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    Ma vie avec Liberace
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    J'avoue : je l'ai vu parce que j'avais déjà vu tout le reste. C'est pour vous dire si je n'en avais pas envie DU TOUT. Pourtant, j'ai presque été agréablement surpris. C'est bien joué, bien filmé, ça s'enchaîne bien. On voit venir la fin à 10km mais ce n'est pas gênant. Mais malheureusement, ce n'était pas un film pour moi et le sujet n'a pas réussi à m'emballer plus que ça...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 septembre 2013
    Quel film !!! avec une interprétation extraordinaire de Michael Douglas et de Matt Damon. Steven Soderbergh a eu du mal à trouver un financement pour ce film "trop gay", il a bien fait de persévérer, et sa revanche à Cannes a été une belle victoire. Il nous offre un film magnifique sur une icône d'Hollywood le pianiste Liberace. Les costumes, les décors, le maquillages, la mise en scène magique de Steven Soderbergh sont sublimés par le jeu fabuleux de ces deux grands acteurs. Après Contagion, Magic Mike, et Effets secondaires, plonger dans ce monde du "gay" paillettes de la fin des années 70 au début des années 80, et cette fabuleuse histoire d'amour entre Scott et Liberace, poussée à l'extrême par celui-ci.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Dernier film de Soderbergh, Ma vie avec Liberace est une réussite car ce biopic sur la vie du célèbre pianiste est un film formidable tenant autant de la comédie outrancière que du mélodrame flamboyant. Si les personnages sont aussi caricaturaux que ceux de la cage aux folles, ils gagnent au profondeur au fur et à mesure que le film avance car ce que raconte Soderbergh c'est avant tout une histoire d'amour impossible dans une ambiance kitsch et clinquante auquel le cinéaste donne ses lettres de noblesse. Si tout est "trop" le film est un formidable écrin pour ses deux acteurs Michael Douglas, formidable, pathétique et terriblement humain et Matt Damon d'une incroyable justesse. Un film fort, souvent drôle et critique mais aussi souvent très émouvant. Du cinéma d'auteur populaire comme on en voit que peu souvent. Un excellent de la part d'un metteur en scène inégale mais néanmoins talentueux.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    85 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Ce que le film met surtout en relief, c’est la manipulation et la domination sociale de Liberace, mégalomane et égocentriste, pour attirer et prendre dans ses rets le jeune homme innocent, encore naïf, élevé par une famille d’accueil, avec un énorme besoin d’affection et de protection. Couvert de cadeaux (vêtements, bijoux et voitures de sport), Scott devient petit à petit la chose de Liberace, c’est-à-dire que ce dernier entreprend de le façonner à son image, lui imposant une chirurgie esthétique pour qu’il lui ressemble le plus possible à son âge. Dominé par l’artiste, rajeunissant grâce, lui aussi, à quelques coups de bistouri, Scott maigrit, se drogue et dépérit à vue d’œil, en perdant sa personnalité, aussi fade pouvait-elle sembler.
    Ployant sous l’excès et le kitsch des paillettes, des dorures et des costumes de scène – on demeure perplexes que le public ait pu ou voulu gober que Liberace était attiré par l’autre sexe – le film abandonne peu à peu la dimension spectaculaire – on voit de fait assez peu la vedette en représentation et en show – pour devenir un mélo cruel, puis déchirant. À l’amour sincère du jeune Scott s’oppose le goût du pouvoir et de la conquête de l’homme riche et célèbre (inclinaison obsessionnelle pour la chair fraiche et le sexe, aussi) qui sait se montrer généreux et terriblement séduisant.
    Ma vie avec Liberace rappelle aussi une période guère lointaine d’homophobie (mais est-elle vraiment éteinte ?), ou, tout au moins, de non-acceptation de la différence (qu’elle soit d’ailleurs sexuelle, ethnique ou religieuse) qui oblige les gays, y compris un des plus connus et idolâtrés d’entre eux, à vivre cachés et terrorisés par la crainte d’être découverts. C’est aussi un film sur le passage du temps, la dureté à vieillir, à ne plus être aimé que pour l’argent qui offre à peu près tout, mais qui, en la circonstance, pourrit la pureté et la véracité des sentiments.
    Brillamment mis en scène, avec une précision des détails qui confère à l’ensemble une justesse étonnante, le film doit aussi beaucoup à ses deux comédiens qui livrent une prestation exceptionnelle. Michael Douglas joue la folle tordue sans tomber dans l’outrance et il faut notamment saluer son travail vocal. En face, Matt Damon déploie une partition plus étendue, passant de la fascination à l’amertume et à l’aigreur, souffrant les mille maux de l’abandon et du rejet, brûlé vif à force d’avoir été un jouet modelable et influençable. Au final, ils ne sont que les tristes victimes d’une société qui les ostracise et les condamne. Les candélabres finissent par ne plus éclairer qu’un théâtre des ombres et des fantômes. Déchirant.
    halou
    halou

