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    Howl
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    3,1
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    38 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juin 2012
    film a caractère historique de la beat generation. Curieusement le pays de la libre concurrence n'en a rien à foutre de la culture ou de la poésie qui sort des habituels canons. mais soyons honnêtes cela n'est pas propres au states à cette époque ou d'autres! l'homosexualité reste un délit voir un crime la poésie ou le pamphlet reste des armes prohibés dans certains pays! film instructif du courage
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 avril 2012
    Chronique sur http://www.mauvais-genres.net/2012/03/02/en-vrac-11/
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 13 mars 2012
    Le très bon point du film, c'est quand même d'avoir remis en lumière ce poème génial et son auteur, Allen Ginsberg, fer de lance avec Jack Kerouac et William Burroughs du mouvement Beat qui influença la littérature, la culture et qui contribua à changer la société des années 50/60 (et même après). L'autre bon point, c'est James Franco. L'acteur habite parfaitement Ginsberg et imite très (trop ?) bien son phrasé dans les scènes de lecture. Pour le reste... Ce qui caractérise la littérature Beat, c'est une construction (ou justement une absence de construction) qu'on a toujours rapproché au jazz en musique. Là, au cinéma, on nous impose une succession de scènes répétitives : lecture dans un bar beatnik/séquence animée sensée illustrer le poème/entretien avec Ginsberg/flashback sur sa vie avant Howl/scène de tribunal, et on recommence... Epstein et Friedman viennent du documentaire et ça se voit : fausse interview, reconstitution du procès pour obscénité... il sont visiblement du mal à décrocher de leur genre de prédilection. Le problème, c'est que le résultat ressemble plus à un docu-fiction pour Arte ou Planète qu'à un film de cinéma. Et puis, on n'en apprend pas beaucoup plus ici sur Allen Ginsberg que dans n'importe quel bouquin de base consacré aux auteurs Beat. Si le but était de nous faire un biopic sur Ginsberg ou un portrait de la Beat Generation, c'est raté. Si le but était de présenter le poème par le biais du cinéma, c'est inutile. Howl le poème se suffit à lui-même et là, clairement, vouloir l'illustrer par un dessin animé en plus assez moche techniquement, c'est tout sauf une bonne idée : on empêche le spectateur de s'en faire sa propre vision. Y aurait-il une malédiction sur la transposition d'œuvres Beat au 7ème Art ? Quand on voit ce "Howl" pas terrible, quand on se souvient de l'imparfait "Festin Nu" de Cronenberg, on tremble à l'idée du très prochain "Sur la Route" de Walter Salles.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 398 abonnés 7 283 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mars 2012
    Présenté il y a tout juste deux ans au Festival de Sundance, Howl (2010) bénéficie finalement d’une exploitation (tardive) en salles alors qu’une sortie en DTV aurait été plus judicieuse vu la manière avec laquelle le film de Rob Epstein & Jeffrey Friedman parvient à nous faire sombrer dans un ennui inextricable. 85 minutes centrées sur Allen Ginsberg, ce biopic sur le célèbre poète américain (1926/1997) intéressera peut-être les amateurs du poète mais quant aux fans de l’acteur James Franco (qui incarne le personnage principal), ils seront tout simplement déçus de sa prestation qui dévoile aucune émotion lors de ses longues tirades. La mise en scène alternant prises de vues réelles et animations aurait pu laisser présager quelque chose d’original et d’intéressant mais les scènes à rallonge auront finalement réussit à nous assommer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 mars 2012
    Howl ou "comment je m'attendais à 1h30 d'intensité poétique jubilatoire et je n'ai pas été déçu"
    Seul bémol la toute fin déroulée
    comme un vieux drame des années 90. Autant dire rien.
    norman06
    norman06

    317 abonnés 1 615 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Mineure mais agréable, cette reconstitution d'un procès absurde vaut par l'universalité de son propos et de kitchissimes séquences d'animation. James Franco tente encore de casser son image lisse.
    Charles G
    Charles G

