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    Un Été Brûlant
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    1,8
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    61 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2011
    J'ai bien aimé. La passion, le douloureux délitement d'un amour. Je ne mets pas 5 étoiles car je n'aime pas beaucoup le jeu de Monica Bellucci, souvent inaudible et peu expressive. Les trois autres sont parfaits, avec mention spéciale pour Louis, qui comme toujours sait souffrir comme personne. Pourquoi son père le maltraite-t-il tant ? Pour nous donner encore plus envie de le prendre dans nos bras, sans doute…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 août 2012
    J'aime beaucoup le cinema d'auteur mais alors là, le scenario etait pourtant attirant mais lorsque l'on le visionne on s'ennuie des les premieres 10 minutes, des dialogues plats, des acteurs qui ne font rien passer. On dirait du Godard pour amateur. Aucune poesie et aucun charme a ce film comme on le prédisait. J'en suis restée insensible du début jusqu'a la fin.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 814 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2013
    Ce soir j'avais envie de voir un film, mais je n'étais pas motivé et j'ai fini par lancer ça, au hasard, comme ça.
    Et en fouillant un peu je me rends compte que c'est le 5° film de Garrel que je vois et j'en au oublié pas mal. En fait tous. Mais je me souviens que j'avais aimé (à part la naissance de l'amour qui était chiant).

    Ce film là (donc un été brûlant), je suis assez partagé. Je veux dire que le film n'est pas merdique, je ne me suis pas ennuyé, malgré un montage un peu chaotique, ça reste sympa, regardable, mais ce n'est pas non plus vibrant, palpitant.
    Déjà au début j'ai du mal, je n'y crois pas à cette histoire d'amitié, c'est très court, on n'y croit pas que le mec se lie d'amitié en 20 secondes. Du coup le film partant sur un mauvais point.
    Mais je dois dire que je trouve Céline Sallette vraiment belle et naturelle et ça c'est important. Je rajouterai que je ne suis pas un grand fan de Monica Bellucci, mais là elle m'est sympathique et presque jolie car elle semble plus naturelle que dans les autres films où j'ai pu la voir.

    J'aime aussi beaucoup Louis Garrel, mais là il m'a semblé se caricaturer dans le côté bobo peintre en mal de vivre. Mais le Garrel que j'aime le plus ça doit être le grand père qui nous joue un petit rôle que j'ai trouvé ça assez émouvant de voir ce très vieux monsieur pour la dernière fois et le film il sonne un peu comme un adieu à ce grand monsieur.

    C'est vrai que l'intrigue du film ressemble assez à celle du Mépris, sauf que ça ne m'est pas apparu plus que ça durant le film. Cependant j'aime bien cette histoire, mais elle manque de brûlant malheureusement. Je m'attendais à voir une sorte de Rohmer avec la passion brûlante en plus (enfin "en plus" je m'entends). Et finalement c'est un peu plat, ça manque de passion, de finesse. Les scènes ne vont jamais aussi loin qu'elles le pourraient. C'est un peu convenu finalement. Mais le pire est qu'il manque d'émotion et pourtant il y a des citations qui sont "vraies". Je pense à Céline Sallette qui se casse et le mec qui ne semble pas comprendre ce qu'elle lui reproche et là on est dans le vrai. Mais c'est une des trop rares scènes.

    Je suis vraiment partagé. J'aime certains trucs, mais la sauce ne prend jamais vraiment. C'est pas déplaisant, mais bon.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    668 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2012
    Film qui provoque un certain ennui chez le spectateur, Un été brûlant se trouve être une belle petite déception. Ce double chronique amoureuse possède malheureusement une interprétation bien fade d’une Monica Bellucci qui ne propose pas suffisamment d’émotion, mais aussi une histoire somme toute bien banal. Reste tout de même une belle mise en scène ainsi qu’une prestation tout en justesse de Louis Garrel, mais cela reste clairement insuffisant pour pouvoir apprécier l’ensemble.
    Galanga
    Galanga

