Derniers Avis sur Barb Wire

On l'avait noté sur un coin de table en regardant la série Pam et Tommy (pas si mal, si jamais vous voulez la tenter), tombant avec une certaine compassion devant la scène où Pamela Anderson se rend au cinéma pour voir son propre film Barb Wire et est bouleversée par la méchanceté des spectateurs hilares ou grossiers. Difficile, en découvrant ledit film, de garder sa compassion, tant il est mauvais. Barb Wire est un navet dans toute sa splendeur, une adaptation ratée du personnage apparu dans les pages des comics de la maison Dark Horse en 1993, un pari fou qui est tombé à l'eau. On voit d'emblée que ce film d'héroïne badass qui se sert de sa plastique sulfureuse comme d'une seconde arme (après ses flingues) rêve de devenir une saga, qui reverrait venir sa belle dangereuse ou un autre héros prêt à remettre de l'ordre dans un monde de pourris, ce qui est surtout gênant quand on remarque à chaque plan qu'il rate son coup, tape à côté, est ultra ringard, s'appuie sur le jeu inexistant (caricatural) de Pamela, cadre trop souvent sur ses pare-chocs avant et arrière (on sait à qui s'adresse ce film, une rasade de beauferie pour les autres), tente des vannes assez nulles, et n'a à nous offrir qu'un peu d'avant-gardisme avec son héros féminin qui botte des entrejambes à tire-larigot... Si seulement on avait filmé ce héros avec respect (les cadrages sur le décolleté et les fesses toutes les deux minutes sont évidemment au service de la plastique légendaire de Barb Wire, mais ont tendance à nous soûler rapidement, ou attirer les commentaires grivois puérils...), peut-être que ce film de comics aurait lancé la mode dont il rêve naïvement.

Barb Wire n'est pas un navet. Ce n'est pas le meilleur film au monde, certes, mais c'est un divertissement agréable avec de bonnes scènes d'actions. Pamela Anderson n'est pas mauvaise du tout et incarne à merveille cette super héroïne tout de cuir vêtue. On regrettera cependant que le réalisateur s'attarde trop souvent sur son décolleté.

Quelle parfaite petite serie b, avec une pamela anderson jamais égalée pratiquement. C est rythmé et ca reste tres sympa a regarder meme en 2023.

On peut dire que "Barb Wire" est un cas d'école en ce qui concerne le male gaze. Tout reflète une autre époque : du costume de l'héroïne aux répliques "particulières".


Le film n'a pas peur de tomber dans le kitsch ou l'improbable.


Et pourtant, ça fonctionne relativement bien. Pourquoi ? Parce qu'il est cohérent : le film a une ligne directrice et il s'y tient, sans rougir.


Ainsi, lorsque Barb Wire bote des fesses dans des costumes improbables, avec des situations cocasses, on veut bien suspendre notre incrédulité.


Et puis, le film a l'avantage d'être un peu original même s'il pioche à droite à gauche : un peu de Waterworld par-ci, un peu de Mad Max par-là, etc ... Entre film post-apocalyptique, film de super-héros ou film noir, on a de quoi se sustenter.


On oublie alors facilement que Pamela Anderson ne se donne pas beaucoup de mal pour essayer d'être un tant soit peu crédible ou même impliquée dans son rôle. On suit simplement ses aventures.


Même si je suis conscient de ses défauts, comme j'ai passé 1h30 en étant diverti, je serai assez indulgent avec "Barb Wire". Autre époque, autres moeurs.

Barb Wire est une série B d'action fauchée dont le scénario ne viendra pas titiller vos neurones. Pourtant, le film est d'une incroyable générosité et on se laisse prendre avec plaisir aux aventures de son héroïne badass.

Difficile de trouver autre chose que l introduction avec Pamela Anderson dans ce film "bas de gamme" aux moyens indigents et au scénario sans intérêt... juste un retour vers le pire des années 90 : Une caricature.