    32 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2012
    Un film sur un poète, qui plus est qui porte le nom d'un poème, doit-il contenir de longs extraits de poésie ? On a ici un film qui répond par l'affirmative. Et il y a de tout dans ces extraits. Ils sont tous répétés plusieurs fois, d'abord récités froidement hors contexte, et une seconde fois après un décryptage contextuel et sémantique. L'exercice est intéressant, mais trop systématique et trop répété. Aussi, le fil rouge du film est un procès fait par un représentant de la société bien-pensante contre l'éditeur du recueil de poème pour outrage à la dignité et autre balivernes. Or, ce débat manque de mordant, de conviction. Tout juste esquisse-t-on un sourire lors de son dénouement qui ne fait aucun doute quant à sa nature. En fait, les passages les plus intéressants du film résident dans l'entretien intimiste avec le poète, sur la vision qu'il a de sa poésie ; sur la façon dont les idées, les mots, les lettres lui viennent. Là, on entre dans un échange où l'on amené à doucement percevoir la magie de la création. James Franco est comme d'habitude bon. Attention toutefois à ne pas être catalogué comme l'acteur qui joue des rôles de gay acculé par la société (on avait déjà vu ça dans l'excellent Harvey Milk).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 février 2012
    [...] Nous irons sur les monts à hallucinations, nous ; drogués, camés, putains, assistés, chômeurs, poètes, musiciens, comédiens, peintres, branleurs, homosexuels, hédonistes, baiseurs en tout genre, fornicateurs à n'en plus tenir, suceurs de verges énormes, séropositifs, phtisiques, lépreux, tous et tous et bien d'autres encore. Et nous parlerons d'amour, de passion et de beauté pendant que le suc verdâtre se déversera de nous, s'en ira gicler à la gueule des bonnes gens, conservateurs d'un pouvoir illusoire, bienséant, à gerber. Et nous gerberons sur leurs institutions [...]
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2012
    Un petit film minimaliste et sympathique qui tourne autour du scandale qui anime les états Unis au moment de la sortie du recueil de poème Howl d'Alan Guinsberg. Le film est découpé en trois temps : les premières images du film nous montrent Alan Guinsberg, chez lui, entrain de discuter avec un journaliste hors champ sur des sujets aussi divers que la réalité de la beat generation, les raisons de l'écriture, les motivations, le scandale autour de Howl ect. Filmé en couleur, pour marquer le présent, le monologue est émaillé de flash back en noir et blanc qui retrace l'histoire d'Alan G. depuis ses débuts jusqu'à la sortie de Howl. Ce film est émaillé par l'une des premières lectures publiques par Alan G. lui-même du recueil et sur les mots du poète se greffes des peintures très colorés qui livrent une des possibles interprétations du poème. Car derrière la vie d'Alan G., Howl pose des questions essentielles sur l'art et la littérature : qu'est ce que l'art, comment définir un objet littéraire, qu'est ce qu'un poème b?? Des questions essentielles encore aujourd'hui quand on voit les réactions extrêmes que peuvent entrainer certaines créations artistiques en occident comme en orient. Minimaliste voire simpliste dans la forme, le traitement narratif, l'interview et la lecture de Howl, scandé par Ginsberg font de ce film un très bel objet. De plus les acteurs sont vraiment excellents.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2012
    Ça ressemble plus à une reconstitution de procès qu'à un biopic, mais c'est un procès tellement important dans l'histoire de la littérature, et même de l'art en général, qu'on ne s'ennuie pas une seconde. Chacun devrait voir ce film pour vraiment se poser les bonnes questions en ce qui concerne l'art. Et les séquences animées pour retranscrire le poème sont juste sublimes, j'en ai presque pleuré. Maintenant je me demande : il y a eu un pseudo-biopic sur Burroughs, "Le Festin nu", un pseudo-biopic sur Ginsberg, "Howl", quand est-ce qu'on va s'occuper de Kerouac ? Les droits sont si chers que ça ?
    pitch22
    pitch22

