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    Les guerriers des étoiles
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    4 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    5 028 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2013
    J'ai regardé Les guerriers des étoiles sans savoir que c'était une comédie, je ne sais pas si ça se veut une parodie de Starwars mais en tout cas l'humour prime sur la SF. Dommage l'histoire à la base est pas mal, dans le futur l'eau est tellement rare qu'elle est devenue d'une grande valeur. The Ice Pirates a quelques noms connus, ça se laisse regarder sans trop d'ennui mais l'humour du film est moyen, le réalisateur semble filmer tout cela sans trop se soucier de son film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 159 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2021
    Dans un futur indéterminé, l’eau est devenue une denrée si rare et si précieuse, qu’elle est rationnée et convoitée par les pires espèces. Ce sont les Templiers de Mithra qui contrôle l’eau sous forme de blocs de glace. Néanmoins, cela n’empêche pas d’irréductibles pirates rebelles de voler leurs cargaisons et d’en faire un juteux business.

    On est bouche-bée… littéralement ! Après avoir découvert ce space-opéra incroyablement bordélico-comico-burlesque. Du grand n'importe nawak qu’il est difficile de résumer tant l’histoire s’avère à la fois WTF, improbable et surréaliste.

    Quelques années avant de commettre le plagia éhonté d’E.T. : L'extra-terrestre (1982) avec l’étonnant Mac et moi (1988), Stewart Raffill s’était attelé à la comédie science-fictionnelle que l’on pourrait qualifier de parodique, à mi-chemin entre la saga Star Wars et La Folle Histoire de l'espace (1987).

    Il en résulte une surprenante (et encore, le mot est faible) comédie. Imaginez un film de pirates dont l’action ne se situe pas sur un galion mais sur un vaisseau dans l'espace. 90min de grand n’importe quoi où s’entrecroisent pêle-mêle, une belle au bois dormant, des robots ninjas, des castras, un perroquet lépreux, un robot qui à la diarrhée, des ânes & marcassins (dans l’espace, après tout, pourquoi pas !), un "monstrobite", une femme-grenouille (à tête de gland et habillée en laitue), des licornes, …

    Mais le plus hallucinant dans ce film, c’est que l’on a constamment l’impression que les accessoiristes ont fait une razzia dans les costumes de la MGM. Comme s’ils avaient pris tout ce qui leur tombaient sous la main, sans chercher à savoir s’ils en avaient besoin et encore moins, sans se remettre en question. Il n’y a aucune ligne directrice dans le choix et/ou la cohérence des costumes puisque l’on y retrouve des cottes de mailles, des flibustiers, des chevaliers, des types habillés en marcel, des cowboys, des vikings, …

    Des décors cheap où l’on se retrouve au cœur d’un vaisseau spatial, puis dans la scène d’après, ils ont filmé les séquences (celles des gros blocs de glace) au sein même d’une centrale électrique (d’un côté on voit encore les turbines et de l’autre, il y a des ajouts en matte painting). C’est grossier, on n’y croit jamais, mais comme avec les costumes, c’est ce qui fait le charme du film. Sans oublier la séquence dans le désert, une espèce de Mad Max du pauvre qui se déroulerait en plein Burning Man.

    A la distribution, on retrouve dans les rôles des pirates interstellaires l’excellent Robert Urich, Anjelica Huston, le tout jeune Ron Perlman (qui n’en était qu’à son 2ème film) & Michael D. Roberts. Ces derniers nous offrent d’ailleurs d’agréables moments de rigolade, comme lorsqu’ils sont faits prisonniers et condamnés à devenir esclaves. Ils se retrouvent donc contrains et forcés de subir une castration (qui se fait à la chaîne, comme à l’usine) ou l’hilarante séquence de la bataille en pleine distorsion temporelle spoiler: (où ils prennent tous 40ans en l’espace de 10min).


    Un joyeux bordel de doux dingues, à voir au 30ème degré. C’est d’ailleurs tout ce qui fait le charme de ce film, assister à un bordel sans nom, sans cohérence, au cœur d’un sympathique foutoir.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2019
    J’ai presque envie de retenir ma verve en retour du plaisir rare que me donnent Les Guerriers des étoiles d’octroyer 1/10 à un film. Mais il faut dire ce qui hait – pardon, ce qui est : copie cheap de Star Wars, il est sauvé de qualificatifs comme « honteux » et « plagiaire » parce que l’argument parodique couvre ses arrières. Mais entre les cadrages abominables, les combats ridicules et les dialogues extrêmement pauvres, il n’y a plus de divertissement que l’univers visuel, qui a le mérite d’être plutôt diversifié.

    En outre, il y a une manière d’orchestrer une parodie ; si c’est une défense facile à ériger contre des médiocrités comme la création de Stewart Raffill, il est aussi aisé de trouver intolérable la naïveté et la fugacité de passages tantôt grotesques (comme la transformation d’une console de combat en jeu vidéo – par clin d’œil pour son époque ? –, ou bien le fait que les personnages passent d’un vaisseau à l’autre dans l’espace en faisant juste des trous aux explosifs), tantôt ennuyeux (l’accélération de l’image pour simuler la vitesse).

    La comédie tire du risible une certaine libération de l’humour et des rebondissements que les scénaristes gâchent entièrement dans le vulgaire ou le mépris (ainsi l’animal typé facehugger n’aura-t-il d’autre utilité que de faire peur une ou deux fois et de rentabiliser un peu de faux sang avant qu’on l’oublie tout à fait – on oublia sûrement qu’il aurait dû ressusciter avec le retour dans le temps, pour préciser à ceux qui savent).

    Max Von Sydow fait une apparition éclair – que je n’ai d’ailleurs pas vue – dans ce spatio-navet sans excuses de ses excès. C’est de la science-fiction qui manque de budget, une comédie qui se récupère dans la parodie comme pour dire « oups, désolé, il fallait bien le finir » mais qui, dans le fond, était trop contente de modestes prouesses comme faire bouger correctement quelques androïdes, des RD-D2 dénaturés dans un cosmos qui se mesurent avec toutes sortes de chiffres et de lettres – une accélération de 68, un quotient de 2, un rapport de 6, des vaisseaux de classe Y – mais sans aucune unité. Ça le définit bien, d’ailleurs : sans unité.

    septiemeartetdemi.com
    Hyena6 .
    Hyena6 .

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 août 2014
    C'est un nanar de catégorie hors norme.

    Tellement hors concours que je ne sait pas si je dois lui donner 0.5 étoiles ou bien 5étoiles.

    Pour faire simple on prend madmax, starwars, alien, un film de pirate, des licornes et bien d'autre encore on saupoudre d'humour et on met dans un mixeur. Ce que l'on obtient est un film avec des effet visuel terriblement "cheap" et halluciné. A la moitié du film je ne pouvais détourner mon regard hagard de la chose tant les influences se mélangeait bizarrement rendant presque la chose crédible tant la variété des décors et des costumes entre madmax et conan était grande.

    Ce film est un délire halluciné.
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