    108 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Soderbergh s'attaque à une période de la vie d'un excentrique et impitoyable tyran joué à merveille par Douglas. Sa relation avec Damon démontre bien le caractère trituré du personnage et la position de domination qui en découle le tout baigné dans un univers extrêmement kitch parfaitement mis en scène.
    ninilechat
    ninilechat

    69 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Quand Matt Damon fait la Folle, le public en redemande. Et je me demande si, plus encore que Michael Douglas, ce n'est pas lui, en assurant ce contre-emploi total, qui est le plus époustouflant du film de Steven Soderbergh.

    Scott est un jeune bouseux homo (mais pas que); il s'occupe du dressage des chiens utilisés dans les films de Hollywood. Il a été élevé par une famille d'accueil, sa mère en étant incapable, un couple Joe et Rose, aimant et compréhensif. Et quand Scott rencontre Liberace, cette immense vedette -officiellement, l'éternel fiancé de Sonia Henje.... il se trouve plongé dans un monde qu'il ne pouvait même pas imaginer. Notre Cloclo, ses jabots et ses smokings pailletés, c'est petit bras à côté des costumes de scène du brillantissime pianiste. La maison à Las Vegas, grande comme un château, ruisselle du luxe du mauvais goût le plus sûr. Même dans l'intimité, entouré de ses quatre chiens-chiens blancs qui chient partout, ses tenues regorgent de dorures et chacun de ses doigts porte une énorme bague. Scott est embauché comme secrétaire, dans la foulée amant, puis chouchou couvert de cadeaux et de bijoux, décoloré, relooké, transformé par le chirurgien esthétique qui assure à Liberace ses liftings réguliers (il ne peut plus fermer les yeux pour dormir...), gavé de pilules pour maigrir (d'où il va passer à la vraie drogue), le favori n'a plus de vie à lui. Il accompagne l'idole qui arrive sur scène dans une limo dont Scott est le chauffeur en uniforme strass et paillettes....

    Le couple a des divergences: Liberace est catholique fervent (mais sans états d'âme: il a vu la sainte Vierge à son chevet au cours d'une grave maladie); Scott a des pudeurs de rosière, il ne veut pas être la fille et les films pornos le font vomir. Mais il s'aiment. Liberace veut l'adopter, le mettre sur son testament, Scott croit à tout. Bien qu'il se sente enfermé, il est amoureux -et jaloux. Le jour où l'impressario (Dan Ackroyd) qui gère aussi le ballet des favoris, lui signifie sa disgrâce, il le prend très mal et ça se finira par un procès, pour récupérer quelques sous de l'héritage envolé.

    C'est un peu long, et Soderberg s'est fait plaisir à filmer tous ces excès, toutes ces toilettes, ces fourrures, ces concerts devant un public en délire.... au détriment de l'histoire plus sombre, plus triste (car après tout, c'était la période où tous les gays à Hollywood était décimés par un sida plus ou moins dissimulé, et Liberace n'y a pas échappé). Sous l'histrion, il y avait peut être un être humain avec des problèmes, mais ça, ça n'intéresse pas le réalisateur, pourtant, avec ces deux acteurs là, on aurait sûrement pu faire plus.... qu'un spectacle des Folies Bergères. Plaisant, mais vite vu, vite oublié.
    Velma21
    Velma21

    25 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Quasi inconnu en France, le pianiste de music-hall Liberace a eu une vie comme les Américains les aiment : pleine de rebondissements. Ce virtuose à la personnalité hors normes a logiquement droit à son biopic. Toutefois, Steven Soderbergh (Effets secondaires) ne s’intéresse qu’à une petite partie de la vie de l’artiste, celle qu’il a passée avec le jeune Scott Thorson.

    C’est d’ailleurs l’un des points forts de ce long métrage, de nous raconter la vie de Liberace à travers les yeux de Scott. Le spectateur est en empathie immédiate avec ce personnage. Matt Damon (Elysium, Promised Land) étonne dans un rôle à des années-lumière de son registre habituel et surtout tient le choc face à un Michael Douglas en état de grâce. Ce dernier, iconoclaste, exubérant, scintillant dans tous les sens du terme, compose un Liberace aussi fascinant qu’exaspérant. Une figure de cinéma.