    152 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2012
    Ce docu-fiction, centré sur le fameux procès qui mit HOWL à l'affiche des médias, regorge, en parallèle aux reconstitutions, de poésie visuelle, à travers des animations somptueuses, oniriques et effrayantes. L'ensemble, d'une fluidité parfaite, d'une puissance authentique, se trouve un peu appesanti par le caractère répétitif des termes du procès, qui s'attarde donc sur les passages à connotation sexuelle du poème-manifeste. James Franco, en Allen Ginsberg, assure, avec une diction apparemment étrange mais fidèle. Le patchwork fiction-docu-anim fonctionne parfaitement, contrairement à ce qu'en disent d'autres critiques dont on peut se demander s'ils possèdent la sensibilité requise pour pouvoir jouir de cette sorte d'OFNI. Certes, on aurait pu amoindrir la place attribuée aux échanges judiciaires; cependant, cette composante permet de soutenir l'attention et fait chambre d'écho à l'impact du texte sur les esprits. Bien qu'il s'embourbe quelque peu dans un mysticisme d'allure manichéenne, le texte contemporain vibre encore dans toute sa force. En matière d'intimité, J. Epstein et J. Friedman ne tergiversent pas et expriment les aléas sentimentaux et l'évolution homosexuelle du poète, qui se révèle dans l'affirmation de soi.
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    19 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2012
    Dommage si l'on ne comprend pas l'anglais (americain) tellement dommage que ca ne vaut meme pas la peine le deplacement, car, meme si la traduction etait bien faite, le plus important du film est le texte et en plus en lissant les titres l'on risque de rater le charmant complement, un peu fantasiste mais poetique, de l'histoire parallele en dessin annime. Par ailleurs ce film charge un peu trop la main sur le proces pour obscenite de l'oeuvre phare de la Beat Generation, ce qui fait perdre un peu d'intensite
    narrative a l'histoire.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    98 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2012
    "Howl" n'est pas le "Festin nu" de Cronenberg, il est plus sage et moins dérangeant (pas d'anus qui parlent ni de monstres caoutchouteux, donc), mais si ce film peut donner envie de découvrir la poésie hallucinée d'Allen Ginsberg, c'est déjà un point positif. Les réalisateurs n'ont pas cherché à faire un biopic comme il y en a tant mais à cerner la personnalité de Ginsberg et ce qui l'a amené à créer "Howl", cette articulation des émotions, ce cri joliment convulsif qui retentit dans la nuit américaine pour réveiller les bonnes et les mauvaises consciences. Le film est là pour rappeler que Ginsberg était à l'époque jugé pour obscénité, et à la barre défilaient des "experts" en littérature qui devaient décider si l'oeuvre de Ginsberg a une valeur objective! Le film apporte juste la démonstration que la poésie d'un artiste libre n'admet aucune définition ni limitation, en alternant des séquences de tribunal plutôt amusantes de mauvaise foi, des séquences visuelles animées illustrant le poème et des extraits d'interviews reconstituées. Au bout d'un moment on en oublie que c'est James Franco qui s'exprime et on ne perçoit que les mots, la sensibilité de Ginsberg.
    ffred
    ffred

    1 554 abonnés 3 984 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2012
    Voilà enfin le premier film original de l’année, grosse surprise et énorme coup de cœur. Pour tout dire je n’avais entendu parler de la Beat Generation que de loin, plus pour Kerouac que pour Allen Ginsberg, inconnu au bataillon. Et donc encore moins pour son poème sulfureux et scandaleux (pour l’époque) Howl. Outre la découverte de cet univers, c’est avant tout une œuvre à la forme et au ton originaux que nous voyons là. Le film est un savant kaléidoscope autour du fameux poème (en prose) : le procès de l’époque contre l’éditeur (les excellents David Strathairn en procureur et Jon Hamm en avocat de la défense, Jeffs Daniels, Mary-Louise Parker, Alessandro Nivola et Treat Williams en témoins), un portrait de Ginsberg (magnifique, inspiré et parfait James Franco) sous forme d’interview, la lecteur du dit-poème en public par l’auteur et sous forme de dessins animés (photo, couleurs et montage superbes) collant parfaitement au texte. Tout cela est très intelligemment écrit et mis en scène par Rob Epstein et Jeffrey Friedman, réalisateurs venant du documentaire (The celluloid closet, The times of Harvey Milk…)...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-howl-99599855.html
    Spideyfan
    Spideyfan

    29 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2012
    Un très bon film malheureusement trop peu diffusé ! Un biopic sous forme de poème élitiste et expérimental porté par d'excellents comédiens additionné à un travail esthétique et sonore très réussi ! A découvrir absolument pour ceux qui aime le cinéma un peu "différent" !
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