C’est sans surprise que je peux vous dire que les comics étaient souvent adaptés dans les années 90, notamment la seconde moitié de la décennie avec des productions comme The Mask, Men In Black, Judge Dredd, Spawn. Barb Wire en fait partie. Néanmoins, le succès critique et public de ce dernier n’a pas été à la hauteur des espérances. En effet, les producteurs ont tout misé sur la popularité de son actrice principale : Pamela Anderson. C’est l’heure de redonner grâce à ce modeste et amusant divertissement qu’est le film.

J’ai une sorte d’affection pour ce film sans comprendre vraiment pourquoi, est-ce les seins de Pamela Anderson, ou une action répandue ? Toujours est-il que sans réellement être un film d’une extrême qualité, il n’y en a une que l’on ne peut pas lui enlever, c’est qu’il est très distrayant.

Critique disponible dans son intégralité : http://cestquoilecinema.fr/critique-barb-wire-1996-le-divertissement-sort-de-la-bouche-de-pamela/

Un film digne de ce qui passait à l'époque dans Hollywood night sur TF1 : c'est à dire un téléfilm tout pourri avec un scénario qui tient sur un timbre-poste, des scènes d'action molles et ratées, du sexe, et ici en l'occurrence du silicone… La présence de la plastique de Pamela suffit-elle pour faire un bon film ? Le talent ne se mesure pas au tour de poitrine…

Ne l'appelez pas "poupée" !
Une fois passé ce générique d'introduction très sexy, il n'y aura plus grand chose à voir dans ce "Barb wire" kitchissime au possible. En effet, "Barb wire" n'est qu'un film d'action au scénario bas de gamme qui n'aura pour unique objectif que de mettre en avant la plastique de Pamela Anderson.

Un film à regarder sans à priori.Tiré d'un comics célèbre aux USA le film en reprends la trame et l'esprit, montage speed façon vidéo clip, personnages archi manichéen, action non stop.Le spectateur ne de fait aucun noeud au cerveau mais ne s'ennuie pas une seconde.La vertu d'un certain cinéma dit populaire n'est il pas de divertir? Ajouons à cela que la pulpeuse Pamela Anderson est loin d'être ridicule comme actrice et croyez moi vous passerez 90 mn assez agréable et sans prétention.

Un film qui n'a eu qu'un seul intérêt, c'est de voir une jolie actrice avec des tenues que les femmes ne portent pas tous les jours. L'histoire n'a aucune d'originalité car c'est déjà repris dans beaucoup de film. Pamela Anderson est soit disant une actrice qu'on ne pourrait admirer que pour son corps dont sa poitrine en particulier mais rien dans son jeu d'actrice et le reste du casting n'est pas top. Des scènes d'actions mal filmées ou mal cadrées comme ou moment on voit une image pendant quatre secondes après qu'on ait balancé une chaise. Si on peut admirer quelque chose dans ce film, ce sont les tenues en cuir que Pamela Anderson porte. Les décors ne sont pas terrible à voir rien qu'en voyant les scènes de la discothèque. Personnellement, je déconseille ce film si vous voulez voir des vrais films d'actions à part si voulez passer des moments avec une actrice en cuir pendant plus d'une heure.