    Après l’émerveillement et l’amour fusionnel, viennent le temps des doutes, des disputes et de la rupture. Si Soderbergh est à son aise dans la retranscription de cette relation fusionnelle, on aurait préféré une manière moins linéaire de raconter ces événements. Il se contente de passer d’une époque à l’autre, ponctuant chaque séquence de strass, de paillettes, de crises existentielles ou de chirurgie esthétique. Un montage décalé aurait, sans doute, insufflé plus de rythme.

    L’amour, plus que l’homosexualité, est au coeur de Ma vie avec Liberace. Le décorum n’est qu’un prétexte pour évoquer ces relations à deux vitesses. D’un côté, celui qui abandonne tout et, de l’autre, celui qui prend tout. Au final, il en ressort quelque chose de profondément triste sur les passions amoureuses. Même quand on sait qu’elles sont vouées à l’échec, elles n’en restent pas moins indispensables à vivre.
    traversay1
    traversay1

    3 206 abonnés 4 661 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2013
    "Liberace n'est pas Rubinstein. Oui, mais Rubinstein n'est pas Liberace." Les américains n'ont pas voulu du dernier Soderbergh (vraiment dernier ?) dans leurs salles et celui-ci n'a eu droit qu'à une diffusion sur HBO. Trop gay, trop sulfureux ! On croit rêver. Chez nous, Ma vie avec Liberace sort sur les grands écrans et c'est tant mieux, parce qu'il le vaut bien. C'est une histoire d'amour un peu folle (pas de jeux de mots svp) entre un artiste exubérant, excentrique, exhibitionniste et exceptionnel ... et un jeune homme subjugué par le charme de ce personnage au narcissisme aussi grand qu'un palace de Vegas. Soderbergh est à son affaire, la mise en scène est brillante, les dialogues sont étincelants, toujours à la limite du syndrome "Cage aux folles", avec l'humour et la tendresse qu'il faut pour se délecter du kitsch des décors et des costumes. N'empêche qu'il s'agit d'une liaison sous le manteau (de vison ?) dans l'hypocrisie générale de la société américaine de la fin des années 70. Il y a autant matière à s'amuser qu'à réfléchir dans cet opus maîtrisé de bout en bout. Matt Damon ? Il est formidable ! Michael Douglas ? Il n'y a pas de mots pour saluer sa performance hallucinante où le cabotinage devient pur génie. Impossible de croire qu'il s'agit de l'ultime film de Soderbergh, le cinéma américain a trop besoin de lui, même s'il lui arrive d'être fort inégal.
    cinono1
    cinono1

    269 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    Belle histoire d'amour, ou l'on s'amuse, ou l'on se dispute, ou les années passent, doublé d'une radiographie d'un lieu et d'une époque que Steven Soderberg aime à filmer (la fin des seventies et le début des eigthies). Le quart d'heure final est très réussi. Les travers du milieu sont montrés autant qu'on montre des personnages pleins de tendresse, d'exhubérances, de narcissismes. On a dit beaucoup de bien des performances de Michael Douglas et Matt Damon mais toutes les éloges sont encore loin de la réalité. Un nouveau et, j'espère pas, dernier travail d'orfèvre de Soderbergh.
    ISAO12
    ISAO12

    40 abonnés 1 037 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Un grand moment de cinéma avec deux acteurs prodigieux et de bons effets spéciaux .
    Ciemonde
    Ciemonde

