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    Howl
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 février 2012
    Nul! D'un ennui abyssal, le film est en plus extrêmement embarrassant pour qui a une petite admiration pour la période et le mouvement. La mise en scène est grotesque, les acteurs en surjeu, façon "regardez comme je suis imprégné de l'inspiration du poète et comme je dis des choses historiques". Bref, rien ne va. Le genre de films qui ne devraient pas sortir.
    Cinephille
    Cinephille

    139 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 février 2012
    Un biopic d' Allen Ginsberg et un peu plus globalement un survol de la "beat generation". C'est un exercice de style plat, convenu, fait d'interviews reconstituées, de lectures sur des images d'animation d'un niveau proche de rien, d'images d'archives et de la reconstitution évidemment caricaturale du procès fait à l'éditeur de Ginsberg après la publication d'Howl. Jon Hamm joue le flamboyant avocat défenseur de la liberté, of course, Jame Franco joue le poète maudit, of course. Ce qu'on apprend tient en deux phrases et en terme esthétiques ou de mise en scène c'est une sorte d'exercice scolaire.
    Requiemovies
    Requiemovies

    191 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2012
    Rob Epstein et Jeffrey Friedman, connu pour leurs documentaires engagés, Paragraphe 175 et Celluloid Closet ont porté Howl à bout de bras dès sa genèse. Le fait d’avoir plusieurs casquettes sur ce projet personnel explique peut-être que dans sa forme le film ne séduit pas vraiment, voir même échoue dans sa moindre tentative narrative.
    Par des choix hasardeux et complexes de mise en scène, Epstein et Friedman laissent le goût amer d’un film maladroit dans sa forme. Les réalisateurs prennent le parti pris d’une réalisation décousue avec de multiples flashbacks, illustrations animées par une voix-off, ellipses d’une maladresse appuyée. Comme si l’ensemble n’apparaissait pas assez chargé, ils gardent, comme empreints de leurs anciens travaux, des tics de mise en scène du documentaire. Nous aurons ainsi droit à de nombreuses images d’archives parsemées ça et là comme une obligation de forme, alors que rien ne prête à l’instant même que celles-ci soient dévoilées. On retiendra qu’à ces moments précis, seul l’éveil des consciences intéresse les réalisateurs.
    Cette conjugaison de formes et de faits apporte une irrégularité de rythme pesante et décousue. On se perd dans ce « mitraillage » d’images alors qu’on recherche désespérément une continuité dramatique au mieux, voir un simple chemin narratif au pire. En outre, par un choix probablement assumé, de tourner en longue focale, Epstein et Friedman soulignent de manière encore plus anxiogène le malaise visuel qu’apporte leur film.
    Alors tout n’est pas mauvais, les séquences animées par le talentueux Erik Drooker, bien qu’inutiles, fondent un onirisme urbain. Comme une échappée, ces petits moments, bien que « noirs », résonnent comme des respirations. Là est bien le mal de ce métrage, où chacune des séquences isolées est intéressante mais non la continuité même du film. La mise en scène souffre à trop d’égards de nombreux allers et retours dans la vie de Ginsberg. Séquences d’interviews, de plaidoiries, de fictions ; s’ajoute à cela une voix-off omniprésente, pas forcément désagréable mais paralysée par un contenu très (trop ?) lyrique. Nous sortons ainsi souvent de la partie fiction ; à chaque fois que la performance des comédiens nous interpelle, la mise en scène, par un rythme haché, nous coupe dans l’élan immersif que le film se devait d’amener.
    Triste constat sur un tel projet qui pouvait être prometteur.
    En contrepoids de la mise en scène intervient la réussite du casting. James Franco. Imprégné par son rôle (son goût pour la littérature n’est pas un hasard de casting), mimétisme présent, Franco donne une interprétation fidèle et habitée d’ Allen Ginsberg. Sa prestation arrive à nous séduire, nous amener à comprendre ce que Ginsberg voulait défendre à l’époque. On n’attendait cependant un peu plus d’un Jack Kerouac, interprété par le discret Todd Rotondi, rôle qui demandait un charisme tout autre pour jouer un des auteurs majeurs du XXème siècle. Certes sa présence à l’écran est réduite mais une frustration est présente.
    Les savoureux « duels » entre Jon Hamm et le sous-estimé David Strathairn restent un des points précieux du film, sans rendre transcendant les séquences dans lesquelles ils apparaissent puisque ces dernières, comme le reste, semblent être parsemées, ça et là, de manière décousue comme on le précisait sur l’ensemble de la mise en scène. Hormis l’interprétation, il n’y a rien de vraiment fulgurant à sauver sur le plan technique de Howl hormis une composition sonore, du délicieux Carter Burwell et divers artistes venant envelopper l’ensemble d’un élégant fond sonore et en parfaite résonance des années 50.
    Par une réalisation éclectique et décousue, Rob Epstein et Jeffrey Friedman passent à côté de leur projet, oubliant de procurer une continuité à leur mise en scène. Toutes émotions se retrouvent alors fréquemment sabordées, laissant le spectateur en total désintérêt de l’œuvre. Reste alors la présence de James Franco qui, en tête d’un casting intéressant, sort son épingle du « jeu » et apporte sur la dernière ligne droite un intérêt mesuré au film.
    http://requiemovies.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 février 2012
    Gros casting, avec Jon Hamm de Mad Men et James Franco est impressionnant dans le role d´un des plus grands intellectuels américains, je trouve vraiment superbe et tres original les séries d´animations qui illustrent les poemes d´Allen Ginsberg.
    FAUX
    FAUX

    8 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2011
    Trop ricain pour être honnête :) Mais assez correct pour un biopic... même si l'animation fige l'imagination 56%
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 février 2012
    Ce film est une perle, une oeuvre d'art a lui tout seul, un objet cinématographique conceptuel dont le résultat est absolument bouleversant. Comme une chanson qui reste en tête et un tableau devant les yeux, j'ai rarement été autant transcendée par un film. Franchement ce n'est pas simplement un biopic, c'est une tentative - absolument réussie selon moi - non pas seulement de présenter l'oeuvre d'Allen Ginsberg, mais de l'expérimenter voire de l'approfondir. Cependant je comprend parfaitement les critiques négatives car il faut vraiment aimer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mars 2011
    Un très Bon Biobic , Je ne connaissez pas ce Poète en faite j'ai surtout regarder le Film Pour Franco , il m'étonne une fois de plus , il est vraiment Formidable :)
    QBN
    QBN

    25 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 février 2013
    Putain mais c'est quoi ces animations 3D?? Même Hé Arnold c'est plus beau.
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