Derniers Avis : Les Beaux Gosses - Page 8

Le film est sympathique mais s'essouffle a la fin...au début on a de la compassion pour Vincent Lacoste qui campe un ado "moche", mais au fur et a mesure du film on remarque que son personnage est antipathique, il se moque de gens qui sont dans la même situation que lui et ne sait même pas profiter de ce qu'il a !!! Pourtant bizarrement un air d'émotion plane sur ce film, on ne s'ennuie pas. l'histoire, bien qu'un peu lourde des fois, dépeint un visage assez caricatural de l'adolescence mais en ayant une certaine vérité !!! Noémie lvovsky est très très bonne dans ce film et apporte la grande touche drôle du film.

Un bon petit film qui dépeint parfaitement l'ingratitude et le malaise qui sévit lors des années collège sous toutes ses formes. J’appréhende toujours un peu ce genre de film mais il se trouve que celui-la a su rester juste malgré quelques rares débordements de mauvais gout (qui font malgré tout partie de cette période adolescente). Les personnages sont attachants malgré leurs dérèglements hormonaux qui les rendent par moment assez détestables. Mention spéciale a la bande originale irréprochable principalement mise au point par le génie Flairs.

On retrouve dans ce premier long-métrage de Riad Sattouf toute la verve de ses illustrations et de ses bandes dessinées, notamment son sens de l'observation et du dialogue. Les Beaux Gosses sont une joyeuse déclinaison ciné de La Vie secrète des jeunes. L'auteur s'aventure, en live cette fois, au plus près et au plus juste du monde des ados (plutôt estampillé années 1990), via un casting parfait : une bande de jeunes avec de vraies tronches de jeunes, confondants de naturel (mention spéciale à Vincent Lacoste) ; et quelques adultes qui s'en donnent à coeur joie (dont une épatante Noémie Lvovsky en mère très attentive à l'éveil sexuel de son fils). Pulsions et maladresses en tout genre passent ainsi à la moulinette d'un humour cru, potache, toujours bien senti. Avec une belle brochette de détails qui tuent : l'horrible pull porté tous les jours, l'utilisation déviante des chaussettes, le vif intérêt pour le catalogue de La Redoute... Le résultat est souvent hilarant et ravive une pléiade de souvenirs de jeunesse. Il n'évite pas, sur la longueur, l'écueil narratif de la suite de sketchs, mais son rythme bien emballé emporte facilement l'adhésion, avec jubilation.

Raconter les premiers titillements amoureux avec véracité et dérision n'a pas du être un exercice facile. Le résultat est pourtant positif. Des personnages authentiques (bien que fictifs), des dialogues hilarants, et des situations cocasses qui nous rappellent nos années collège. Bien qu'on se fende la poire, on est pas pour autant dans la caricature. J'ai donc envie de dire "chapeau"!

Une comédie qui dresse le portrait d’un adolescent avec véracité et dérision. Certains dialogues sont drôles et situations cocasses. Les personnages sont authentiques et Vincent Lacoste s’avère une belle révélation. Entre préjugés et profondes vérités, le film est plutôt réussi et permet de passer un bon moment !

Ni un navet, ni une petite merveille du 7è Art . Un film sympathique avec quelques scènes hilarantes et des répliques qui ne font pas pleurer non plus. Ce n'est pas le genre de film que j'irais voir 3 fois mais j'ai passé un bon moment.

Film moins que moyen (!), dû aux stéréotypes de l'adolescence (et pourquoi sont-ils tous aussi moche??) et à un rythme inexistant. Ce n'est rien d'autres qu'un teen movie comique sur les jeunes qui se pose des questions sur le sexe (et pas sur leur orientation bien entendu). C'est assez réducteur et certaines scènes sont complètement ridicules à l'image du jeu de rôle... Enfin bref, excepté la musique et les deux acteurs principaux (et Neomy!!) ce n'est pas un chef d'oeuvre.

Riad Sattouf a voulu peindre sa jeunesse, celle du début des années 1990 dans un collège de la classe moyenne. Forcément, il y a des scènes qui sonnent justes sur l’âge ingrat, celui de l’incapacité à aimer et à être aimé. Mais en montrant des loosers prépubères, Sattouf s’enferme dans la superficialité des teens movies et est desservie par l’absence de rythme d’une mise en scène hésitante et d’un montage amateur. Certes, tout n’est pas à jeter dans « Les beaux gosses » (à commencer par les performances des deux acteurs principaux) mais on est loin de l'intention de départ, la caricature l'emportant sur le réalisme.

Un film réaliste certes, drôle parfois mais qui n'invente rien du tout et patauge durant 1h30.

Gros navet. Décalé. Rabaisse l'adolescence par des stéréotypes. Vulgaire. Humour: pipi, caca. Tout est trop exagéré. Aucune finesse. Ce film met en oeuvre tout les clichés de l'âge ingrat. Ce film ne m'a pas fait rire, peut-être m'a-t-il fait sourire une ou deux fois ? Une perte de temps, je vous le déconseille.

Un film qui tente de mettre de la poésie là où il n'y en a pas.

Les critiques élogieuses m'étonne énormément tant ce film m'a ennuyé. Les 2 acteurs principaux sont juste insupportables, les gags sont mauvais et le film manque cruellement de rythme. Nul

On rigole franchement dans ce portait d'ado bourré de préjugés et de profondes vérités qui étoffe son argumentaire de minutes en minutes. Mention spéciale pour les jeunes acteurs ultra performants !

Un film tellement bancal et maladroitement interprèté qu'il en est charmant. On est certes loin d'un chef d'œuvre, mais ce côté "cheap" et sa naturelle spontanéité le rendent complètement décomplexé. Interpréter des ados ringards avec un tel réalisme mérite un prix d'interprétation! Ce "Sauvé par le Gong" à la Max Pecas nous réserve quelques répliques savoureuses et rappelle ces "grandes oeuvres" muliti-redifusionnés des années 70. C'est désuet et en même temps très actuel.... Ces beaux gosses sont une arnaque, ils sont juste mignons, mais c'est déjà pas mal !!!

Excellent. Les deux acteurs principaux sont aux jouent vraiment bien, certaines répliques font mouche. A voir.