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Note moyenne
2,4
19 titres de presse
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Le Dauphiné Libéré
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Paris Match
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Télé 2 semaines
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Critikat.com
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L'Obs
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Télérama
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Ecran Large
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Le Journal du Dimanche
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Libération
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Première
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Studio Ciné Live
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VSD
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aVoir-aLire.com
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L'Express
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Le Monde
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Les Fiches du Cinéma
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Ouest France
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Le Dauphiné Libéré
La suite d’une petite comédie devenue culte, qui mélange allègrement et suffisamment énormité et sophistication pour devenir tendance.
Paris Match
Bien que peu novatrice et un poil bâclée sur sa fin, "Zoolander 2" reste une comédie efficace, à conseiller à tous les fans d'humour absurde.
Télé 2 semaines
Bien que peu novateur, Zoolander 2 multiplie références et crétineries, et sort ses plus beaux atouts pour séduire. Une suite abracadabrantesque, dans la juste lignée de son aîné, qui devrait faire fonctionner vos zygomatiques. Attention aux rides !
Critikat.com
Dernière pièce d’une trilogie sur les histrions de l’image après "Zoolander" et "Tonnerre sous les tropiques", "Zoolander 2" en est un peu le parent pauvre.
L'Obs
La farce fait pop, avant de faire pschitt. C’est simple : plus le film étale ses moyens – le budget a doublé par rapport au précédent –, plus il les perd (ses moyens). Trop de caméos, trop de gags qui se répètent, trop de scènes à vocation spectaculaire et d’effets spéciaux hideux parodiant paresseusement les James Bond, "Star Wars" ou "Da Vinci Code".
Le Parisien
Evidemment, tout cela n'est pas très sérieux. Dans la lignée du premier « Zoolander », le film, qui aligne beaucoup plus de séquences d'action que le précédent, est à la fois très potache, fun, parfois lourdingue et parodique sur l'univers de la mode.
Les Inrockuptibles
Cerné par le déjà-vu et l’essoufflement, ce second opus charme néanmoins en assumant crânement sa désuétude.
Télérama
Si l'humour, hystérique, tout en non-sens et digressions absurdes, tourne parfois à vide, il faut, à mi-parcours, le génie comique de Will Ferrell pour rallumer la mèche et propulser le tout dans une autre dimension.
Ecran Large
Beaucoup de bruit pour pas grand chose : sous ses airs de super-comédie spectaculaire, "Zoolander 2" se révèle bien pauvre.
Le Journal du Dimanche
Si la parodie du monde de la mode est croustillante, avec ses caméos de Marc Jacobs, Anna Wintour et Kate Moss, le discours trop bien-pensant sur la famille gâche l’humour loufoque.
Libération
Outre que, fait rare, la campagne promo se sera révélée infiniment plus drôle que ne l’est le film, le problème est qu’apparaissent trop les ficelles de l’update, entre clins d’œil et renouvellement des caméos (…) pour que la sauce prenne vraiment.
Première
Une comédie qui n’atteint jamais son but, trop fière d’exister pour se demander si elle avait une raison de venir au monde. Après des mois d’un marketing tordant, la claque est d’autant plus violente.
Studio Ciné Live
Certes, il y a ça et là quelques gags réussis, mais Stiller s'évertue, hélas, à les reproduire dans un comique de répétition mal maîtrisé. Stiller a vieilli, son humour avec, et donne l'impression de courir après un "mojo" qu'il a perdu, tout en tentant d'attirer une nouvelle génération dans son univers.
VSD
Le culte entretenu autour du premier Zoolander masquait un laxisme certain dans le rythme et une indéniable laideur visuelle. Deux gros défauts qu’on retrouve seize ans plus tard, affublés d’un troisième : le recours incessant au name dropping qui transforme le projet en grand raout finalement très conformiste.
aVoir-aLire.com
Un selfie movie en roue libre qui ne cesse de se contempler le nombril avec une certaine vanité. À l’occasion on sourit, mais l’autoportrait parodique vire au désagréable constat de coup de vieux généralisé.
L'Express
Cette suite fait pschitt.
Le Monde
Suite opportuniste, dépourvue de grâce et d'inspiration, "Zoolander 2" recycle les idées de la satire du milieu de la mode (...).
Les Fiches du Cinéma
Ben Stiller aligne les stars, les gags inefficaces, et signe une suite fade, dans laquelle l'humour absurde ne s'impose jamais vraiment.
Ouest France
Quinze ans plus tard, cette suite tente péniblement de retrouver la recette de l'original, sans y parvenir.