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2011
    C'est pitoyable ! du sous Godard, du faux intello, il ne se passe rien, les personnages ne font rien, la peinture du soi disant dandy peintre est mal pompée sur Garouste mixé avec du plagiat de Picasso. Monica ressemble à une baleine, l'autre actrice est triste à chialer... C'est l'empire du vide ou alors c'est un film comique.
    ferdinand75
    ferdinand75

    455 abonnés 3 647 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2015
    Un film que l'on aurait voulu aimer, car Philippe Garrel est le dernier représentant de la génération de la "nouvelle vague", icone du cinéma art et essai, et il a fait quelques bons films dans les années 90 et 2000. Mais là on ne peut vraiment pas . Tout d'abord une erreur totale de casting , on ne croit pas une seconde au couple Garrel/ Bellucci, elle est trop plantureuse, trop classe , trop chic , trop mature, lui trop artiste maudit , trop jeune , trop marginal. on y croit pas une seconde. De même pour le deuxième couple, l'acteur J. Robart est insignifiant , et surtout la jeune actrice Céline Salette ( que certain voit comme une future grande ?!) est froide , transparente, évanescente, comme un Zombi qui traverserait le film sans substance, sans émotion.Le scénario est tout basique, une histoire de jalousie mal vécue, et l'usure d'un couple. Avec des références politiques simplistes ; un groupe de Blacks est chargé par des policiers sous le métro de Paris et le politiquement correct Garrel crie " Sarkozy salaud" ?!. L'ami cinéaste raté en est encore à vouloir vendre un journal révolutionnaire " Insurrection" , dans la rue ( comme le bon vieux JP Sartre) , on est retombé dans les années 70, tout cela a déjà été essayé, et ce plat réchauffé n'est pas crédile . Reste quelques belles scénes, comme le plan séquence de 5 mn de danse de Bellucci,, bien cadré , bien rythmé, aux couleurs saturées ,et où Bellucci transmet une sensualité certaine. Mais que d'ennui pour ce plat insipide.
    Maqroll
    Maqroll

    132 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2011
    Un film creux de Philippe Garrel qui semble avoir choisi la virtuosité pour la virtuosité. Le propos est en effet complètement noyé dans les ellipses de la réalisation et apparaît comme étonnamment mince pour ne pas dire inexistant. Un homme (Louis Garrel, monolithique et torturé) aime une femme, sa femme, soi-disant très belle (Monica Belluci, grasse comme une oie, à la beauté vulgaire et lourde). Il se fait un ami qui va partager quasiment son quotidien, accompagné, bien malgré elle, de sa petite amie complaisante… Tous les hommes qui passent se prennent aux rets de la dévoreuse et il arrive ce qu’il doit arriver… Je vous laisse découvrir la suite… en sachant que l’on commence par la fin et que l’on sait d’emblée comment l’histoire va finir. Disons que je n’ai pas tellement adhéré malgré les qualités de Garrel qui sont ce qu’elles sont depuis plus de quarante ans. Mais il a fait tellement mieux que l’on peut être déçu de cet été plutôt tiédasse !
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2017
    Tout d'abord beau et mystérieux avec ses couleurs nouvelle vague et ses plans fixes au cordeau, le film s'enlise ensuite dans un drame passionnel dont les enjeux ont pourtant été évacués dès les premières scènes. Les personnages sont désincarnés, fantômatiques, la faute à des scènes moins écrites que chorégraphiés. Il est dès lors bien difficile de croire à cette histoire d'amour et d'amitié vénéneuses.
    Jonathan M
    Jonathan M

