Avis : Heat - Page 3

un chef d'œuvre , je m'attarderai pas sur la réalisation , musique , scénario etc tout a déjà été dit : c'est excellent michael man a fait très fort, mais surtout dans la personnalité des personnages. Al Pacino est extraordinaire De Niro excellent , neil n'a peur de rien jusqu'à que hanna lui mette la pression , car les 2 sont des genies dans leur domaines respectifs , hanna a fait tomber des pointures c'est le meilleur des flics et neil réussit avec grand brio les braquages et autres coup. De Niro le dit que dans son reve lors de la légendaire scéne du café qu'il lui manque du temps et c'est le cas , du temps pour un dernier coup, pour partir avec celle qu'il aime et du temps pour aller buter cet enfoire de waingro , quand a Al Pacino il vit pour la justice pour pas qu'un criminel continue ses massacres (cf la scene avec la mere black de la jeune prostituée) mais ils ne peuvent s'empecher de s'admiraient de se respectaient mutuellement jusqu'à la scéne finale ou de niro comprend que son reve est sur le point de se briser quand il apperçoit al Pacino, il applique donc son principe de tout quitter en 30 seconde si ya les flics au coin de la rue , c'est un face a face memorable jusqu'à cette ultime scéne qui est un morceau d'anthologie ou de niro serre la main Pacino pour le feliciter d'avoir reussi a l'avoir et lui temoigner son respect et vice versa, un film indetronable

Heat est vraiment une excellent enquête policier dirigé de main de maitre par le talentueux et l'expert en triller Michael Mann qui fait encore des merveille. Un réalisation très soigné et une mise en scène redoutablement efficace. L'intrigue est très captivant, très bien mené et surtout très prenante, on ne décroche pas un seul seconde. Un scenario remplit de scène culte et de anthologie. ( spoiler: la fusillade du hold-up qui et juste énorme et une de mes scènes préféré
). Le final est magistrale, avec une véritable tension entre les deux personnages. D'ailleurs un face a face digne de se nom: Al Pacino et Robert De Niro qui sont juste énorme et exceptionnelle: Al Pacino est vraiment excellent et Robert De Niro est très charismatique et Val Kilmer aussi qui est très convaincant. Et aussi les musique qui colle parfaitement a l'ambiance du film. Voila ce film est une réussit. A voir absolument. Un chef oeuvre devenu culte.

Le meilleur film de braquage tout simplement ! Magistral !

Heat ou l'un de mes films préférés, grand coup de cœur quand je l'ai vu pour la première fois, je continue a le vénérer comme l'un des meilleurs film d'actions/thriller. Il faut dire que le réalisateur Michael Mann n'est pas n'importe qui, il a réalisé "Le dernier des Mohicans" puis après Heat, "Révélations","Collatéral" et "Publics ennemis". Heat propose une intrigue très solide où Al Pacino et Robert de Niro joueront au chat et à la souris. Un début avec une scène de braquage courte mais démente et un final grandiose. Il est inutile de raconter l'histoire du film, voyez le film plutôt. Malgré sa durée assez longue, on ne voit pas le temps passer, le rythme est très bon, alternant séquences nerveuses et temps morts avec une esthétique à tomber. En effet comme tout bon film de Michael Mann, on retrouve sa fascination pour les scènes de nuit, toujours très bien filmés et qui sont là pour un partit prix artistique qui fonctionne à merveille (je pense notamment à la scène où l'on voit Los Angeles de nuit au sommet d'une villa). Mais le film n'est pas que ça, c'est aussi un film de braquage. C'est peut être dans ce film qu'il y a les meilleures scènes de braquage. Les scènes d'actions sont excellentes et dingues malgré le fait qu'elles soient peu nombreuses. Michael Mann a préféré accentué le réalisme de ces scènes plutôt que des gunfights classiques. Le film mérite au minimum le visionnage d'une seule scène, celle de la fusillade. Jamais je n'oublierai ce bruit qui se dégage des fusils d'assauts à travers cette scène, les vitres des voitures qui explosent et cette violence, cela en devient excitant. Tout cela accompagné par une très bonne bande son comme le réalisateur sait bien les choisir. Mais il serait criminel de ne pas parler des personnages du film et des acteurs qui les incarnent. Al Pacino incarne un flic obsédé par son métier, qui cherche à tout prix à coincer Robert de Niro et sa bande, ce dernier incarne également à la perfection un braqueur professionnel. Val Kilmer qui tient son meilleur de rôle de sa carrière avant de devenir gros et moche, n'est sûrement pas à oublier. Les seconds rôles tout aussi excellents. Le film prend le temps de développer ces personnages, qui ont chacun une vie personnelle en dehors de leurs travails. Leurs problèmes sont montrés de manière subtile et on prend un grand plaisir à les regarder. Mansion spéciale aux pétages de cables d'Al Pacino en présence spoiler: de l'amant de sa femme
. Le film possède une autre scène culte à part celle de la fusillade, c'est le face à face dans un bard entre Al Pacino et Robert de Niro. Même si ces deux personnages sont ennemis dans le film, ils se respectent énormément. Deux légendes du cinéma, deux italiens face à face... Faut le faire. Un film qui n'a pas vieilli et qui mérite largement plusieurs visionnages pour être apprécié à 100%. Bref Chef d'oeuvre.

