Avis sur Nowhere Boy

Biobic intéressante sur le vie de John Lennon. Aaron Taylor-Johnson, est touchant et bien vu dans le rôle d’un des créateurs les plus importants de l’histoire de la musique. On comprendra le pourquoi de son caractère torturé, toujours en quête de lui-même ou du sens de la vie. On comprendra aussi enfin la dualité John Lennon-Paul Mac Cartney, monstres créatifs si complémentaires, et que pourtant tout sépare déjà, excepté un drame similaire. Finalement, dans cette réussite, on regrettera seulement que le film se termine bien vite (juste avant le départ pour Hambourg des jeunes Beatles, point de départ mouvementé de leur carrière) 14/20

Inabouti. Le début du film est très prometteur, le portrait de John Lennon , un adolescent rebelle et qui a énormément confiance en lui, bon commencement. Mais le film se consacre entièrement sur son enfance difficile et non à son talent exceptionnel. Le nom Beatles n'est pas prononcé une seule dans le film. L'enfer qu'a vécu Lennon entre l'amour de sa mère et de sa tante est , certes important à mentionner mais ne pas oublier de parler le succès qu'a eu le groupe par la suite. Est ce l'enfance de John Lennon ou bien de n'importe jeune qui a connu une enfance difficile, impossible savoir.

Tout simplement excellent, très bonne mise en scène, de très beaux plans. Johnson confirme son talent en interprétant ici l'icône de plusieurs générations. Magique.

Très bon film. L'enfance de Lennon est bien racontée. On ne peut qu'applaudir Aaron Johnson our sa performance, ainsi que celle de l'excellent Kristin Scott Thomas. Excellent.

Un peu dessus par ce film, on veut veux plus et c'est juste l'histoire d'un ado en colère

Sam Taylor-Wood nous éclaire sur la jeunesse de John Lenon. Son film reste sur sa jeunesse et ses rapports avec sa mère et sa mère adoptive, pas grand chose sur sa musique. L'ensemble est décevant.

Un très beau film vaec un jeune acteurs qui mérite une nomination aux Oscars .

Voilà un biopic assez agréable sans flonflon et violon sirupeux. Une tranche de vie de John Lennon qui m’était inconnue. J’aime assez les biopic s’ils sont honnêtes et dispensés de romances ou de rajouts inutiles. Peu m’importe le traitement, le biopic est là pour m’apprendre un pan de la vie d’un personnage. Après j’accroche ou n’accroche pas. Ce n’est pas la faute au personnage, c’est la faute au réalisateur. Ici, la réalisatrice s’est attachée à nous conter l’adolescence difficile et perturbée de John Lennon. Tiraillé entre sa tante sèche et sévère et aux sentiments d’une pudeur « ridicule » qui l’a élevé et sa mère, légère, insouciante et immature. À cela s’ajoutent : un mauvais élève et un voyou !
Pas une fois le mot Beatles n’est prononcé et pour cause, John Lennon et ses compères n’en étaient qu’à leur début et n’étaient pas encore fixés. C’est en cela où le traitement est original.
La réalisatrice aurait pu commencer à Hambourg, non, elle a préféré l’avant Beatles.
Voilà une copie propre et sans artifice et sans l’obsession de caster un acteur ressemblant.

Un bon film sur l'enfance de John lennon, qui nous fait en decouvrir un peu plus. Aaron Johnson, revelation de l annee 2010 avec ce film et Kick-ass est tres bon. Une belle BO et un bon film

Un biopic sur la jeunesse de John Lennon très réaliste et très fidèle. On voit très bien au fur et à mesure du film l'évolution du personnage de John Lennon et ce qui l'a poussé vers la musique. Mais ce qu'il manque peut être au film, c'est justement de la musique. On en entend peu dans le film. De même, la relation qu'il avait avec les futurs Beatles, Paul McCartney et George Harrison, n'est pas très poussée. Un peu cours au final pour un biopic. Sa jeunesse aurait pu être développé, plus ce côté musical. C'est bien en tout cas de s'arrêter au moment du début des Beatles avec la tournée à Hambourg. Il y aurait une suite intéressante à faire avec la même équipe et les mêmes acteurs. Parce qu'à ce niveau, rien à dire. Le casting est parfait et le film est très bien mis en scène. On passe un très bon moment devant Nowhere Boy.

Magnifique... ...vraiment merci...
Le jeune ira loin !

(N)ulle part, se perdre, se retrouver (O)u la jeunesse de John Lennon. (W)hisky, femme, musicien débutant, révolté, irrévérencieux. (H)éliographe, se guider, suivre son chemin (E)t y croire, aimer même dans la douleur. (R)ock, quoi d'autre? Soulèvement spirituel, spiritueux, gueule d'ange (E)t, et quoi ? Rien...... Film parfait.

Superbe film, intéressant et bien réalisé à tout point de vue. Acteurs justes et attachants. Très bonne reconstitution de l'époque de la fin des fifties. Que puis-je dire de plus, rien. Si, que c'est un chef-d'oeuvre qui évidemment n'intéressera que ceux qui se sentent concernés par la vie de John Lennon, les autres n'aimeront peut-être pas (c'est normal)...

Vu en VO. Ce biopic sur John Lennon adolescent est excellent en tout point! Cette adolescence, a été pour lui très instable, entre la tiraille de deux femmes, sa mère biologique, interprétée par Anne-Marie Duff qui l'a abandonné, lorsqu'il avait à peine 5 ans et sa tante ( Kristin Scott Thomas) qui s'en est occupée entre temps. Cette dernière interprète avec grandeur cette femme au traits de caractères strictes. John Lennon (Aaron Johnson) chercha à s'identifier et s'affirmer comme tout adolescent qui se respecte, en passant par la Règle Fondamentale des années 50: sex, drugs and rock n' roll ! La prestation de Aaron Johnson m'a bluffé! Quel talent dans ses expressions, ses sauts d'humeurs, ses angoisses et ses envies d'aventure et de nouvelles sensations. Son « habitus » en fait de lui un personnage remarquable et plein de caractères. Le réalisateur Sam Taylor-Wood, n'a pas fait les choses à moitiés, en reconstituant à égale distance et minutie, la ville de Liverpool, durant les années 50: bus verts, pub, musiques (Elvis, ...) ,...
Bref je retiendrai dans ce chef d'oeuvre, une adolescence mouvementée et un succès bien mérité pour ce GRAND John Lennon.

Un magnifique film retraçant l'après-adolescence de John Lennon. Le film est très émouvant et brille de ses très bons acteurs et de sa BO. On regrettera peut-être juste qu'il n'y ai pas un aussi bon et complet retracement musical.