Avis sur Donkey Punch (Coups mortels)

un film sans aucun interet , des acteurs incroyablement mauvais , le scénario n'en parlons pas , aucune cohérence dans les actes des personnages , des dialogues écrit par des jeune collégien obsédés avec un humour douteux , mention spéciale a la "coincée" de l'équipe qui est tout bonement une tete a claque d'une niaiseté affligeante ... fuyez ce film

Cette série B met un certain temps à s'installer à tel point qu'on se demande si le réal ne se fiche pas du monde jusqu'à ce qu'il se lâche en nous offrant une scène de partouze plutôt réussie. Changement de ton qui en préfigure un autre puisque survient le drame et à ce moment là la tension va être continuelle jusqu'au dénouement. C'est interprété correctement, les situations sont plausibles (je ne dis pas logiques, mais la logique est rarement de la partie en de telles circonstances) ces messieurs quittent ce monde en de forts originales circonstances (que l'on regarde avec un plaisir coupable). Et puis, ces demoiselles sont charmantes. Bref on passe un bon moment n'en déplaise aux esprits chagrins.

Agréable surprise de la part du premier long-métrage d'Olly Blackburn. Sortie technique pour Donkey Punch (2008) qui, ne vous fiez pas à son scénario simpliste, va vous réserver bon nombre de surprises. Trois charmantes demoiselles font la connaissance d'une bande d'amis, matelots sur un yacht de luxe. Invités à y venir passer le reste de la soirée, ce qui aurait du être une banale soirée arrosée, va se transformer en un véritable bain de sang. Cadre idyllique, mer turquoise, bikinis et alcool à volonté, psychotropes et sexe sont au programme de cette folle ballade en bateau, qui petit à petit, devient de plus en plus sanglante. Tension palpable, multiple rebondissements et acteurs dénués de stéréotypes (pour une fois !), Olly Blackburn séduit sans grand mal avec cette Série B horrifique efficace !

Des jeunes, du sexe, de la drogue et du sang ! Un cocktail explosif qui se place sous le signe de l'originalité sans être exempt de tout défaut. Ce qui commence comme une fiesta délurée et no limit finit en bain de sang dans lequel tout est bon pour s'en sortir et dégommer ses (ex) potes. Le scénario bien que simpliste sort du lot et maintient l'intérêt malgré des personnages stéréotypés et complètement débiles pour la plupart, ce survival inattendu se laisse voir et amuse surtout par la propension des personnages à utiliser tout et n'importe quoi pour se dessouder entre eux. Qui s'en sortira ou non, à vrai dire on s'en moque pas mal vu l'empathie relativement mesurée que dégage chacun des protagonistes mais on passe un bon moment et certaines mises à mort restent assez fun. À voir sans prise de tête.

Bien qu’il débute en ne proposant, pendant une bonne demi-heure, rien d’autre que les excès de sexe, drogue et alcool d’un groupe de jeunes nantis, au point de laisser penser les spectateurs ignorants tout de la suite qu’ils assistent à un spectacle voyeuriste et superflu, la mécanique scénaristique avec laquelle l’intrigue va ensuite s’embrailler, vers une conclusion certes prévisible, est bien huilée. C’est essentiellement parce que les six personnages sont davantage travaillés que ne le sont les vulgaires archétypes qui hantent généralement ce genre de films que leur confrontation, qu’elle soit verbale ou physique, parvient à devenir, d’abord convaincante, puis même franchement surprenante. Cette première réalisation d'Olly Blackburn (qui n’avait jusque-là à son actif que le scénario désastreux de Vinyan… une belle casserole donc) est un donc petit thriller destiné à un public adolescent qui, bien qu’il semble ressasser beaucoup des poncifs scénaristiques du cinéma de genre de ces dernières années, parvient malgré tout à maintenir un minimum de suspense et à garantir des scènes gores jamais gratuites car justifiés par des comportements névrotiques si crédibles qu’ils en deviennent l’élément le plus effrayant du film.

Ca commence pas mal puis après la mort de la jeune fille cela devient carrément ennuyeux.

Trois anglaises en vacances dans un croisière qui tourne mal. Pitch ultra usé mais vraie tension. Si cela met du temps à démarrer (la scène de sexe est trop longue), la suite s'avère plus passionnante à défaut d'être originale. Les personnages se révèlent au fur-et-à-mesure des coups sanglants (comme d'hab') mais on se prend volontiers au jeu.
Efficace, et c'est déjà pas mal.