    68 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    A en croire les dires du réalisateur, Ma vie avec Liberace serait son ultime réalisation cinématographique. Je ne me risquerais pas à verser une larme car bon nombres des œuvres de ce dernier m'ont laissée indifférente. Cependant, quelques perles savaient briller aux instants où on ne les attendaient plus. En voici une qui en fait suprêmement partie.
    Si le dernier Soderbergh ne brille pas par son absence de sujet concret et un manque d'aboutissement sur le plan humain, il aborde d'autres points par un chemin différent. Sous les monceaux de dorures et les kitcheries de monsieur Liberace se terre un monde rude et dépravé. Ce que semble nous déclamer l'oeuvrier est que si l'on y est pas né, si notre condition n'est pas d'en faire partie, on ne peut pas y survire et on se fait éjecter. C'est l'emprise du luxe, de l’excès, de la célébrité et du paraître qui ira jusqu'à pourrir un sentiment tel que l'amour. Et ce aussi fort soit-il. Tour à tour ami, amant, père/fils, les relation du virtuose pianiste et de son protégé sont d'une complexité très intrigante qui sera pourtant évacuée par les tords et penchants de chacun au sein de cet univers mal famé.
    Cependant les limbes du monde sentimental des deux protagonistes resterons trop académiques ou même bien trop survolées au profit d'un désir de tout montrer. Vouloir trop en faire c'est aussi bâcler. La recherche technique (presque trop mécanique ici) du réalisateur bloque l'émotion. La volonté d'épouser le thème du sujet n'est pas un tord, encore faudrait-il que ce ne soit pas raté. Dommage. Mais cette chronique aux allures de fadeur bling-bling illustre tout de même avec brio. Michael Douglas est d'une brillance que je ne lui connaissais plus. Quel gâchis malheureusement que de regarder Matt Damon refaire, durant la première moitié du film, sa moue qui comble le gouffre d'un faciès insipide. Le bonhomme se décoincera vers la fin, mais il reste étrange qu'avec autant d'ingrédients, l'ami ne l'ai pas fait avant.
    Je ne connaissais qu'un Soderbergh qui filmait comme une machine, si ce dernier n'a pas lâché tous ses vieux tics, la richesse et la diversité pointent bien plus souvent le bout de leur nez.
    Bien joué.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Accords parfaits entre un Damon dément et un Douglas pas dégueulasse. Ce dernier maîtrise son jeu et sa voix à la perfection pour camper ce pianiste de renom à l’ego surdimensionné. Brillant autant que son accoutrement si bien qu'on est en clin à détester ce qu'il devient à l'écran. L'incarnation même de la vanité. Pauvre Scott si naïf. Le trop plein d'amour qu'il vante à Liberace n'est surtout vrai que dans l'autre sens. Le jeune homme plaquera tout sans hésitation pour venir répondre aux demandes indécentes du pianiste. Sans jamais être sûr qu'il ne soit pas qu'un amant de passage.
    Aucune fausse note pour la mise en scène. Le décor et les costumes sont kitsch au possible mais avec un certain esthétisme. La musique un poil trop discrète rythme bien le film, certains morceaux mériteraient de durer plus longtemps.
    Mineur l'attachement aux personnages, majeur la dérision et la légèreté amenées au discours.
    vincenzobino
    vincenzobino

    97 abonnés 390 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2013
    A part l'annonce a Cannes du dernier film de Soderbergh, je n'ai absolument rien regardé sur l'œuvre, et le nom de Liberace m'est resté totalement inconnu jusqu'à l'entrée en salle. J'espérais avoir un film sur l'artiste, nous avons surtout affaire a un film sur l'homme, véritable "diva" représentant presque ce côté méprisant des stars, qui, dans ce cas, enchaînent caprices sur caprices. Le scénario de LaGravenese épingle cette catégorie d'individu de façon virtuose et Michael Douglas le magnifie sortant LA performance de cette fin d'année; Matt Damon est également brillant. J'ignore s'il s'agit réellement du dernier film du réalisateur, mais si oui, sa dernière scène serait digne d'une sortie d'artiste en apothéose. A recommander en mentionnant certaines scènes visuellement difficiles peut-être pour certains...
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    98 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2013
    C'est pour moi l'un des meilleurs de Soderbergh. Si le début pouvait laisser craindre une sorte de "Cage aux folles" en plus tordu, plus le film avance et plus il gagne en noirceur, les personnages se révèlent et leurs failles s'agrandissent, les blessures narcissiques ne se referment plus, et l'amour n'est jamais loin de la haine et de la folie. Les acteurs n'ont pas peur de s'investir dans leurs personnages, et au-delà du ridicule ils parviennent à toucher leurs contradictions et à les faire vivre de manière intense. Les seconds rôles sont réjouissants aussi, comme Robe Lowe (pathétiquement drôle en chirurgien esthétique ayant abusé du botox) ou Dan Aykroyd. Le scénario questionne la célébrité, la solitude, l'apparence, le besoin d'aimer et d'être aimé, l'égocentrisme et les dérives du show-biz. La mise en scène parait un peu trop sage parfois, comme si Soderbergh avait eu peur d'en rajouter dans cet univers déjà bien chargé, mais le film est brillant.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    45 abonnés 511 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Tout d'abord, une interprétation exceptionnelle. Mickael Douglas et Matt Damon sont très crédibles et nous entraînent dans cette histoire d'amour à part. Une réalisation classique au service d'un homme à la vie brillante mais finalement vide et triste. Et cette tristesse est particulièrement présente durant le film. Jeunesse se passe et la faucheuse se rapproche quel que soit le lifting proposé.
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