Adaptation d’un comic book de Chris Warner et John Arcudi sorti au début des années 90, "Barb Wire" nous transporte dans un futur proche (en 2017 très exactement) dans lequel a eu lieu une seconde guerre civile aux USA. Les « Congressistes » ont renversé le pouvoir en place et instauré une dictature sous la loi martiale réprimant durement les non-citoyens. Une seule ville, dernier territoire libre des USA, échappe à ces contraintes : Steel Harbor. C’est dans cette ville que l’on fait la connaissance de Barb Wire, patronne d'un bar le jour, mercenaire qui vend ses services aux plus offrants la nuit. Un jour, elle reçoit la visite d‘agents gouvernementaux qui lui demande de les aider à rechercher une scientifique en fuite transportant avec une arme dangereuse.
On peut donc dire que le scénario de ce film est assez simple, mais ce n’est pas forcément gage de catastrophe. Déjà le film est très fidèle au comic et le choix de Pamela Anderson dans le rôle de Barb est au final un excellent choix pour l’époque : la playmate correspond parfaitement à l’héroïne hyper sexy de la BD publiée par Dark Horse Comics. Ensuite, qu’on aime ou pas Pamela est une autre histoire : faut-il rappeler que même si on n’aime pas l’un de ses protagonistes, un film n’est pas forcément mauvais pour autant (tout comme ce n’est pas parce qu’on n’a pas compris un film qu’il est forcément à chier…à bon entendeurs !). Parce que la vérité c’est que "Barb Wire" est un film assez bon pour une adaptation d’un comic peu connu par le grand public et nanti d’un budget ridicule de tout juste 9 millions de dollars. Quand on pense que la même année sortaient sur les écrans français "Dunston, Panique au Palace" (16 millions de budget !), "Kazaam" (20 millions..dont 19 juste pôur le salaire de Shaq' !!! ^^), "Striptease" (40 millions), "Le Professeur Foldingue" (53 millions) ainsi que "Les 101 Dalmatiens" (56 millions…arrrrgghhh !!!), je vous certifie que "Barb Wire" est bien mieux que ces cinq films !!! Réussissant à nous gratifier de quelques scènes d’action pêchues et de jolis effets pyrotechniques et même parfois de savoureuses séquences comiques (ah l’adepte du spanking en combi cuir SM !!), l’illustre inconnu David Hogan réussit pour sa toute première réalisation un film certes perfectible, mais loin d’être mauvais et dénué d’intérêt (même si on peut lui reprocher de ne pas plus exploiter son univers post-apocalyptique). Si on ne peut que saliver de plaisir devant la superbe plastique de Miss Anderson (il faut avouer qu’une héroïne en corset de cuir et bas résilles c’est déjà « hot » à la base !), il ne faut pas cacher qu’elle s’en sort très bien et joue assez juste dans le rôle de cette incroyable self-made woman. A ses côtés, Steve Railsback campe un sympathqiue Colonel Pryzer, sorte de militaire nazi hyper sadique qui en fait des tonnes ; et Temuera Morrison est plutôt bon dans son rôle de sidekick ancien compagnon de Barb.
Sans être exceptionnel, mais sans être aussi une énorme bouse (pour ça, regarder plutôt "Paranormal Activity", "Dragonball Evolution", "Catwoman", ou la plupart des films de Uwe Boll !!), "Barb Wire" est une petite série B honnête qui se laisse regarder et nous permet de découvrir un comic assez méconnu.

On ne peut pas dire que la carrière cinématographique de Pamela Anderson soit très brillante, c’est donc avec une certaine appréhension que je visionne le dvd de Barb Wire que m’a prêté un ami.
Ce film a été pour moi une énorme surprise, je m’attendais à un navet et pourtant ce film est vraiment TRES BON. L’histoire semble simpliste mais au fur et à mesure de l’avancé du métrage on découvre un scénario qui s’avère bien plus subtile qu’il n’y parait de plus il tient en haleine le spectateur du début à la fin.
Barb Wire est un grand plaisir cinématographique qui parvient à réunir humour et action. Les acteurs sont excellents même dans les seconds rôles et Pamela Anderson montre qu’elle est bonne actrice. Les effets visuels, la musique et la réalisation sont vraiment réussis et permettent une immersion totale dans le film.
En bref si vous voulez voir un film super avec Pamela Anderson c’est Barb Wire qu’il faut regarder.