Un film d'anthologie frisant la perfection sur presque tous les plans. Entre implosion et explosion, Michael Mann réalise un parfait numéro d'équilibriste, toujours à la limite, sur le fil, par ses personnages brûlants, vrais, et judicieusement travaillés. Vif, authentique, et puissant.

Un très bon film de gangsters, bien réalisé, bien monté, nerveux et passionnant. De Niro fait du de Niro, Al Pacino cabotine un peu trop. On regrettera le dernier plan qui se voudrait émouvant mais qui ne parvient qu'à être débile.

Un excellent film policier, avec une réalisation et un scénario
millimétrés, Michael Mann fait preuve de ce sens du détail qui le caractérise tant
dans bon nombre de ses films. Et que dire de plus sur ce duel au sommet entre
ces deux monstres sacrés du cinéma que sont Pacino et De Niro ? Ces
derniers, après s’être passés à côté pendant des décennies, ont fini enfin par
se rencontrer, livrant une fois de plus une prestation des plus crédibles.
Voyez l’élégance et le naturel de Pacino, arrivant sur la scène du crime au
début du film, à croire que l’acteur a été flic toute sa vie. Et De Niro,
parfait en braqueur professionnel, d’une rigueur implacable, le genre à avoir
investi toute son intelligence dans des entreprises criminelles. La réalisation
est plutôt sobre, et même assez classique, sans que cela soit déplaisant, car l’histoire
est très captivante et bien rythmée. Dans les moments de vérité on sent le
récit se nouer, s’accélérer tout d’un coup. Puis cette tension ( c’est ce que
le mot « heat » semble suggérer) se dénoue tout d’un coup, dans des
scènes de fusillades qui poignardent le spectateur par leur réalisme. Il y a
même une dimension un peu morale dans ce film dans le sens de l’art de faire le
bon choix, en faisant en sorte que ce choix ne soit pas celui de trop. Bref, on
ne se lasse pas de revoir ce film, ces scènes mythiques, ce jeu du chat et de
la souris entre deux accrocs au travail, chacun dans leur spécialité si j’ose
dire.

Vous pouvez lire des critiques (accompagnée d'illustrations) ainsi que des extraits de films, classements et divers articles sur le cinéma sur mon blog :

Heat est un grand polar aussi épique et plein de souffle qu'un peplum. Un duel au sommet entre 2 monstres sacrés du grand écran que sont Al Pacino et Robert De Niro, les 2 parrains du Parrain 2. Michael Mann dirige prodigieusement cette grand fresque policière, n'hésitant pas à rendre ses personnages complexes, torturés, tués parfois. On retiendra notamment la scène fabuleuse de la fusillade, un des plus grands moments d'action du cinéma.

On ne refait plus la légende Heat, le premier film qui mettait face-à-face Robert de Niro et Al Pacino. Michael Mann avait ce projet dans sa tête depuis longtemps et qui en avait même fait une version d’essai, L.A. Takedown.

On ne va pas se le cacher longtemps, Heat est un modèle pour tout thriller, un film fleuve qui reste dans les annales du cinéma de manière tout à fait méritée. Construit en trois actes vraiment distincts et pourtant tout aussi passionnants les uns que les autres, Heat témoigne d’une maturité scénaristique pas tellement étonnante de la part d’un auteur aussi doué que Michael Mann. Sa mise en scène est époustouflante et prend son réel envol lors de la séquence du braquage et de la fuite, sans doute une des plus belles scènes d’action de l’histoire du cinéma. Mais plus loin que cela, il met en scène des personnages tous très complexes, ayant tous des réactions logiques et inattendues. Ainsi, le bad guy, Van Zant (joué par un magistral William Fichtner) a aussi peur du courroux de Neil McAuley qu’il est fourbe, Charlene Shiherlis doit faire face à un dilemme incroyable et flanche au dernier moment... Seule la storyline de Natalie Portman semble être en trop. Michael Mann est à la tête d’un casting fantastique, qui ne faiblit jamais, Al Pacino & Robert de Niro sont à la hauteur et mêmes les rôles féminins, dans un film éminemment masculin, sont exceptionnels.

Heat est un film d’exception, le point d’orgue dans la carrière d’un réalisateur atypique, génial et passionnant qui y réalise le projet d’une vie, tout en réussissant à imprégner le spectateur de son enthousiasme débordant.

