Derniers Avis : Centurion - Page 7

Ceci n'est certainement pas un chef d'œuvre, ni un péplum de qualité, mais dans son genre, "Centurion" est un produit plutôt efficace. Résolument tourné vers l'action et le gore (soft), il a valeur de divertissement pur et dur, le genre de film à faire bondir les amateurs d'histoire. Bourrin donc, rempli de scènes de bastons à l'épée plutôt réussies, on sait pourquoi on regarde ce film, et il est difficile d'être déçu.

Pas mal même si rien dans le scénario ne renouvelle vraiment le genre mais dans l'ensemble le film est quand même bien fait et les acteurs sont bons, même si on parfois l'impression que les Romains attendent que les Pictes les rattrapent. Olga Kurylenko (même si elle ne sort pas un mot de tout le film) et Michael Fassbender se partage notre attention car ils sont tout les deux relativement mis aux premiers plan.
un dernier détail ce film est quand même trés sanglant donc ce n'est pas a mettre entre toutes les mains !
A voir une fois par curiosité

Centurion est un bon péplum , du sang de l'aventure et des combats vraiment bien mis en scène . Les acteurs sont bon et l'histoire vraiment bonne , aucune lenteur on ne s'ennuie pas une seul seconde , de plus le film n'est pas trop long ce qui est souvent le cas de ce genre de film ( 1h30 ici ) . Centurion se démarque bien des autres films du genre a voir au moins une fois et a posséder pour les fans du genre .

A partir d'un fait historique, la disparition de la IX ème légion, Neil Marshall nous propose une interprétation réaliste dans son style nerveux.

Un bon film, à voir, qui fera passer un bon moment aux amateurs d'histoire antique. A déconseiller cependant aux âmes sensibles.

Un bon péplum avec le sang bien rouge qui gicle bien fort et au ralenti de surcroît (comme dans les jeux vidéo). Michael Fassbender est convainquant dans le rôle-titre. Rien à voir néanmoins avec les péplums de l'âge d'or hollywoodien, le carton-pâte ayant un charme que n'ont pas les images de synthèse.

Un film intéressant bien en deçà de "L'Aigle de la 9ème légion" et pas au niveau de "The Descent" ou "Doomsday" du même Neil Marshall qui descend ses ambitions de plusieurs crans. On aurait pu s'attendre à un film de guerre type "La Dernière Légion" mais c'est plutôt à un survival auquel nous avons affaire. Après rien d'original ici mais l'ensemble de laisse voir sans déplaisir et sans longueurs. 3/5

Malgré toutes les limites qu'on peut trouver à Centurion, on ne peut que réaliser à quel point le travail accompli méritait d'être un peu mieux visible. Dommage que quelques défauts (enjeu dramatique trop sinueux pour son propre bien, voix-off redondante, dernier tiers épuisant) gâchent son entreprise bisseuse, vouée à son plaisir personnel et à celui, très coupable, des autres. Loin d'être le mini-Gladiator annoncé, le nouveau film de Neil Marshall (The Descent) marche plutôt sur les plates-bandes de 300 une série B ultranerveuse de l'ordre du plus pur plaisir coupable.

Lorsque la médiocrité rencontre un soldat de l'Empire romain on obtient quelque chose qui s'apparente à "Centurion". Film de seconde zone dirigé par Neil Marshall, cette course poursuite à la vie à la mort dévoile une forme rudimentaire pour qui ne plaira qu'aux jeunes avides d'hémoglobine gratuite et sans saveur.
Se reposant sur un récit mauvais dans sa globalité mais pas dépourvu de bonnes idées pour autant, "Centurion" souffre surtout d'une mise en scène très grossière qui soulève le sourcil songeur des cinéphiles avides d'horreur qui connaissent le travail de Marshall sur "The Descent". Bref, un cuisant manque de travail ou d'envie peut-être de la part du chef des opérations qui laisse Michael Fassbender seul contre tous. Quitté très tôt par un convaincant Dominic West, le futur Magneto souffre de lignes de dialogues risibles au ton instable qui ne donne que rarement, pour ne pas dire jamais, justice à son talent de comédien.
Les combats quant à eux ne cassent pas des briques. Entre des litres de sang on parvient à discerner deux ou trois bons affrontements mais rien de notables ni d'inoubliables venant d'un enfer gouvernés par les Pictes.

Alors Centurion c’est un film qui a du être sponsorisé par un consortium regroupant Gillette, Bic, et Wilkinson sur le thème « Plus tranchant que moi tu meurs ». Car rarement dans un film j’ai vu autant de têtes tomber (au sens propre ...si on peut le dire), de corps transpercés, de chairs lacérées, et de sang gicler. C’est ultra violent limite gore, mais quand on sait que c’est Neil Marshall qui l’a produit (le réalisateur de « The Descent 2 »), on comprend mieux.

Ca se passe en 117 après JC, toute l’Europe est envahie par l’Empire Romain…Toute sauf une petite tribu composée de jolies filles délicatement fardées et de gros moustachus bagarreurs et qui résistent encore et toujours à l’envahisseur : Les Pictes, des Barbares nomades (mais qui ont de bonnes raisons d'être fâchés contre les Romains) qui vivent tout au nord de l’Angleterre à une époque où l’ère glaciaire n’était pas qu’un simple concept géologique à apprendre par cœur sur les bancs de l’école.