Atmosphère malsaine tout au long du film
On s’imagine le pire en se demandant où le réalisateur veut nous emmener ce qui fait l’originalité du film
L’ambiance estivale et fêtarde pimente le drame

Une "très mauvaise blague" alimentée avec un cocktail explosif fait basculer une expérience "chaude" en border line qui chavire vite en no limit et bascule en "Survival" collectif ! Là est l’originalité du cheminement ! Pouvoir gérer une crise où personne n'est personnellement protégé en fin de compte se transforme en ingérable. Tout va vite, très vite, tellement vite que les comportements deviennent incohérents car la présomption de culpabilité est planante. Un regret que le coté purement thriller est oublié en route (un petit style à la "shining" ou autre aurait été sympa !) pour s'orienter sur un pur drame. Les scènes assez explicitent du début peuvent choquer (c'est volontaire !) mais tracent parfaitement, sous amphétamines, les "folies" comportementales que quelqu'un d’influençable peut être amené à commettre. Reste le regret du suspens pur absent, mal ressenti ou mal manifesté. 3.5/5 !!! (pour public averti)

Donkey Punch est un thriller érotique britannique qui n’est sorti en France que 2 ans plus tard dans le cadre du programme "CinéMadness Opus 1" dont le principe est le suivant: une salle, une semaine, quatre films. Il a également été présenté au festival Sundance qui a pour habitude de présenter et mettre en avant des films indépendants hors du système hollywoodien. Cela se voit d’entrée avec une photographie assez pauvre digne d’un téléfilm sans parler de ces visages qui semblent sortis tout droit des films nordiques. Etant sériephile, un de mes plaisirs coupables est de suivre le show ado Pretty Little Liars, et j’ai donc été surpris de retrouver ici Julian Morris qui est l’infirmier Wren dans la série. Il est dans ce long métrage, selon moi le personnage le plus intéressant, et encore… Car dans ce film ni bon ni mauvais, le très gros point faible c’est le développement et exploitation de cette bande de jeunes dont on ne réussit aucunement à s’y attacher. Et cela même l’héroïne, qui est la plus prude du lot, incarnée par Nichola Burley, ne parvient pas à nous émouvoir dans cette galère sanglante qui se présente à elle. Je ne sais pas si c’est voulu ou pas mais les mecs du films sont présentés tels des assoiffés de sexe affligés d’une cacahuète en guise de cervelle et les nanas se montrent inconscientes comme pas possible rendant leurs réactions aussi débiles qu’agaçantes… Mais en dehors de ce gigantesque point noir, il y’a tout de même du bon à retirer dans ce récit… Et oui!

Suite : voir lien .

(...) En bref, Donkey Punch n’est pas un mauvais film en soi, il s’agit plus d’un film de genre (un de plus !) ne reposant que sur les acquis de ses ainés. En découle un métrage que l’on a l’impression de connaître par cœur au bout de cinq minutes à peine, un métrage qui ne nous fera ni chaud, ni froid. Pour un thriller horrifique c’est bien dommage. Après visionnage, l’on comprend mieux pourquoi un film datant de 2007 a mis autant de temps à sortir sur nos écrans.
Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/08/17/critique-donkey-punch/

Hum, un film inégal, mais que j'ai plutôt apprécié. On a un début d'histoire à la Hostel (des jeunes femmes invitées par des mecs sympas sur un mini-yacht luxueux. Puis a lieu LA scéance de cuissage du film, dépassant allègrement tout les quotas de nudité qu'on a l'habitude de voir dans ce genre de prod. En découle alors un engrenage infernal qui poussera les occupants à s'entretuer. Un pitch sympa, mais des actions un peu trop mécaniques pour paraître spontanées. N'empêche que la musique de Chanfrault déchire, comme d'habitude. Un p'tit film sympa, quoi.

Le film avait un bon potentiel, mais l'histoire devient trop brouillon et la réalisation des scènes manque de sérieux.

Film très contradictoire puisque déjà les apparences sont multiples selon les affiches, les titres qu'ils soient en français en anglais, ou encore selon les bandes annonces.
Bien déjà je sentais la complexité que j'allais rencontrer à analyser Donkey punch.
Le film commençait mal, avec son aspect de porno raté, et de teen age movie.
D'autant plus que c'était mal écrit et mal filmé, ensuite est arrivé l'élément perturbateur dont ignorait ses conséquences au moment il se produisait, c'est vrai que la dégénérescence est exceptionnelle, beaucoup de trahisons et de massacres vont se produire, alors qu'à la base tout le monde s'aimait bien et tout le monde s'eclatait.
Ensuite vont arriver les clashs et les dilemmes, la confiance malgré les relations proches voires intimes.
Après ça va aller très vite, et on va être accroché au film pendant une heure.
Bonne œuvre. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5

Sympa, ne constitue pas un modèle d'originalité mais demeure très distrayant. A voir.