la bande de potes de la "saga", mais pitié ne faites as de 4... La suite de trop, attendez au moins 20/25 ans avant de nous faire un quatrieme volet, sinon, n'en faites pas...

Pas de vraie surprise dans ce 3ème opus mais l'agréable sensation de retrouver les complices d'une série, ma foi plutôt honorable, dans la comédie française de ces dernières années. Le réalisateur n'a pas manqué de moyens, les acteurs ont tous pris quelques rides, le scénariste n'a pas trop transpiré, le rythme est maintenu tout au long de cette histoire bon enfant truffée de gags souvent drôles. On a aprécié les citations (Pas juive, Salomon?), voire les auto-citations (regarde la bague!), mais gaffe à la parodie et à la routine!

Je m'attendais un peu mais "La vérité si je mens! 3" est le moins bon de la saga !! On retrouve avec plaisir la petite bande de copains et d'associés en affaire avec joie des années plus tard, les enfants grandissent, le business coule à flot mais des Chinois viennent semer la zizanie et les appauvrissent de dettes de quoi trouver à chaque fois des solutions. On rigole pour les histoires de couples, de familles et d'argents, notamment le personnage de Serge mais il y a aussi des situations lourdes qui ne marchent pas comme l'histoire d'amour entre Patrick et la conseillère fiscale sans étincelles. Le film est quand mème mi-figue mi-raisin en terme de qualité . Les personnages féminins sont quasi inexistant et la belle part à sauver viennent de Richard Anconia, José Garcia, Bruno Solo, Vincent Elbaz et Gilbert Melki plus des seconds roles croustillants comme Enrico Macias, Cyrill Hanouna ou Dany Brillant dans un drole de guest. L'ensemble est sympathique mais pas inoubliable.