Tout simplement l'oeuvre la plus aboutie et réussie de Michael Mann à mon sens avec son chef-d'oeuvre "The Indisers" (Révélation). Bien qu'il n'atteigne tout de même pas le niveau et la puissance de ce dernier (pas dans la mise en scène évidemment, mais dans son propos scénaristique). Heat est en effet un immense film qui nous offre un duel au sommet entre deux grognards du cinéma américain ainsi qu'une mise en scène puissante qui montrera crescendo au fur et à mesure du déroulement du film avec en point d'orgue l'intense fusillade post braquage dans les rues de la ville, et le fameux duel nerveux et mémorable entre les deux protagonistes en guise dénouement. Il y aussi un troisième moment cléf : c'est le face à face psychologique dans le restaurant : autre grand moment de Heat. Outre ces différentes scènes d'anthologie ce qui frappe dans ce film c'est le soin apporté à l'installation des bases du film, c'est à dire l'atmosphère, ainsi que la présentation et le dévellopement des personnages. En particulier le personnage d'Al Pacino et Robert de Niro évidemment. Mann décide en effet de nous présenter les états-d'âme de Vincent comme étant une entrave, et pire, un danger, pour sa vie de famille, car vouant une admiration malsaine à l'égard de son travail et de ceux qu'il poursuit. Et à travers cette situation MM nous fait s'intérroger sur la barrière et la frontière qui existe entre les deux personnages ; et on pourra effectivement la trouver assez flou et ambigue. Une psychologie assez complexe que le réalisateur met très bien en avant.

Un film monumental, mythique qui se place comme le pilier des thrillers urbains actuels. Heat, c'est d'abord un casting de rêve avec son duo électrique entre Al Pacino, l'inspecteur chargé d'arrêter la vague de casses perpétrés par Robert De Niro et sa bande. Rien que la présence de ces deux là justifie amplement le statut d'oeuvre culte du film. Bien que l'apparition de l'un de ses deux monstres à l'écran provoque immédiatement un sentiment de profond respect du spectateur, le reste du casting n'en pour autant pas éclipsé et la présence de Val Kilmer ou encore Jon Voight apporte un plus indéniable au film. Mais plus qu'un casting, Heat est aussi un film au rythme soutenu. Car la vraie prouesse du film réside dans le rythme infernal que Micheal Mann impose sur près de deux heures cinquante d'intrigue, ne se posant que pour mieux repartir de plus belle. Ces moments de détente lui permettent alors de s'intéresser d'avantage à ses protagonistes et ainsi en montrer une autre facette dans leurs relations aux autres. Si il aura tendance par moment à s'intéresser de trop près à des seconds couteaux mineurs, le film se focalise avant tout sur le face à face entre les mondes de De Niro et Al Pacino qui apparaissent alors proches. Mais même durant ces moments Mann prend soin de laisser flotter dans chaque scène une tension palpable, croissante au fur et à mesure du rapprochement entre la police et les malfrats. Passons sans transition à ce qui me parait la plus grande qualité du film: sa mise en scène. Urbaine, élégante et stylisée, la réalisation de Micheal Mann apporte au film un aspect novateur. Le film jouit de ce fait d'une lisibilité des scènes d'actions qui rendent par exemple les braquages époustouflants et nous scotche à notre siège à plus d'une reprise. C'est une mise en scène dynamique qui rythme le film grâce notamment à l'utilisation abondante de travellings qui suivent les protagonistes avec fluidité et rendent ainsi compte de la tension qui les anime.
Ainsi Heat démontre le talent de Mann, autant dans la maîtrise de son récit que dans l'aspect purement formel du film qui devient un objet aussi spectaculaire que brillant.

Un excellent thriller! Super face à face entre deux légendes!

Un éblouissant face-à-face entre un policier obstiné et un braqueur minutieux. Il y a un revers de la médaille à toute quête de perfection.

En 1995, deux réalisateurs révolutionnaient le film policier. David Fincher avec Seven et Michael Mann avec Heat. Adapté de son téléfilm L.A Takedown, Mann nous propose un face à face entre deux acteurs de légende à la carrière étrangement similaire Al Pacino et Robert De Niro. Le premier est un flic rusé et tenace Vincent Hanna, l'autre un braqueur solitaire ultra-efficace Neil McCauley. L'un, Pacino qui cabotine, essaiera, bien sûr, de coincer l'autre, De Niro tout en sobriété, et ce jeu du chat et de la souris nous tient en haleine durant les 2h40 que dure le film. Le reste du casting ne peut être qu'observateur de cet affrontement, on peut quand même remarquer qu'il y figure Tom Sizemore, Jon Voight, Val Kilmer, Ashley Judd, Natalie Portman, Danny Trejo, ce qui est impressionnant. Quelques scènes sont d'anthologie comme la longue séquence de la fusillade en plein New-York, LA rencontre entre les deux monstres sacrés autour d'une tasse de café où on les voit discuter de leurs vies personnelles et la scène de fin à l'aéroport ou Hanna abat McCauley. La poignée de main qu'ils s'échangeront est symbolique de l'estime et du respect que se vouent les deux personnages mais aussi les deux acteurs. Mann filme New-York, la ville-lumière comme un personnage à part entière et arrive à rendre humain ces truands solitaire mais protecteurs de leur familles ou tombant amoureux. On peut être déçu de ne pas voir De Niro et Pacino dans un même plan mais finalement quand on voit La loi et l'ordre, on se dit que c'est mieux comme ça.

Super film avec un casting excellent, un bon film d'action à voir. On rentre dans la vie de deux personnages différents avec des objectifs différents. De la romance à la rupture, on passe par tout dans ce film. Les acteurs sont tellement crédibles.