Barb Wire n’est certainement pas un film qui renverse des montagnes, mais enfin il faut être honnête, c’est un petit divertissement honnête et sympathique, qui s’avère d’une réelle générosité.
D’abord il a son casting. Il est entrainé par Pamela Anderson et on peut dire ce que l’on veut d’elle, même si elle n’est pas une actrice géniale, elle est toujours très engagée dans ses rôles. Elle est par ailleurs franchement cinégénique, et ici, elle a un rôle qui lui convient très bien. Ce n’est pas un rôle de composition, mais ce qu’on lui demande c’est de livrer une prestation musclée, sexy, de porter le cuir, de se bastonner avec de gros flingues, de monter à moto, et elle s’en sort avec efficacité. Pour le reste ce n’est pas mauvais non plus. Il y a quelques seconds rôles assez rassurants avec Xander Berkeley, Udo Kier, ce-dernier étant inférieur ici néanmoins, avec un rôle qui ne lui va pas à merveille. A noter aussi un Steve Railsback habitué aux rôles inquiétants, qui s’amuse bien visiblement en pseudo-nazi (parfois il en fait des caisses quand même). Rowell est convaincante (bien loin des feux de l’amour !) et Temuera Morrison ne dépareille pas.
Ensuite il y a le scénario. Là c’est un peu faible. Le début est sympathique, mais le film devient assez banal ensuite. L’univers post-apocalyptique n’étant pas suffisamment exploité, et le concept n’étant pas suffisamment ambitieux. Le rythme est là, mais il y a un manque de surprises qui pourra gêner un peu les spectateurs les plus exigeants (avec quelques lieux communs, comme le chef des barbares du futur !). Reste que l’ensemble offre son lot de bastons, de scènes sexy, de gros délires aussi, car clairement Barb Wire se prend au second degré. Il y a un fol esprit Bd dans ce métrage, et sincèrement il y a de quoi rigoler souvent. Parfois c’est voulu, d’autres fois moins.
Sur la forme, franchement avec 9 millions, ce qui est un petit budget pour ce type de film, Barb Wire s’en sort très bien. Certains le critique à ce niveau, honnêtement je ne vois pas comment avec cette somme et en 1996, il pouvait être beaucoup plus soigné. La mise en scène est un peu raide, c’est vrai, et l’on sent un manque de dynamisme dans la manière de filmer. Les scènes d’action paraissent du coup un peu sèches et saccadées, mais enfin, il n’y a rien de foncièrement choquant. La photographie est assez raffinée, essayant de mêler des éclairages issus des Carpenter (New York 1997 et Los Angeles 2013), avec des tentatives plus « Madmaxienne » (notamment sur la fin avec un travail sur la crudité de l’éclairage naturel assez sympathique). Clairement on est un cran en dessous, mais c’est pas mal. Les décors sont attendus, avec des usines, des entrepôts désaffectés, des rues pleines de carcasses de voitures. C’est sobre mais efficace. Les scènes d’action comme je l’ai dis ne sont pas superbement filmées. Elles sont néanmoins pas mauvaises, mais inégales, étant parfois assez justes, et d’autres fois solides. Coté bande son c’est efficace, entrainant, on est dans du son typique de l’époque, qui est devenu un peu kitsch aujourd’hui mais cela n’est pas à juger.
En somme, je ne comprends pas comment on peut mettre objectivement 0.5 ou même 1 à Barb Wire. C’est vrai que ce n’est pas très fin, c’est clair que parfois on lorgne vers le nanar, mais c’est un métrage qui se veut original, et il y parvient nettement mieux que Beowulf par exemple. Porté par un casting convaincant, et notamment une Pamela Anderson qui mérite mieux que la réputation de son tour de poitrine, généreux et toujours sympathique, il est par ailleurs formellement pas mal pour un film à 9 millions. Je mets donc 3.

Je m'attendais a un véritable navet, donc au final je ne suis pas trop décu. Ca reste un film de seconde zone mais ca se regarde, meme si tout tourne autour de on ca n'est pas si mal.