    112 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2018
    Garrel père convoque Garrel fils. C'est l'amoureux transi qui ausculte le dandy cynique. L'un fonctionne très bien avec l'autre pour autant. Dans une Italie bourgeoise, entre les mains de déesses Céline Sallette et Monica Bellucci, l'été brûlant va jouer sur les sentiments. Ici, il est question d'un acte. L'acte d'aimer à en perdre la raison, au point de s'oublier dans son couple. Chez les Garrel, on veut nous faire croire que l'amour n'est qu'un gros buisson remplit d'épines qu'il vaut mieux regarder de loin. Mais eux, ils y sautent à pieds joints dedans. Ils le font pour nous, et en tire les conséquences.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 221 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Je ne comprend pas les critiques, ce film est plutôt pas mal je trouve ! Il y a une bonne ambiance, des dialogues bien écrits, un casting convaincant... pour ma part, je n'ai pas adoré, mais pas détesté non plus. C'est une belle histoire qui, malgré trop de longueurs, se laisse suivre avec plus ou moins de plaisir.
    Thierry M
    Thierry M

    132 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2011
    je deteste et le mot est faible.Comment alors q'uon ai en 2011, nous pondre une daube pareille.
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    ben, garrel appartient désormais au siècle dernier et il voulait le demontrer avec ce nouveau film.... ces derniers étaient suffisants, on avait très bien compris, merci ! quant à son fils qui tire tjrs la gueule dans l'espoir de faire un peu JP Léaud, faut lui dire d'arrêter aussi, il ne l'est pas, il a trop l'air d'un enfant gâté de la gauche caviar, navrée pour lui...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    L'amour comme une passion obsédante, dévorante et brûlante ; l'amour comme une obsession passionnelle, destructrice et ravageuse... L'amour consommé et consumé, qui rend fou, qui rend con. Un été brulant nous parle avec finesse mais intensité de cette amour aveugle que l'on a tous probablement connu de diverses manières. La mise en scène voluptueuse apporte beaucoup de force à l'histoire proposée par Garrel, en lui apportant une ambiance tendue. Une belle brochette d'acteur a été engagé pour camper les différents rôles, Monica Belluci, Louis Garrel et Jérôme Robart en tête. Une jolie frasque romantique, vigoureuse et prenante. On regrette juste la perte de souffle que connait le film à certains moments et la transparence remarquée du personnage de Céline Sallette.
    albator761
    albator761

    237 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2012
    Un film dans lequel on s'ennuie fermement et même bellucci n'arrive pas à nous communiquer ses émotions
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 février 2012
    " Frédéric est mort. "
    Voilà par quoi commence le film. Une phrase qui met directement dans le bain et qui ne laisse aucune place à l'espoir. Le film assume d'emblée son statut de drame à l'asphyxie permanente, où les personnages ne peuvent qu'y sombrer ou en fuir. Il n'y a pas d'aérations, très peu de couleurs, uniquement des cadres qui ressemblent à des cages, où les quatre personnages sont enfermés, prisonniers de leurs relations et de leurs esprits, qu'ils se propagent les uns aux autres.

    La grande force du long-métrage réside donc dans sa capacité à nous embarquer dans ce flot de sentiments négatifs. Un négativisme amoureux qui mêle à la fois paranoïa, passion et rejet, pour donner un ensemble d'une noirceur et d'une profondeur absolument sublime. Il y a beaucoup à tirer du jeu de ses acteurs, des dialogues qu'ils ont à proposer, et il est évident que l'on retient plus ces conversations enflammées, ces regards perdus, ces gestes maladroits, que le contexte spatial.

    Ce contexte spatial n'a absolument AUCUNE importance. Le fond de l'image devient une toile blanche qui se remplit par coups de pinceaux frénétiques, représentant les sentiments. Des coups passionnés, des coups rageurs, jusqu'au dernier trait, magnifiquement esquissé et qui apporte à la fois mort et renouveau.

    C'est un très joli tableau, qui se détache par ces personnages et ces dialogues d'un réalisme et d'une cohérence admirable. Il y a certes un malaise continu mais qui est inhérent au thème que souhaite aborder le scénariste et qui devient donc bénéfique. Et comment ne pas tomber amoureux de Céline Sallette, qui est vraiment la touche qui adoucit quelque peu la noirceur du papier.

    Une ballade triste, mais une ballade quand même.
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