Comme Rome veut absolument conquérir ces Terres hostiles, les toges pensantes décident d’y envoyer leur GIGN local, la 9ème légion, avec à sa tête le Général Virilus (j’invente rien) dont le patronyme colle aussi bien au personnage que s’il s’était appelé Testostérus, Brutulus, Musclusus, cépaquedlaglaglasquejssus, ou Obarbarjedisuss ! Bref le type de manager proche de ses équipes, qui tise comme un trou mais qui n’hésite pas d’aller au charbon quand faut y aller…

Et là il est servi sauf qu’il tombe comme un bleu dans une embuscade des Pictes où toute la légion ou presque se fait massacrer. N’en sort miraculeusement indemne qu’une poignée de survivants, dont le Centurion Marcus Dias qui prendra le commandement du groupe (au passage gaulé comme un Apollon Romain), et tout ce petit monde formaté à l’esprit de corps qui régit la Légion n’a qu’une seule idée : Délivrer Virilus….

Ensuite, vous vous doutez que ça ne se passe pas comme prévu, c’est brut de décoffrage, ciblé pour une deuxième partie de soirée post match de foot, mais si les filles veulent entrer dans la danse, elle seront peut-être aussi sensibles à la beauté des paysages et la bluette de la deuxième partie du film…

Bon pèplum que ce "Centurion" avec des scènes particulièrement violentes où le sang gicle à chaque coup d'èpèe! 117 après J.C, L'Empire romain s'ètend ici de l'Afrique à la mer Caspienne mais sa frontière la plus hostile est au nord, en Britannia! Dans ces rudes contrèes, les Romains se heurtent à la rèsistance acharnèe d'un peuple connu sous le nom de Pictes! Forts de leur tactique de guèrilla et de leur connaissance du terrain ils ont stoppè l'invasion! Même si la mise en scène de Neil Marshall manque un peu d'ampleur, elle se rattrape largement sur le traitement des personnages! Comme toujours, Michael Fassbender se donne à 200% dans un rôle physique en incarnant avec conviction un dèserteur romain! En pisteuse brigande et muette, Olga Kurylenko, telle une louve, chasse le romain avec une duretè qu'on lui connaissait pas! C'est parfois sombre, souvent sanguinolent, avec un rèsultat assez efficace et une fin esthètiquement belle avec de la fleur de pissenlit qui s'envole au vent sur Quintus Dias / Michael Fassbender qui semble mal en point! Mais la belle sorcière est là...

N'est pas gladiator qui veut, ce film est une boucherie avec romains, pictes et glaives. Pas de grand interet si ce n'est de deverser des litres de sang

Intense, poisseux, exalté et généreux. Neil Marshall nous fait oublier le fâcheux Doomsday (2008) et ose un survival à la gloire de Rome, dans la même veine que The Descent (2005). Fini les intégrations numériques sanguinolentes désinvoltes dans les films du genre, ça coule épais et à raison. La distribution impose de belles gueules - M. Fassbender toujours très investit, David -Le Général- Morrissey inquiétant, Liam -Davos- Cunningham dévoué à Rome et déjà à Neil Marshall (Dog Soldiers, 2002), bien avant que le réalisateur ne rejoigne les rangs, pour quelques épisodes seulement, de la prestigieuse série Game of Thrones. Mérité vu le style. Horreur suggéré ou sévèrement montré, survival burné, je n'avais pas pris plaisir à voir croiser le fer depuis Black Death (2010). Rien de mirifique cependant et le plaisir est quelque peu émoussé quand viennent les sentiments.

J'ai vu un film... qui démontre de très grandes qualités de réalisation, d'image, de chorégraphie des combats... Bien que certains moments paraissent longs, on suit les pérégrinations des soldats romains au pays des Pictes... Les différents personnages sont particulièrement bien campés, et notamment le personnage de la pisteuse qui réussit à donner de la corpulence et de la puissance dans son jeu. Les scènes de batailles et les bastons tout court sont particulièrement bien rendus... On ne peut s'empêcher de frissonner en "sentant" la lame s'enfoncer dans sa gorge ou le pieu s'enfoncer dans le... Ce réalisme est à proprement parlé saisissant... Parfois, les flots de sang paraissent un peu trop rajouté à la palette graphique, et du coup, on perd en crédibilité. Les paysages sont vraiment superbes et les images, ainsi que la lumière sont particulièrement bien soignées. Le points faible selon moi réside dans la légèreté du scénario, et dans certains personnages secondaires assez peu puissants, voire stéréotypés... mais, bon, on passe quand même un bon moment...

Je m'attendais un film dans la lignée d'un Gladiator, et beh non malheureusement ... Ce film est divertissant mais pas transcendant, de la bonne action et des beaux paysages vous feront passer un agréable moment.

Pas le film du siècle mais un bon divertissement a l ancienne , un pure plaisir coupable même si parfois le film accumule certains cliches ou nous sert de la violence gratuite mais bon un bon film quand même